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ALGER obtient la 135e place sur 140 dans l'Index de vivabilité 2014 de The Economist

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  • ALGER obtient la 135e place sur 140 dans l'Index de vivabilité 2014 de The Economist

    Alger reste à la 135e place sur 140 dans le classement de l'index de vivabilité 2014 établi chaque année par The Economist Intelligence Unit .

    La capitale algérienne obtient, comme en 2013, un score de 40 en stabilité et est jugée moins stable que Tripoli (132e). La capitale libyenne a un score en stabilité de 45 mais dépasse Alger aussi en matière d'infrastructure (51,8 contre 30,4).

    Le classement est dominé par les villes australiennes, notamment Melbourne qui décroche la première place pour la quatrième année consécutive. La dernière place est occupée par Damas, capitale de la Syrie.

    Ce classement de vivabilité du Economist détermine, comme l'explique le rapport, les endroits autour du monde qui offrent les meilleures et les pires conditions de vie. Les critères considérés incluent la stabilité, l'infrastructure, la santé, l'éducation, l'environnement et la culture.

    De nombreux mauvais élèves se situent dans des zones de conflit. Ceci est dû à un mauvais score en stabilité mais aussi car les facteurs déterminant cette stabilité, indique le rapport, affectent d'autres critères comme l'infrastructure ou la santé.





    Source: huffpostmaghreb

  • #2
    Maalich puisque l'algérie gagne la médaille d'or aux starwood makanwalou championships
    Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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    • #3
      Du «Baygon» contre les «microbes»

      Publié le 14 août 2014
      La Police Ivoirienne lance la traque aux microbes à Abidjan
      La police ivoirienne lance la traque aux « microbes » à Abidjan
      Comme les enfants soldats du Liberia ou de la Sierra Leone, les populations d’Abidjan découvrent le visage hideux de la criminalité juvénile précisément celle des mineurs. Il s’agit d’enfants de 9 à 17 ans rompus à l’art du maniement des armes blanches que l’on appelle sur les bords de la lagune Ebrié les « microbes ».

      Les « microbes » sont devenus en l’espace d’un an un véritable problème de société, pire un fléau urbain avec des victimes qui se compte par dizaines. La violence de leur mode opératoire laisse encore effrayés tous ceux qui ont eu le malheur de les croiser. Et chacun d’entre eux a une histoire pathétique à raconter. C’est le cas de Yacou Sangaré résident du quartier Marley à Abobo. Ce père de famille est un miraculé ! En effet il porte encore sur lui les stigmates de son agression.

      « 7 microbes m’ont attaqué au niveau de la boulangerie de Sanmanké (Abobo). Le premier m’a assommé avec une barre de fer, le second m’a pratiquement arraché le bras avec un coup de machette et le dernier m’a poignardé dans le ventre » nous explique Yacou Sangaré.

      C’est seulement après cette attaque à l’arme blanche que les « microbes » vont le soulager de sa bourse avant de le laisser près de sa moto en croyant qu’il allait se vider de son sang ! Le phénomène des « microbes » naît dans le quartier d’Abobo (Abidjan-nord), ancien bataillon des groupes d’autodéfense contre l’armée régulière lors de la meurtrière crise post-électorale que la Côte d’Ivoire a vécue. Tel un mythe, le bruit des enfants tueurs se fait de plus fort et envahit la capitale économique ivoirienne. Personne ne prend l’affaire au sérieux, mais les premiers vols à main armée et les premiers crimes alertent l’opinion. Pas moins de 9 gangs de « microbes » sont identifiés dont les tristement célèbres gangs de Marley, Boribana et Warriors. Selon le sociologue et assistant social Daniel Tra Diby, le phénomène loin de s’estomper, prend plutôt de l’ampleur. Les jeunes « microbes » ont infesté les quartiers d’Adjamé et d’Attecoubé. Le mode opératoire de ces enfants tueurs reste le même.

      « Ils vous encerclent selon une technique propre aux mendiants, font semblant souvent de quémander une piécette et au moment où on s’y attend le moins on se retrouve avec des gamins armés de machettes », nous explique Daniel Tra Diby.



      Un profil très varié

      Ils sont présents dans la cité, mais il n’est pas aisé de les retrouver, pourtant nous les voyons sans jamais les soupçonner. Du sage écolier à l’apprenti mécanicien en passant par le turbulent collégien, le profil des « microbes » est très varié. Celui qui se présente à nous sous le prénom d’Ibrahim s’appelle Jackys dans son gang. Il est ferrailleur la journée et « microbe » une fois la nuit tombée. Il justifie son choix par la pauvreté dans laquelle il vit avec sa famille.

      « Tu sors chaque matin, on dit que tu travailles mais tu n’as jamais rien sur toi…tu es obligé la nuit d’agresser les passants pour ramener de l’argent à la maison. Oui, c’est vrai, je suis « microbe » mais mes parents ne le savent pas nous explique le jeune homme âgé de 17 ans. »

      Les parents d’Ibrahim dans la totale ignorance pensent donc que leur fils revient chaque jour à la maison avec l’argent du garage. Que nenni ! Ibrahim aide sa famille avec l’argent du crime.

      Quel que soit le motif avancé par les microbes » pour justifier leurs actes, la police face aux nombreux meurtres et plaintes des victimes a décidé d’agir pour mettre fin à ce phénomène d’insécurité. L’opération « Baygon » est lancée : la sensibilisation a fait désormais place à la répression. Quelques faits illustrent cette volonté de mettre un terme au règne des « microbes ». Le 23 juillet 2014 à Boribana (Attécoubé) on compte deux jeunes tués et trois mis aux arrêts. Le 25 juillet à Abrass (Adjamé) cinq tués et dix autres mis à l’ombre. Le 4 août dans le quartier Voyou, 220 logements (ancien siège d’Edipress) trois délinquants sont mis hors d’état de nuire… Là où la police n’est pas arrivée à temps, les populations se sont occupées de leur propre sécurité. Résultat : vingt adolescents lynchés à Abobo confirme le commissaire Timité Vassindou.

      La pression sur les « microbes » est maintenue avec la création d’une unité baptisée brigade spéciale anti-microbes. Au moment où nous mettons en ligne ce post, 122 délinquants qui ne sont pas tombés sous les balles de la police ont été conduits au cachot. En dépit de ces chiffres qui indiquent que la terreur a changé de camp, les jeunes « microbes » ne semblent pas avoir dit leur dernier mot, en témoigne le meurtre d’un chef boulanger et d’un enseignant du supérieur à Abobo.

      SUY Kahofi
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        bof, ça ne veut rien dire, c'est pas celui qui habite dans le lux du bas monde qui est le meilleur

        Le trésor est el 9ana3a

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        • #5
          Le trésor est el 9ana3a
          Ça ne veut pas dire qu'on doit accepter la médiocrité sur tous les niveaux et la défendre.

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          • #6
            La capitale algérienne obtient, comme en 2013, un score de 40 en stabilité et est jugée moins stable que Tripoli (132e
            Ils ont tous de même une notion de la stabilité étrange
            Je veux bien qu'Alger ait des defaults mais la mettre sur le même plan qu'une capitale d'un pays sans état ou les affrontements au lance roquette sont quotidien , c'est pousser le bouchon un peu loin

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            • #7
              Tous ces statistiques qui nous viennent des usa sont à prendre avec beaucoup de pincettes

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              • #8
                en Education
                Zimbabwe>>>>>>Harrare 66.7
                Algérie>>>>>>>>Alger 50.0
                Là ça coince!...oeilfermé
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                • #9
                  Moi je peux pas vivre en Australie ou à chicago, ou à Londres pour moi triste, j'étouffera laba

                  Je peux pas vivre dans des villes ou les immeubles sont gris, noirs, comme à new york
                  c'est insupportable

                  J'aime vivre dans des petites villes avec un paysage, j'aime vivre dans les villes d'Algerie oeilfermé

                  Commentaire


                  • #10
                    La capitale algérienne obtient, comme en 2013, un score de 40 en stabilité et est jugée moins stable que Tripoli (132e)
                    N'est ce pas !!

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                    • #11
                      Alger reste à la 135e place sur 140 dans le classement de l'index de vivabilité 2014 établi chaque année par The Economist Intelligence Unit .
                      J’espère que l'an prochain on sera à la 140ème place, alors.

                      Ces classements quand on est pas sur place se font sur Google, je suppose.

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                      • #12
                        ... non, dans le bureau de Bernard Henri Levi

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                        • #13
                          Fautes de updates ils travaillent toujours des données des années 90'. Voilà pourquoi Tripoli est mieux qu'Alger.

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                          • #14
                            ALGER obtient la 135e place sur 140 dans l'Index de vivabilité 2014 de The Economist


                            Que pensent nos politiques ?

                            Bonne coïncidence avec l'anniversaire du 20 aout 56 !! Où en est t'on ?
                            Dernière modification par Horizon2030, 20 août 2014, 17h42.
                            Ask not what your country can do for you, ask what you can do for your country. John F. Kennedy

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                            • #15
                              l'image des années 90 ne veut pas nous lâcher ... tant mieux

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