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L’été 2014 n’est pas de tout repos pour la compagnie Air Algérie. Moins d’un mois après le crash du vol AH 5017, les critiques se multiplient sur la gestion de la compagnie nationale et sur ses errements en matière de sécurité.
Selon nos confrères du Canard Enchaîné (hebdomadaire satirique), la France ne fait pas vraiment confiance à la compagnie algérienne. Lors de son passage à Alger, le centre de crise du ministère des Affaires étrangères a évoqué les trois risques majeurs pour les expatriés : « les séismes, les enlèvements et… les crash aériens », révèle le journal.
Le Canard Enchaîné explique, par ailleurs, que la compagnie « d’État » a échappé de justesse à l’inscription sur la liste noire des compagnies jugées dangereuses, par l’Agence européenne de la sécurité aérienne (EASA) en 2009. Mais le label « sécurité » de l’aviation civile internationale expirera en décembre 2014.
La reconduction de ce label n’est pas acquise. « Les résultats de l’expertise technique et de l’enquête judiciaire récemment ouverte par les parquets de Paris et d’Alger pourraient mettre à mal la réputation de la compagnie étatique algérienne… déjà joyeusement entachée par une série de couacs », conclut le journal réputé pour ses révélations et ses investigations.
tsa
Selon nos confrères du Canard Enchaîné (hebdomadaire satirique), la France ne fait pas vraiment confiance à la compagnie algérienne. Lors de son passage à Alger, le centre de crise du ministère des Affaires étrangères a évoqué les trois risques majeurs pour les expatriés : « les séismes, les enlèvements et… les crash aériens », révèle le journal.
Le Canard Enchaîné explique, par ailleurs, que la compagnie « d’État » a échappé de justesse à l’inscription sur la liste noire des compagnies jugées dangereuses, par l’Agence européenne de la sécurité aérienne (EASA) en 2009. Mais le label « sécurité » de l’aviation civile internationale expirera en décembre 2014.
La reconduction de ce label n’est pas acquise. « Les résultats de l’expertise technique et de l’enquête judiciaire récemment ouverte par les parquets de Paris et d’Alger pourraient mettre à mal la réputation de la compagnie étatique algérienne… déjà joyeusement entachée par une série de couacs », conclut le journal réputé pour ses révélations et ses investigations.
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