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La reprise des combats dans la région de Tombouctou a mis en péril l’accord sur « la cessation des hostilités », signé par Bamako et six groupes rebelles de l’Azawad le 24 juillet dernier à Alger.
Le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) garde ses distances vis-à-vis des combats qui se déroulent depuis quelques jours dans la région de Tombouctou, près de la frontière avec la Mauritanie.
« Les combats qui se tiennent depuis le 9 août dans la zone de Lerneb (région de Tombouctou), n'impliquent pas encore des unités du MNLA », a affirmé le Mnla, laissant entendre par là, une probable intervention de ses combattants.
Le communiqué vient démentir les propos d’Ahmed Ould Sidi Mohamed, chef d’une faction du Mouvement arabe de l’Azawad ( MAA) qui a accusé, le 10 août dernier, le Mnla de « violer l’accord d’Alger » en attaquant ses bases à Lerneb. La faction d’Ahmed Ould Sidi Mohamed, est « très proche de Bamakou », selon le Mnla.
Le mouvement a précisé par ailleurs, qu’il n’est « pas concerné » par les bombardements menés le 10 août dernier par la force française « Barkane », dans la région de Tombouctou. Ces frappes « auraient ciblé un groupe mobile non identifié soupçonné d’appartenir aux groupes narco-terrorisme dans la région de Essakane, au Nord-Est de Tombouctou », lit-on dans le communiqué.
Le MNLA, principal mouvement rebelle au nord du Mali, a réussi à expulser l’armée malienne des territoires de l’Azawad en début 2012, avant qu’il ne soit délogé par les groupes Djihadistes. Ces derniers ont été chassés à leur tour, en 2013, par l’armée française dans le cadre de l’opération Serval.
La reprise des combats dans la région de Tombouctou a mis en péril l’accord sur « la cessation des hostilités », signé par Bamako et six groupes rebelles de l’Azawad, le 24 juillet dernier à Alger.
Farouk Djouadi
Le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) garde ses distances vis-à-vis des combats qui se déroulent depuis quelques jours dans la région de Tombouctou, près de la frontière avec la Mauritanie.
« Les combats qui se tiennent depuis le 9 août dans la zone de Lerneb (région de Tombouctou), n'impliquent pas encore des unités du MNLA », a affirmé le Mnla, laissant entendre par là, une probable intervention de ses combattants.
Le communiqué vient démentir les propos d’Ahmed Ould Sidi Mohamed, chef d’une faction du Mouvement arabe de l’Azawad ( MAA) qui a accusé, le 10 août dernier, le Mnla de « violer l’accord d’Alger » en attaquant ses bases à Lerneb. La faction d’Ahmed Ould Sidi Mohamed, est « très proche de Bamakou », selon le Mnla.
Le mouvement a précisé par ailleurs, qu’il n’est « pas concerné » par les bombardements menés le 10 août dernier par la force française « Barkane », dans la région de Tombouctou. Ces frappes « auraient ciblé un groupe mobile non identifié soupçonné d’appartenir aux groupes narco-terrorisme dans la région de Essakane, au Nord-Est de Tombouctou », lit-on dans le communiqué.
Le MNLA, principal mouvement rebelle au nord du Mali, a réussi à expulser l’armée malienne des territoires de l’Azawad en début 2012, avant qu’il ne soit délogé par les groupes Djihadistes. Ces derniers ont été chassés à leur tour, en 2013, par l’armée française dans le cadre de l’opération Serval.
La reprise des combats dans la région de Tombouctou a mis en péril l’accord sur « la cessation des hostilités », signé par Bamako et six groupes rebelles de l’Azawad, le 24 juillet dernier à Alger.
Farouk Djouadi
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