Un Avant- goût du nouveau Code de Travail
La direction de l’entreprise Turc TOSYALI installé à Bethioua vient de licencier arbitrairement des délégués élus par les travailleurs de l’entreprise pour ne pas perturber le renouvellement de la section syndicale UGTA et se débarrasser de ceux qui ont la confiance des travailleurs.
Depuis l’élection de ces délégués la direction refuse de les reconnaitre et refuse même l’accuser réception du Procès-verbal d’élection continuant à faire de l’UGTA le représentant alors que la stricte majorité des travailleurs n’ont pas participé à l’élection.
Les travailleurs en soutien à leurs délégués se sont mis en grève et se rassemblent chaque jour devant l’usine sans bloquer l’entrée.
Alors que les délégués aient frappé à toutes les portes pour trouver une solution à ce déni du droit et alors que le chef de cabinet de la Wilaya d’Oran leur promet de trouver une solution sachant que l’entreprise est connu pour prendre ses aises avec les travailleurs dans le mépris total de la loi et règlementation Algérienne c’est la gendarmerie qui est envoyé le 19 08 2014 pour disperser les travailleurs et incarcérer une quinzaine de travailleurs qui ont passé la nuit dans les cellules et seront présentés devant le juge ce jour le 20 08 2014.
Plus grave les travailleurs disent avoir été maltraités après leur retour de chez le médecin pour la visite médicale. Si cela se confirme cela indique que les autorités Algériennes ont pris la décision de considérer les syndicalistes comme des criminels sinon des terroristes à moins que les intérêts particuliers en jeu aient primé sur le devoir et le sens de la justice.
Le Bureau d’Oran de la LADDH dénonce la direction de l’entreprise Turc qui confond travail et esclavagisme. Il dénonce l’inertie des instances qui se doivent d’intervenir pour faire appliquer la loi (même l’inspection de travail a refusé d’accuser réception d’un rapport déposé par les délégués) et demande une enquête sur le comportement des autorités locales qui semblent tout permettre à l’entreprise en participant à la répression des syndicalistes et des travailleurs.
Oran le 20-08-2014
P/le Bureau d’Oran Kaddour CHOUICHA
dz activiste info 20/08/2014
La direction de l’entreprise Turc TOSYALI installé à Bethioua vient de licencier arbitrairement des délégués élus par les travailleurs de l’entreprise pour ne pas perturber le renouvellement de la section syndicale UGTA et se débarrasser de ceux qui ont la confiance des travailleurs.
Depuis l’élection de ces délégués la direction refuse de les reconnaitre et refuse même l’accuser réception du Procès-verbal d’élection continuant à faire de l’UGTA le représentant alors que la stricte majorité des travailleurs n’ont pas participé à l’élection.
Les travailleurs en soutien à leurs délégués se sont mis en grève et se rassemblent chaque jour devant l’usine sans bloquer l’entrée.
Alors que les délégués aient frappé à toutes les portes pour trouver une solution à ce déni du droit et alors que le chef de cabinet de la Wilaya d’Oran leur promet de trouver une solution sachant que l’entreprise est connu pour prendre ses aises avec les travailleurs dans le mépris total de la loi et règlementation Algérienne c’est la gendarmerie qui est envoyé le 19 08 2014 pour disperser les travailleurs et incarcérer une quinzaine de travailleurs qui ont passé la nuit dans les cellules et seront présentés devant le juge ce jour le 20 08 2014.
Plus grave les travailleurs disent avoir été maltraités après leur retour de chez le médecin pour la visite médicale. Si cela se confirme cela indique que les autorités Algériennes ont pris la décision de considérer les syndicalistes comme des criminels sinon des terroristes à moins que les intérêts particuliers en jeu aient primé sur le devoir et le sens de la justice.
Le Bureau d’Oran de la LADDH dénonce la direction de l’entreprise Turc qui confond travail et esclavagisme. Il dénonce l’inertie des instances qui se doivent d’intervenir pour faire appliquer la loi (même l’inspection de travail a refusé d’accuser réception d’un rapport déposé par les délégués) et demande une enquête sur le comportement des autorités locales qui semblent tout permettre à l’entreprise en participant à la répression des syndicalistes et des travailleurs.
Oran le 20-08-2014
P/le Bureau d’Oran Kaddour CHOUICHA
dz activiste info 20/08/2014
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