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Bouteflika dans le top 10 des dirigeants arabes les plus riches

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  • Bouteflika dans le top 10 des dirigeants arabes les plus riches

    Après 15 ans passés au pouvoir en Algérie, Bouteflika caracole désormais parmi les plus grosses fortunes du monde arabe.
    Bouteflika, un richissime président.

    Jusqu'à récemment, on ne voyait dans le classement des plus grandes fortunes de la planète du célèbre magazine américain Forbes que les rois arabes et de richissimes industriels occidentaux. Mais voilà que le président Bouteflika fait son entrée dans le top 10 des plus grandes fortunes du monde arabe, si l'on en croit aljawharafm qui cite le classement de Forbes.
    Dans ce classement, on retrouve, bien entendu, le roi de l’Arabie Saoudite qui vient en première position suivi par le président des Emirats Arabes Unies. Le roi du Maroc, Mohamed VI qui n'est pourtant pas à la tête d'un royaume qui roule sur l'or, se positionne tout de même à la 4ème rang. Quant au dictateur Bachar El Assad, il vient à la 9ème position. Il dépasse tout de même Abdelaziz Bouteflika qui se classe parmi les dix plus riches potentats arabes.

    De fil en aiguille, la question que tout Algérien se pose est : d'où lui vient cette immense fortune quant on sait qu'il n'a pas à son actif quelque mutinationale qui puisse lui rapporter autant ?

    le matin dz

  • #2
    Meskine. Il faut une quete, il est le plus pauvre!
    Il faut l'aider pour monter dans le classement!
    En fait, comment il a ramassé tout cette argent avec un salaire de 70 millions de centimes (je crois)?

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    • #3
      ماجاع فقير الا بما شبع به غني

      La momie ne profite plus de son argent, puisque le pauvre ne fait plus la différence entre 1 dinar et 1 dollar, il faut mettre Said boutesrika à sa place

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      • #4
        Envoyé par zoromoro
        ...
        De fil en aiguille, la question que tout Algérien se pose est : d'où lui vient cette immense fortune quant on sait qu'il n'a pas à son actif quelque mutinationale qui puisse lui rapporter autant ?


        Du temps de BOUMEDIENNE, le commerce extérieur était le monopole de l'état. Le ministère des affaires étrangères, dont le ministre n'était autre que BOUTEFLIKA, était chargé des contrats avec les firmes étrangères.
        Sur ces contrats était prélevée une commission de l'ordre de 20%. Cette commission, en devises, était versée sur un compte en SUISSE.

        En théorie, ce compte alimentait la caisse noire. En réalité, ce compte a beaucoup servi à l'enrichissement de BOUTEFLIKA.

        D'autres magouilles comme celle du détournement du " beau marché d'Alger " avaient également servi BOUTEFLIKA et ses prête-noms.

        .

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        • #5
          En 15ans de présidence quand meme ,c'est fort ,meme le roitelet n'a pu accumuler autant de richesse durant trois siecles .C'est bien la république populaire
          Coucher du soleil à Agadir

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          • #6
            Le roitelet techniquement , tout le royaume qui porte d'ailleurs son nom lui appartient.
            ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
            On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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            • #7
              Tahya la ripouxblique, et re tahya ceux qui nous digère depuis 50ans.

              Que les c ons se levent et les applaudissent chaleureusement .

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              • #8
                J'ai fait une recherche sur le site de Forbes et il n'y a pas le moindre classement qui inclus Bouteflika. Ce qui me fait penser que l'info postée dans le topic est de l'intox diffusée à l'origine par un internaute et ensuite reprise par de pseudo journalistes comme étant une "info" crédible!

                D'ailleurs, Forbes n'a aucun moyen d'estimer la fortune réelle de Bouteflika. Ce dernier n'est pas actionnaire dans Sonatrach ou autre (officiellement, il n'a que son salaire de président). Bouteflika est probablement riche, mais sa richesse est forcément illégale (argent volé probablement caché dans une banque suisse).

                Concrètement, il n'y a aucune raison pour que Bouteflika figure dans le topic 10 voire le top 20 ou 50 des dirigeants arabes les plus riches.

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                • #9
                  Rajouté Mediene & Co, Boutef et la famille, Khelil etc.. Sans oublier Ait Ahmed le réfugié suisse et vous avez, les premiers au classement des riches de cette terre en Afrique.

                  Commentaire


                  • #10
                    bonjour zoromoro

                    j'ai lu ton article au fait concernant les ROIS, normale qu'ils soient des richards car ils ont hérité de leurs ancêtres par contre les présidents ???? qu'ils gobent de l'argent du peuple.

                    Commentaire


                    • #11
                      Pour comprendre l’animosité du président Abdelaziz Bouteflika envers la Cour des comptes qui vient d'être réactivée malgré lui (lire article), il faut remonter à janvier 1979. Boumediene venait de mourir et la guerre de succession faisait rage. Parmi les prétendants, Abdelaziz Bouteflika. Il fait valoir son statut de « dauphin ». La Sécurité militaire de Kasdi Merbah intervient et écartera d’un revers de la main cette candidature. Kasdi Merbah, « une de ses bêtes noires » comme le confirme le général Nezzar, exhibe les dossiers accumulés par la police politique sur Bouteflika depuis 1963 et notamment un dossier dont personne n’avait jusqu’alors entendu parler : les détournements par Bouteflika des reliquats budgétaires des ambassades algériennes, versés dans une banque Suisse et dont Merbah a tous les détails.
                      L’accusation était lourde et passible de condamnation à mort. Bouteflika le savait. Boumediene n’était plus là pour le protéger. Il chercha d’abord à « rembourser » les sommes détournées. Le 5 janvier 1979, soit une semaine à peine après le décès de Boumediène, Bouteflika remet au Trésor public un chèque libellé en francs suisses d’une contre-valeur de 12 212 875,81 DA tiré de la Société des banques suisses à Genève. Il ne rapatriera pas d’autres sommes, ce qui irritera fortement les autorités qui s’estimaient fondées à considérer ces légèretés comme une marque de mépris à leur endroit. Le chèque remis par Bouteflika était, en effet, loin de correspondre aux chiffres que détenaient les services de renseignements de Kasdi Merbah : Bouteflika aurait « oublié » de s’expliquer sur la disparition de 58 868 679, 85 DA. Il négligera, de plus, d’accompagner ces remboursemensts de justificatifs qui les auraient validés aux yeux du Trésor public, comme le lui demandait Chadli Bendjedid.

                      Cette carence allait précipiter le déclenchement de la procédure judiciaire.
                      L’affaire est lancée, sur fond de luttes d’appareils.
                      Chadli saisit la Cour des comptes.
                      L’enquête de cette institution aboutit à un premier arrêt qui sera prononcé le 8 août 1982 à l’encontre et qui « met en débet Abdelaziz Bouteflika pour une somme dont la contre-valeur en dinars représente 58 868 679, 85 DA et qui reste à justifier ». La Cour explique que ce montant « est l’aboutissement des longues investigations de l’institution tant au niveau de la Trésorerie principale d’Alger qu’à celui du ministère des Affaires étrangères »
                      Ce furent, en effet, de « longues investigations ».

                      Elles portèrent un premier préjudice à Bouteflika qui se voit d’abord suspendu du Comité central du FLN « en attendant son exclusion par le congrès ». Le comité central, réuni ce jour-là en 6e session, signale que « le concerné s’engage à restituer les biens et dossiers du parti et de l’Etat en sa possession », parle de « dossier au contenu grave » qui justifie de « saisir la justice de l’affaire ».
                      L’enquête fut menée ensuite sur plusieurs fronts. Elle établit comment le ministre Bouteflika s’y est pris pour détourner pareille somme d’un Trésor public pourtant vigilant. La Cour des comptes donne, dans El Moudjahid du 9 août 1983, des détails précis sur la façon dont ces sommes ont été dévoyées : «Agissant alors en qualité de ministre des Affaires étrangères, M. Abdelaziz Bouteflika avait successivement ordonné aux chefs de missions diplomatiques et consulaires, par instructions n° 20 du 14 février 1966, n° 33 du 1er décembre 1966, n° 36 du 1er mai 1967, n° 68 du 1er octobre 1969 :
                      - en 1966, de conserver au niveau des postes les soldes disponibles qui devront faire l’objet d’instructions ultérieures particulières ;
                      - en 1967, d’ouvrir des comptes particuliers devant abriter ces disponibilités ;
                      - en 1969, enfin, de procéder au transfert des reliquats disponibles vers deux comptes bancaires ouverts auprès de la Société des banques suisses, les reliquats des exercices ultérieurs devant désormais avoir la même destination. » (1)

                      La Cour observait que « le gel de cette importante trésorerie, qui a notamment profité à un établissement bancaire étranger, n’a donc obéi à aucun texte législatif ou réglementaire et sa gestion échappait totalement au contrôle du Trésor ».
                      Bref, aux yeux de l’instance judiciaire, Abdelaziz Bouteflika a donc bien détourné ces sommes de 1965 à 1978.
                      Bouteflika s’est maladroitement défendu contre tous ces griefs, accumulant dérobades, confusions et bévues. Il refusa obstinément de se présenter à Alger devant la Cour des comptes, obligeant les magistrats instructeurs à se déplacer à Paris et à Genève pour l’entendre. L’idée de se soustraire à la justice n’était pas pour inciter les juges à de clémentes dispositions à son égard. Il se fourvoya ensuite dans des explications contradictoires pour justifier ces placements occultes des fonds des Affaires étrangères sur des comptes suisses. En privé, il soutenait que l’argent devait alimenter « une caisse noire indispensable aux financements secrets de certains mouvements de libération ». Aux magistrats de la Cour des comptes il donna une toute autre version, invoquant la construction d’un nouveau siège du ministère des Affaires étrangères pour laquelle il destinerait la trésorerie amassée sur les comptes suisses. Un argument aussi léger ne pouvait que l’enfoncer davantage.

                      Dans son arrêt, la Cour des comptes se fit d’ailleurs une joie de le démolir sans ménagement : « Ce motif fallacieux ne peut être pris en considération sachant qu’une opération d’investissement obéit à des règles bien précises qu’aucun ordonnateur ne peut ignorer et que l’éventuelle construction d’un nouveau siège du ministère des Affaires étrangères doit être financée par des crédits normalement inscrits au budget de l’Etat. » (1)
                      Dans son arrêt définitif du 8 août 1983, la Cour des comptes donnait un verdict sans appel : « M. Abdelaziz Bouteflika a pratiqué à des fins frauduleuses une opération non conforme aux dispositions légales et réglementaires, commettant de ce fait des infractions prévues et punies par l’ordonnance n° 66-10 du 21 juin 1966 et les articles 424 et 425 du Code pénal. » (1)

                      La Cour des comptes évaluait à « plus de 6 milliards de centimes » le montant dont Bouteflika restait redevable auprès du Trésor, un montant qui, ramené à la parité de 2010, avoisinerait les 300 milliards de centimes.
                      Des mesures conservatoires sont prises à son encontre dans le cadre de l’enquête judiciaire. Son passeport diplomatique lui fut confisqué et son traitement de haut fonctionnaire suspendu. Deux de ses villas sont saisies.
                      Bouteflika échappa cependant à la prison alors que trois de ses collaborateurs impliqués dans le détournement ont passé quatre années en à El-Harrach.
                      « Sans l’intervention magnanime de Chadli, Bouteflika aurait fait plusieurs années de prison pour détournement de fonds publics », confirme Ahmed Taleb Ibrahimi, qui était dans l’entourage de Chadli en qualité de ministre conseiller à la Présidence puis de ministre des Affaires étrangères à partir de 1984. (2) Chadli Bendjedid, qui n’aime pas évoquer cet épisode, se contente d’une formule miséricordieuse : « Ce n’était pas dans ma nature d’enfoncer d’anciens collaborateurs en mauvaise passe. J’ai fait ce qu’il fallait faire envers Bouteflika. » (3)
                      le matin.
                      La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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                      • #12
                        en 74
                        il possedait je crois 0.4% d action coca cola et une bonne part dans le groupe nestle

                        a cette epoque il etait considere comme l homme le plus riche d afrique loin devant mobutu

                        donc ne compter pas sur lui pour lutter contre la corruption
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                        • #13
                          Le roitelet techniquement , tout le royaume qui porte d'ailleurs son nom lui appartient.
                          Montre moi la difference entre celui qui le dit haut et fort et celui qui prétend le contraire...et qui n'est en fait qu'un menteur cupide qui s'est enrichit en un laps de tems
                          Coucher du soleil à Agadir

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                          • #14
                            Ce sont tous les dirigeants occidentaux qui ont mis les projecteurs sur les Présidents algériens. Les USA et la France sont étonnés de voir que les Révolutionnaires algériens qu'ils ont ignorés et dévalorisés ne cherchent pas eux à valoriser ce que l'Occident a produit de déchets en Occident et en Algérie.

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                            • #15
                              C'est pour cela que des Juifs acceptent de "travailler" avec les gens du FN, ils n'y voient pas d'inconvénients, leurs valeurs en seraient préservées. Aller dans ce sens pour assouvir une rancune, ce n'est pas la façon de faire des vrais politiques qui portent une victoire qui dépasse cette humanité à ras du sol.

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