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Le pouvoir veut désarmer la classe ouvrière

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  • Le pouvoir veut désarmer la classe ouvrière

    Le pouvoir veut confiner les syndicats autonomes dans la fonction publique...

    Depuis deux à trois mois-notre blog en a rendu compte-on assiste à une offensive contre les syndicats autonomes, qui se sont implantés dans le secteur économique public -Algérie-Poste et Sonelgaz notamment-, jusqu'ici domaine réservé de la bureaucratie syndicale de l'UGTA. La ligue des droits de l'homme LADDH vient de publier un communiqué où elle dénonce cette "campagne de répression". Un membre du bureau national, Yacine Zaïd explique que « Les autorités essaient d’empêcher le développement des syndicats autonomes dans le secteur économique, ce qui est contraire à la loi », explique-t-il. (algerie focus)

    ... pour désarmer la classe ouvrière.

    Cette opération visant à neutraliser les syndicats autonomes dans le secteur économique coïncide avec la prochaine finalisation du projet de nouveau code du travail. Les enjeux sont très importants. Le patronat exige notamment de nouvelles dispositions pour flexibiliser l'emploi, c'est à dire pour faciliter les licenciement et le recours au CDD. Les garanties de protection du salarié seront-elles affaiblies? Avec la neutralisation de la centrale UGTA due à son inféodation au pouvoir, la mise à l'écart des syndicats autonomes conduit à désarmer le monde du travail. (Sur le nouveau code du travail, lirele quotidien d'oran

    le blog d'algerie infos 19/08/2014

  • #2
    L'UGTA c'est un Abbas bis de l'Autorité Palestinienne en Algérie ??

    L'UGTA est devenu le chien de garde du régime contre les droits des travailleurs ??

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    • #3
      L'UGTA est devenu le chien de garde du régime contre les droits des travailleurs ??

      en doutes tu ?

      toutes les "organisations de masse" ont été les instruments dociles des militaires, noyautés par la SM puis par le DRS . Tant que les "élus" appliquent les directives c'est la récolte des petits avantages de la fonction, quand ils contestent comme BEN HAMOUDA ils sont victimes de "terroristes"

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      • #4
        @KHORE

        en doutes tu ?

        toutes les "organisations de masse" ont été les instruments dociles des militaires, noyautés par la SM puis par le DRS . Tant que les "élus" appliquent les directives c'est la récolte des petits avantages de la fonction, quand ils contestent comme BEN HAMOUDA ils sont victimes de "terroristes"
        Je préfère voir les choses en terme de luttes de classes. A l'intérieur de chaque "organisation" il y a luttes de classe.

        Les forces étrangères impérialistes sont gênées par la cohésion de l'Armée Nationale Populaire, cela explique leurs attaques contre cette armée.

        Ils ont diabolisé Kadhafi par exemple en le traitant de "dictateur" et ont agressé son pays parce qu'ils savaient qu'il était aimé par la majorité de son peuple. De même en Algérie, ils essayent de diaboliser l'Armée Nationale Populaire.

        Dans chaque pays, il y a des luttes intérieures qui peuvent être résolues politiquement. Et dans chaque pays, il y a des forces intérieures qui sont soutenues par l'étranger; Les néocolonialistes ont leurs agents à l'intérieur et cela dans chaque pays du monde. L'ex FIS a été soutenu par l'impérialisme français et par certains royaumes du Golfe. L’extrémisme fasciste verts dit "islamiste" avait assassiné nombre de militants en vue (syndicalistes, journalistes etc).

        Un makhzeni répète ce qu'il a lu dans la presse et les médias impérialo-sionistes et délaisse la misère et l'oppression dont est victime le peuple marocain !!!

        A l'intérieur de chaque pays, il y a des gens qui singent ce que dit et fait l'Occident néocolonialiste !!!
        Dernière modification par Elghifari, 23 août 2014, 01h39.

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        • #5
          Les syndicats participent à un projet global de valorisation que l'on ne demande pas au travailleur de comprendre. Il faut aussi savoir que le travailleur devra faire face à une tentative de tromperie dans le fait qu'il y a une confusion d'usage voulue par le management entre la supervision du travail et celle liée à la compréhension des choses. L'une sert le progrès et l'autre la régression, l'arbitre en est le travailleur. Les deux sont nécessaires à la flexibilité du travail pour la compétitivité donc à la survie de l'entreprise.

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