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Une étude récente réalisée sur le petit animal vient de démontré un phénomène secondaire lié aux traitements par chimiothérapie des cancers et dont de nombreux malades se plaignaient.
Cette effet se traduisant par une perte de certaines facultés cognitives comme la perte de mémoire avait d'abord été dissocié du traitement par chimiothérapie par la plupart des études réalisées. Mais ces études ont fait preuve de plusieurs biais expérimentaux comme notamment la prise en compte d'échantillons en nombre trop faibles pour assurer la reproductibilité des résultats, ou des effets secondaires créés par la maladie introduisant un état de stress et de malaise pouvant altérer les performances.
Face à ces problèmes méthodologiques, Gordon Winocur du Baycrest Research Centre for Aging and the Brain, et Ian Tannock et Janette Vardy du Princess Margaret Hospital ont établi un protocole expérimental comprenant l'expérimentation sur 25 souris en bonne santé.
Séparés en deux groupes, une partie des animaux se sont vus injectés les molécules employées lors du traitement par chimiothérapie (methotrexate et 5-fluorouracil (5FU)) alors que l'autre partie a reçu seulement une solution saline, se traitement ayant été administré pendant trois semaines.
Une semaine avant la fin du traitement, les souris ont été soumises à des tests de mémoire spatiaux/non-spatiaux et à une épreuve d'apprentissage dans un labyrinthe d'eau ce qui a permi aux chercheurs de tester plusieurs facultés cognitives des animaux.
Les souris traités ont clairement montré des faiblesses sur les tests faisant appel à leurs facultés de mémorisation spatiale et d'organisation stratégique et plus spécifiquement que les intervalles entre les phases d'apprentissage et de tests étaient séparée temporellement alors que le groupe test n'a montré aucune marque de désordre cérébrale. Les souris n'ont montré aucun problème sur les tests de mémoire discriminatoire, tâches qui ne sont pas affectées par des dommages du lobe frontal.
Il apparaît donc que les molécules produisent des effets secondaires sur les régions de l'hippocampe qui ne semblent pas s'étendre vers d'autres régions du cerveau.
Le test comportemental a été effectué dans la deuxième semaine de traitement puis répété au cours de la quatrième puis cinquième semaine,seuls les effets à court-terme ont pu être observés, laissant l'espoir de recouvrir les facultés perdues pour des traitement sintervenant sur des intervalles de temps plus longs.
Source : EurekAlert
Cette effet se traduisant par une perte de certaines facultés cognitives comme la perte de mémoire avait d'abord été dissocié du traitement par chimiothérapie par la plupart des études réalisées. Mais ces études ont fait preuve de plusieurs biais expérimentaux comme notamment la prise en compte d'échantillons en nombre trop faibles pour assurer la reproductibilité des résultats, ou des effets secondaires créés par la maladie introduisant un état de stress et de malaise pouvant altérer les performances.
Face à ces problèmes méthodologiques, Gordon Winocur du Baycrest Research Centre for Aging and the Brain, et Ian Tannock et Janette Vardy du Princess Margaret Hospital ont établi un protocole expérimental comprenant l'expérimentation sur 25 souris en bonne santé.
Séparés en deux groupes, une partie des animaux se sont vus injectés les molécules employées lors du traitement par chimiothérapie (methotrexate et 5-fluorouracil (5FU)) alors que l'autre partie a reçu seulement une solution saline, se traitement ayant été administré pendant trois semaines.
Une semaine avant la fin du traitement, les souris ont été soumises à des tests de mémoire spatiaux/non-spatiaux et à une épreuve d'apprentissage dans un labyrinthe d'eau ce qui a permi aux chercheurs de tester plusieurs facultés cognitives des animaux.
Les souris traités ont clairement montré des faiblesses sur les tests faisant appel à leurs facultés de mémorisation spatiale et d'organisation stratégique et plus spécifiquement que les intervalles entre les phases d'apprentissage et de tests étaient séparée temporellement alors que le groupe test n'a montré aucune marque de désordre cérébrale. Les souris n'ont montré aucun problème sur les tests de mémoire discriminatoire, tâches qui ne sont pas affectées par des dommages du lobe frontal.
Il apparaît donc que les molécules produisent des effets secondaires sur les régions de l'hippocampe qui ne semblent pas s'étendre vers d'autres régions du cerveau.
Le test comportemental a été effectué dans la deuxième semaine de traitement puis répété au cours de la quatrième puis cinquième semaine,seuls les effets à court-terme ont pu être observés, laissant l'espoir de recouvrir les facultés perdues pour des traitement sintervenant sur des intervalles de temps plus longs.
Source : EurekAlert
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