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Kebir de retour en Allemagne ????

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  • Kebir de retour en Allemagne ????

    Grosse surprise : Kebir serait reparti en Allemagne alors que depuis son retour il semblait en campagne électorale multipliant les déplacements en Algérie et participant à de nombreuses manifestations et réunions. Le gouvernement l'aurait-il rappelé à l'ordre ???

    Rabah Kébir retourne en Allemagne

    En attendant la décantation

    Il faut rappeler que Rabah Kébir a depuis son retour entamé de larges consultations avec la classe politique dont des partis tels le FLN, le MSP et le MRN.

    Rabah Kébir est retourné parmi les siens à Francfort. Mais la mission d’éclaireur pour laquelle il disait être rentré à Alger n’est pas pour autant achevée. Le désormais ex-exilé d’Aix-la-Chapelle reviendra au pays dans quelques mois. Le temps de faire le bilan de la première phase de sa mission. Ainsi; il est permis de dire que c’est en observateur venu préparer son installation et se préparer politiquement aux élections générales de juin 2007 qu’il a entrepris cette première mission. En effet, il faut rappeler que Rabah Kébir a depuis son retour entamé de larges consultations avec la classe politique dont des partis tels le FLN, le MSP, le MRN et quelques personnalités comme MM. Abdelhamid Mehri, Abderrahmane Chibane, Farouk Ksentini, des collaborateurs de l’ancien président Ahmed Ben Bella, Ali Benhadj et les anciens émirs de l’AIS. En somme, Rabah Kébir a fait un tour d’horizon de l’évolution de la scène politique. Il a aussi animé deux conférences de presse où l’on a enregistré un repli stratégique dans ses intentions revues à la baisse par rapport à l’enthousiasme qui l’animait au lendemain de son retour le 19 septembre. Venue avec en tête une seule idée, celle de créer «son parti politique», il est retourné en Allemagne avec d’autres. En un mois et demi de pourparlers avec les acteurs de la classe politique qu’il a eu à rencontrer, il s’est vu obligé de renoncer à l’urgence de créer un parti sans abandonner toutefois son projet. Rabah Kébir a-t-il renoncé temporairement à son projet pour éviter un faux pas? A-t-il estimé qu’il ne fallait pas aller trop vite et trop loin en besogne. Certainement. Et Kébir s’est contenté dans l’immédiat d’annoncer une participation aux prochaines élections communales et législatives. Il a expliqué la raison du report de son projet de créer un parti par l’absence de conditions objectives et subjectives. Pourtant, l’ex-condamné à mort a pu entamer, déjà, à la faveur, faut-il le rappeler, des dispositions de la charte pour la paix et la réconciliation une nouvelle carrière politique. En 2007, l’acte II sera vraisemblablement celui d’un retour vers le futur et donc pour faire en conséquence campagne aux listes qu’il aura à confectionner indépendamment ou en accord avec les partis politiques qui vont les parrainer. Si le ouï-dire annonce prématurément les deux sigles d’En Nahda et du FLN, rien ne renseigne encore du côté de dire que ces deux formations sont disposées, selon les assurances du 3e homme de l’ex-fis, à servir d’«éprouvette» à accueillir sur leurs listes des ex-fisistes. Si au FLN les militants, en grand nombre, peinent à s’en sortir, à la base comme au sommet, pour concocter des listes propres aux Flinistes , on imagine mal comment des candidats, extra FLN, peuvent se tailler des listes communes dans un parti qui veut confirmer sa nette hégémonie en gardant sa position de parti majoritaire dans les Assemblées élues. D’autant que la situation qui y prévaut ne le permet pas. A En Nahda, même si Kébir et certains émirs sont issus de cette formation avant de rejoindre l’ex-Fis, la faisabilité de cette hypothèse risque de coûter à l’ex-parti de Djaballah qui encourt de deux choses l’une : ou l’éclatement, vu qu’une partie s’opposera immanquablement à un semblant de retour au bercail feutré d’arrières pensées politique ou le parti, en coma politique depuis le départ des Adami, Boughazi et Benaïcha cèdera à une telle démarche pour se voir «phagocyter» par l’offensive des Kébir et acolytes pour se venger des Islamistes du MRN, affaibli par la division qui traverse les rangs du cheikh Djaballah. Une autre fitna que Kébir n’a pas intérêt à susciter dans le but de s’assurer une sympathie politique pour le reste de sa carrière.

    C’est dire que les choix qui se présentent à Rabah Kébir pour se relancer politiquement en 2007 ne sont pas des plus faciles à trancher

    S. B.
    le jour d'Algérie
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

  • #2
    bon debaras, qu'il se casse on en a des milliers comme lui

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    • #3
      Il est retourné en Allemagne pour jeter un coup d’œil sur ses affaires Comme la plupart des hommes politiques algériens, ils ont pied en Algérie et un autre à l’étranger.
      Dernière modification par dzcomment, 02 novembre 2006, 16h46.

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