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Un lac est né dans le désert tunisien

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  • Un lac est né dans le désert tunisien

    En plein milieu du désert tunisien, chaud et sec, est apparu un grand lac cristallin. L’eau a viré, depuis quelques jours, au vert et est pleine d’algues. Elle pourrait être dangereuse pour les baigneurs. La saison est décidément propice aux phénomènes géologiques mystérieux : après les cratères de Sibérie, c’est un lac qui s’est formé dans le désert tunisien. Situé près de la ville de Gafsa, dans le sud du pays, le lac est devenu une attraction très prisée des locaux, qui y voient une occasion rêvée de remédier à la chaleur torride de la région. Mais ni les autorités ni les scientifiques ne voient « Gafsa Beach » d’un très bon œil, et ont déconseillé aux habitants d’y plonger. L’activité sismique en cause ? Ce sont des bergers de la région qui ont découvert l’étrange lac à environ 25 km de Gafsa, il y a trois semaines. D’une superficie estimée à un hectare, le lac est encore un mystère pour les géologues : comment est-il apparu au beau milieu du désert, et de quoi son eau est-elle composée ? « Certains disent que c’est un miracle, d’autres une malédiction », explique, en parlant des locaux, le journaliste tunisien Lakhdar Souid. Un habitant de la zone, Mehdi Bilel, raconte qu’il a bien cru rêver en voyant le lac pour la première fois depuis la route : «Après plusieurs heures de route sans faire de pause, j’ai vraiment cru que j’hallucinais. Je ne connais pas beaucoup en sciences et j’ai cru que c’était magique, surnaturel», cite The Guardian. Mais du côté des scientifiques, les premières hypothèses penchent pour un effondrement de la roche recouvrant la nappe phréatique, qui aurait fait remonter l’eau à la surface. Pour d’autres, il pourrait tout simplement s’agir d’un cratère rempli par l’eau de pluie. Le lac pourrait avoir une profondeur de 18 mètres, mais c’est surtout la qualité de l’eau qui intéresse et inquiète les autorités tunisiennes. Et pour cause : la région de Gafsa est depuis plus d’un siècle un centre minier majeur du pays. De gigantesques gisements de phosphate y ont été découverts en 1886, et leur exploitation a permis à la Tunisie de devenir le cinquième plus gros exportateur de phosphate au monde. « La région déborde de vastes dépôts de phosphate, qui peuvent laisser derrière eux des résidus radioactifs, il y a donc un vrai risque que l’eau soit contaminée et cancérigène », explique Lakhdar Souid dans le journal Tunisia Daily. Dans le doute, les autorités de Gafsa déconseillent donc de se baigner dans le lac, mais des mesures de sécurité ne seront prises que si les analyses scientifiques révèlent un réel danger. Alors qu’il était d’une belle couleur bleue turquoise durant les premiers jours, le lac a viré au vert et est aujourd’hui infesté d’algues vertes. Mais l’eau stagnante ne repousse toujours pas les habitants de la région, malgré les risques d’infections. Les experts pointent également les risques de noyade. Si la théorie de la rupture de la roche se confirme, alors l’eau pourrait être aspirée par les brèches dont elle est sortie, entraînant les nageurs vers le fond

    Source : Maxisciences



    dz(0000/1111)dz

  • #2
    On verra ce que ça va donner ces études ... Espérons que positives

    Haha le type a pensé à un mirage...

    Très beau en tout cas ...soubhan Allah

    Commentaire


    • #3
      bonjour Mallow

      [QUOTETrès beau en tout cas ...soubhan Allah ][/QUOTE]

      j'ai cru à de la magie, à quelque chose de surnaturel .



      pour les scientifiques ne parviennent pas à expliquer l'origine de ce lac tous a Gafsa tous le monde forumul des hypothèse sur ce phénomène géologique

      certin disent que l'origine de la formation de ce lac reste encore à déterminer. Une première hypothèse avançait que des secousses sismiques mineures auraient pu fracturer la roche jusqu'à une nappe phréatique. Sous la pression, le million de mètres cubes d'eau qui compose le lac serait alors remonté à la surface. Une éventualité d'abord proposée par un géologue de la faculté des sciences de Gafsa qui l'a finalement récusée.
      Selon le commissariat régional de développement agricole de Gafsa, il s'agirait simplement d'une cuvette dans laquelle se seraient accumulées les eaux de pluie.
      Une dernière hypothèse fait valoir que trois sources d'eau douce seraient apparues et auraient convergé vers le site en question.

      On verra ce que ça va donner ces études ... Espérons que positives
      en va voir les prochaine jours une formation d'une nouvelle zone humide
      dz(0000/1111)dz

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      • #4
        Bonjour Kati

        On verra ... Merci...

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        • #5
          L'Invasion de la mer

          L'Invasion de la mer
          Image illustrative de l'article L'Invasion de la mer
          Couverture d'une édition tchèque du roman. 1926.
          Auteur Jules Verne

          L'Invasion de la mer est un roman d'aventures de Jules Verne, paru en 1905.

          Sommaire [masquer]
          1 Historique
          2 Genèse du roman
          3 Résumé
          4 Thème
          5 Édition
          6 Bibliographie
          7 Notes et références
          Historique
          Ce roman, parfois présenté comme le dernier roman de Jules Verne, est en fait, le dernier dont l'écrivain a pu corriger les épreuves imprimées. Verne l'avait baptisé "La Mer saharienne". Son titre définitif est sans doute du cru de l'éditeur, Hetzel fils. Ce n'est ni la première ni la seule incursion de l'éditeur dans l'œuvre. Jules Verne rend le manuscrit le 15 octobre 1904, puis les épreuves corrigées le 12 décembre. Le roman commence à paraître en feuilleton en janvier 1905 dans le Magasin d'éducation et de récréation. Le feuilleton se termine le 1er août de la même année. La première édition en volume date de fin 19051.

          Genèse du roman[modifier | modifier le code]
          L'Invasion de la mer qui se déroule en Tunisie évoque un projet authentique, représentatif de l'esprit colonial français. Dans les années 1880, François Élie Roudaire projette de noyer une partie du désert du Sahara sous les eaux de la Méditerranée en creusant un canal depuis le golfe de Gabès jusqu'aux chott (via le Chott el-Jérid). Le projet finit par être abandonné en raison des difficultés, mais Jules Verne lui donne une suite romanesque.

          Résumé
          M. de Schaller, un ingénieur, est chargé, par une société "française de la mer Saharienne", de relancer le projet de l'irrigation du Sahara.

          Les autochtones, à la tête desquels se sont portés des Touaregs expatriés, lui sont farouchement opposés. Leur chef, Hadjar, vient d'être fait prisonnier et doit être jugé à Tunis mais, grâce à la complicité de sa tribu, de sa mère, de ses frères, il s'évade à temps et rejoint le désert.

          C'est donc sous protection que M. de Schaller, suivi de son domestique M. François, inspecte les rives de la future mer pour en vérifier la solidité et prévoir l'implantation des ports. Dans l'escorte, pour commander les spahis, se trouvent le capitaine Hardigan, le lieutenant Villette, le maréchal des logis-chef Nicol lui-même accompagné de son cheval Va-d'l'avant et de son chien Coupe-à-cœur.

          Thème[modifier
          Le roman permet à Jules Verne de mettre en confrontation la vie saharienne des Touaregs et le monde de la science et de la technique incarné par l'ingénieur et sa troupe. Alors qu'on aurait pu s'attendre à une domination scientifique, l'ingénieur est fait prisonnier et s'il triomphe finalement ce n'est pas en se rendant maître de la nature mais grâce à un tremblement de terre providentiel.

          Édition
          Le roman a été réédité en 1978 (suivi de Martin Paz) dans la collection 10/18 avec une préface de Léon Blum et une introduction de Francis Lacassin ((ISBN 2-264-00894-6)) et en février 2003 à Tunis par les éditions Cérès, avec une préface de Jean-Pierre Picot ((ISBN 9973-19-571-X))

          À noter que le roman a été profondément remanié par l'éditeur, Hetzel fils, qui déplace l'action 25 ans en avant, réduit la part de Roudaire et accroît celle des Touareg.

          Bibliographie
          « Histoires d'une mer au Sahara, utopies et politiques », par René Létolle et Hocine Bendjoudi, collection Ecologie et agronomie appliquée, Éditions L'harmattan, Paris, 1997, 221 p.
          Le testament de Gabès, par Jean-Pierre Picot, Presses Universitaires de Bordeaux 2005
          « L'Invasion de la mer à la loupe », Jean-Louis Marçot, Bulletin de la Société Jules-Verne no 157, mars 2006
          L'invasion de la mer en format PDF sur « la bibliothèque électronique du Québec »
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #6
            http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=48440
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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