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Un haut fonctionnaire au MAE répond à Mezouar Pourquoi le Maroc s’acharne contre l’Algérie

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  • Un haut fonctionnaire au MAE répond à Mezouar Pourquoi le Maroc s’acharne contre l’Algérie

    Un haut fonctionnaire au MAE répond à Mezouar

    Pourquoi le Maroc s’acharne contre l’Algérie

    Un haut fonctionnaire au ministère des Affaires étrangères explique comment et pourquoi le Maroc s’acharne contre l’Algérie. En se basant sur le dernier «coup fourré» du ministre marocain des Affaires étrangères, Salah Eddine Mezouar, qui a imputé à l’Algérie tous les maux dont souffrent ses compatriotes, ce haut cadre de la diplomatie algérienne apporte une cinglante réponse aux assertions et allégations mensongères produites par le makhzen et véhiculées par des médias «aux ordres».


    Ce haut fonctionnaire algérien assène ainsi un véritable «cours de diplomatie» au MAE marocain, qui a donné libre cours à ses «errements frénétiques» lors d’un récent passage sur le plateau d’une télévision étrangère. En lui rappelant des vérités historiques relatives aux relations entre les deux pays, ce haut fonctionnaire au MAE souligne le fait que l’Algérie a sans cesse déclaré et prouvé sa disponibilité à relancer et à développer les liens de coopération au service des relations de fraternité et de bon voisinage avec le Maroc, auxquelles elle est attachée.
    Preuve en est la dernière réaction du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, qui, malgré la virulence des propos de M. Mezouar, réaffirmait le souci de l’Algérie d’établir des relations «normales» avec le Maroc. Pour «rafraîchir» la mémoire du chef de la diplomatie marocaine atteint d’«amnésie», il rappelle de nombreux faits historiques qui ne donnent pas à l’Algérie le statut d’agresseur, contrairement à ce que le MAE marocain veut faire croire.
    Pour étayer ses propos, ce haut cadre algérien évoque la «guerre des sables» de 1963 où l’Algérie, qui venait de recouvrer son indépendance, a dû repousser les assauts expansionnistes de l’armée marocaine. Il lui a également rappelé dans quelles conditions l’Algérie a opté, en 1995, pour la fermeture de sa frontière avec le Maroc, soulignant ainsi l’accusation de l’Algérie d’être derrière l’attentat qui a ciblé, en août 1994, un hôtel à Marrakech alors qu’elle faisait face, seule, à des actes terroristes d’une extrême sauvagerie.
    Chasse aux Algériens
    Une accusation suivie d’une véritable chasse aux Algériens qui s’est traduite, dans un premier temps, par l’instauration de visas pour ceux désirant se rendre au royaume et qui a abouti à la dépossession de dizaines d’Algériens de leurs biens immobiliers avant d’en être expulsés manu militari sans ménagement.
    Autre fait souligné : le refus du Maroc de recevoir, en 2005, une délégation conduite par l’ancien chef de gouvernement algérien, Ahmed Ouyahia, lequel œuvrait à la normalisation des relations avec le Maroc. Ce haut fonctionnaire, qui semble bien maîtriser le dossier marocain, ne manque pas de relever l’appel, maintes fois réitéré par l’Algérie, à «l’arrêt de la campagne de dénigrement contre l’Algérie, à une coopération efficiente et de bonne foi pour stopper les flux massifs de drogues et se résoudre, une fois pour toutes, à accepter sa position de principe par rapport à la question du Sahara occidental qui relève de la responsabilité des Nations unies».
    Pour ce haut responsable algérien, «il est vain de mettre la question du Sahara occidental au cœur de la relation bilatérale» comme se plaît à le faire Mezouar, car «la position algérienne, qui rejoint celle de la communauté internationale, est inflexible». Il souligne dans ce sillage l’existence d’une doctrine onusienne de décolonisation.
    «La stratégie de la tension»
    «Il est malheureux de constater que les relations bilatérales algéro-marocaines et la construction maghrébine ont fait les frais de la stratégie de la tension et de la politique de rupture que nos voisins marocains entretiennent savamment et cultivent avec une rare constance pour tenir en otage la destinée des peuples maghrébins avec le vain espoir de voir l’Algérie renier sa position principale sur la question du Sahara occidental qui est conforme, je le précise, à la stricte légalité internationale», ajoute ce haut fonctionnaire, qui explique cet acharnement marocain contre l’Algérie par «cette peur panique du Maroc à l’approche de rendez-vous cruciaux, en octobre prochain et en avril 2015, où l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, devra faire son rapport au Conseil de sécurité sur la question du Sahara occidental».
    «C’est cette perspective douloureuse qui explique, selon le même responsable, la rage et le désarroi de Mezouar, qui en est réduit aux gesticulations paniquées et aux réactions hystériques visant à rendre l’Algérie responsable de l’impasse que connaît le processus de règlement de ce conflit.» Une panique qui pousse le makhzen à intensifier ses attaques médiatiques en excellant dans l’art de la duperie, de la manipulation et de la désinformation, devenues sa spécialité en l’absence de faits réels.

    M. A. O.
    elwatan
    Dernière modification par Daruis80, 11 août 2014, 21h05.

  • #2
    quand un article n'est pas signé , il ne vaut pas d'être lu.

    au suivant

    Commentaire


    • #3
      quand un article n'est pas signé , il ne vaut pas d'être lu.

      au suivant

      Hein KHORE ????

      tu ne peux t empêcher lorsqu il s agit de la Monarchie ???


      Un haut fonctionnaire au MAE répond à Mezouar

      Pourquoi le Maroc s’acharne contre l’Algérie

      *Une panique qui pousse le makhzen à intensifier ses attaques médiatiques en excellant dans l’art de la duperie, de la manipulation et de la désinformation, devenues sa spécialité en l’absence de faits réels.
      @Daruis 80
      sans aucun doute d autre attaque envers le voisin de l Est

      *Faut-il donc s'attendre et se préparer à d'autres attaques du Makhzen dans les mois à venir ?
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

      Commentaire


      • #4
        Cours de diplomatie!!!!!
        Mezouar, une prostituée faisant le trottoir et dont tu refuses les avances, ça passe aux insultes et aux menaces avec les souliers à talons hauts.
        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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        • #5
          il faut croire que ce Mezouar fait beaucoup de mal a l'algerie par ses sorties;vu les ripostes des diplomates a coté;;je ne savais qu'il etait aussi mordant;grâce a lui on aura bientôt un bel face a face diplomatique
          oui;khalletha tesfa!!

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          • #6
            posté par Daruis 80

            il faut croire que ce Mezouar fait beaucoup de mal a l'algerie par ses sorties
            .

            Du Tozozisme ??? !!!!

            Plutot il se ridiculise de plus en plus ( Cauchemar diplomatique )

            Par FAIBLESSE ? Il avait extériorisé ses sentiments d échec face à Lamamra

            *Ramtane Lamamra, le ministre qui dérange le Maroc

            - connu pour être un « pitbull de la politique », risque de « donner du fil à retordre à Rabat ».

            - Le mastodonte du Maghreb a désormais l’ambition de jouer un rôle majeur dans la région et à l’international… Avec Lamamra comme chef de file !( par Tel Quel )
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

            Commentaire


            • #7
              Le mastodonte du Maghreb
              aux pieds d'argile!oeilfermé

              Commentaire


              • #8
                ce monsieur devrai relire toute l histoire du maghreb avant de dire des betises mezouar n a dit que la verite sur l algerie si elle est pas d accord elle n a qu a rompre les relations avec le maroc rien ne l empeche et arretez de nier ce que vous faites assumer un peu

                Commentaire


                • #9
                  @Daruis 80

                  T avait posté un Thread pour discussion , alors continue la discussion !!!

                  l Argile marocain : Réaction de bête blessée

                  1/Le ministre marocain des AE insulte l’Algérie
                  2/Perte d’influence et isolement diplomatique ( SO , ainsi le Mali )


                  En perte de vitesse sur le dossier du Sahara occidental, le makhzen perd...
                  1/Sans doute agacé par les échecs de son appareil diplomatique, le Maroc recourt à l’insulte.

                  2/Acculé par l’opinion publique de son pays, le ministre marocain des Affaires étrangères, Salaheddine Mezouar, s’est violemment attaqué à l’Algérie à propos notamment du conflit au Sahara occidental.
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                  Commentaire


                  • #10
                    l'algerie a refusé la main tendu de Atmani(naif a mon avis;mais de bonne volonté);maintenant elle aura affaire Mezouar ;politique charismatique et ambitieux qui se fera les dents sur l'amamra et consœursoeilfermé

                    Commentaire


                    • #11
                      Un article anonyme citant un diplomate anonyme
                      J'ai connu le clan des eradicateurs plus courageux mais bon tous le monde est occupé a dépecer les derniers morceaux de gras de la bête .....on leur pardonne

                      Commentaire


                      • #12
                        posté par tizout

                        Un article anonyme citant un diplomate anonyme
                        Réponse du berger à la bergere :

                        Des propos virulents
                        Décidément, Alger ne pouvait rester insensible et se prémunir de toute la réserve qu'elle s'est promise face aux provocations et aux accusations du Makhzen, histoire de garder son calme et d'éviter surtout de pousser le bouchon plus loin dans cette escalade diplomatique orchestrée par les Marocains.

                        Le ministre algérien des Affaires étrangères, M. Ramtane Lamamra, avait dans ce contexte laissé entendre récemment, lors d'un passage sur une chaîne de télévision privée, que l'Algérie se fera un honneur de ne plus riposter à chaque invective de responsables marocains, qui profitent ces derniers temps de la moindre lucarne pour jeter le discrédit sur les autorités algériennes, mais considérant certainement que les dérives ont atteint un seuil de l'intolérable, on a laissé soin de cette mission de mise au point à un «haut fonctionnaire du MAE».

                        Après avoir qualifié de «minable» la position algérienne sur le dossier sahraoui, provoquant un tollé général en plein mois de Ramadhan, le chef de la diplomatie marocaine, M. Salah Eddine Mezouar, est revenu à la charge avec un cran en plus dans le ton hostile. Il s'est illustré ces derniers jours sur le plateau d'une chaîne de télévision étrangère en tentant encore et toujours de coller à la partie algérienne tous les torts fictifs à l'origine du blocage de la construction de l'UMA, avancer de fausses vérités sur l'épisode d'Amgala pour lequel le ministre marocain accuse l'Algérie d'avoir armé et pris part aux affrontements qui ont opposé, en 1976, les forces marocaines au Front Polisario, faire porter la responsabilité exclusive de l'Algérie dans la fermeture des frontières en 1995, et bien sûr l'éternel reproche d'une perturbation de la solution préconisée par le Maroc dans le traitement du dossier sahraoui.

                        Pour «rafraîchir» la mémoire du ministre marocain des Affaires étrangère, dira le haut fonctionnaire du MAE, et «l'aider à parachever ses classes en diplomatie», ironisera-t-il, il rappellera à la mémoire «la guerre des sables», en 1963, où l'Algérie, qui sortait à peine d'une douloureuse et longue guerre d'indépendance contre le colonisateur français, a dû repousser les assauts expansionnistes de l'armée marocaine, tout en soulignant dans ce sillage que le diplomate marocain «n'a pas été non plus en mesure d'établir une quelconque responsabilité de l'Algérie dans les affrontements entre les forces armées royales et le Front Polisario qui, soit dit au passage, se sont déroulés sur le territoire sahraoui, et le rôle de l'Algérie s'étant limité à fournir aux réfugiés sahraouis nourriture et assistance médicale»

                        . Quant au blocage de l'UMA, il indiquera que «c'est le Maroc, et non l'Algérie, qui a pris l'initiative de geler les activités de l'UMA par une lettre adressée, en décembre 1995, par son ministre des Affaires étrangères de l'époque, Abdelatif Filali, à ses homologues maghrébins». Au sujet de la fermeture des frontières, le haut fonctionnaire du MAE met en lumière toute la responsabilité du Maroc, le premier à engager les hostilités sur ce plan.

                        «La question du Sahara Occidental est une question de décolonisation qui relève de la responsabilité des Nations unies. Il est vain de mettre cette question au cœur de la relation bilatérale comme se plaît à le faire Mezouar, car la position algérienne, qui rejoint celle de la communauté internationale, est inflexible».

                        «Aurait-il oublié que le Maroc a été le premier à attenter à la dignité de l'Algérie et de ses enfants. Les autorités marocaines avaient accusé l'Algérie d'être derrière l'attentat qui a ciblé, en août 1994, un hôtel à Marrakech alors que l'Algérie faisait face à des actes terroristes d'une extrême sauvagerie. Une véritable chasse aux Algériens avait été organisée au lendemain de cet événement.

                        Elle s'est traduite dans un premier temps par l'instauration de visas pour les Algériens désirant se rendre au Royaume. Des dizaines d'Algériens ont ainsi été chassés de leurs hôtels et expulsés manu militari sans ménagement, tandis que des centaines ont affirmé avoir subi des brutalités de la part des services de police marocains», indiquera à ce propos le haut fonctionnaire du MAE.

                        Non sans rappeler dans ce sens «qu'au moment où l'Algérie entamait un processus de normalisation de ses relations avec le Maroc, en décidant de dépêcher en 2005 une délégation conduite par l'ancien chef du Gouvernement algérien, M. Ahmed Ouyahia, accompagné d'une délégation comprenant plusieurs ministres, le ministère marocain des Affaires étrangères a rendu public, la veille, un communiqué dans lequel il a fait comprendre clairement que le chef du Gouvernement algérien n'était pas le bienvenu au Maroc». Qui cherche alors le pourrissement des relations bilatérales ? S'agissant de la situation qui prévaut au niveau des frontières et qu'on trouve «étrange», selon une expression de Sa Majesté le roi du Maroc, le responsable du MAE remet sur tapis les conditions de l'ouverture des frontières. A ce propos, il dira que «les responsables marocains ne doivent pas, inutilement, simuler l'amnésie car les choses sont on ne peut plus claires : arrêt de la campagne de dénigrement contre l'Algérie, coopération efficiente et de bonne foi pour stopper les flux massifs de drogues et se résoudre, une fois pour toutes, à accepter que l'Algérie ne reniera pas sa position de principe qu'elle n'a eu de cesse de proclamer depuis le début, à savoir que la question du Sahara Occidental est une question de décolonisation qui relève de la responsabilité des Nations unies. Il est vain de mettre cette question au cœur de la relation bilatérale comme se plaît à le faire Mezouar, car la position algérienne, qui rejoint celle de la communauté internationale, est inflexible».

                        Enfin, le haut fonctionnaire du MAE explique cette peur panique du Maroc par «l'approche d'un rendez-vous crucial, en octobre prochain et en avril 2015, où l'envoyé personnel du Secrétaire Général de l'Onu, M. Christopher Ross, devra faire rapport au Conseil de sécurité sur la question du Sahara Occidental dans le cadre de l'évaluation de tout le processus politique avec, à la clé, la possible redéfinition des paramètres devant guider la recherche d'une solution à la question du Sahara Occidental qui soit en conformité avec la légalité internationale et qui reléguerait aux oubliettes la thèse unilatérale et déséquilibrée de l'autonomie sur laquelle le Maroc a tant investi».

                        Faut-il donc s'attendre et se préparer à d'autres attaques du Makhzen dans les mois à venir ?

                        Q O par Abdelkrim Zerzouri
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                        Commentaire


                        • #13
                          Réponse du berger à la bergere
                          ahh;drabtiha fi al 3ayn al 3awra

                          je te plains

                          Commentaire


                          • #14
                            Lorsque tu comprendras la signification , revient discuter ???

                            @Daruis 80

                            Assez d hypocrisie à la Mézouar ??

                            les bêtes blessées à l Ouest ( dixit le porte parole du MAE algerien )

                            Trop tard , le Maroc ne peut rien faire ..
                            Décadence de la politique MAROCAINE dans le Maghreb et l Afrique
                            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                            Commentaire


                            • #15
                              franchement ce MEZOUAR fait mal a l'algerie ,

                              la réputation de la junte est mal en point , le ministre malien est au maroc , l'autonomie est en marche , ROSS a été humilié par le maroc le pauvre il a disparu , commission mixte avec les russes , obama viendra au maroc .

                              et le pitbull continue de chialer a ennahar . par contre quelqu un a des nouvelles d 'un certain bouleftika.?

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