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Qui croit à la lutte contre le calif et à la vertueuse indignation des humanitaires de l’OTAN? quelques faits…

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  • Qui croit à la lutte contre le calif et à la vertueuse indignation des humanitaires de l’OTAN? quelques faits…

    1 rencontre à Doha pour s’entendre sur les armements à fournir aux "rebelles syriens", en fait la CIA n’attendait pas et les entraînait, ni la France qui livrait directement aux Qatari et aux saoudiens…

    la méditerranée est menacé par l’immonde calif selon les commentateurs, celui-ci étend son emprise, heureusement l’Amérique veille… De qui se moque-t-on? Quelques individus particulièrement audacieux font le lien avec l’expédition américaine en Irak mais c’est pour déplorer son "échec", personne ne sous entend qu’il y aurait une stratégie de dynamitage des Etats menée encore aujourd’hui par le CIA et hier avec la France en Libye. Pourtant il suffit de revoir quelques articles du monde, du temps où l’on nous faisait pleurer sur "l’opposition syrienne, comme on nous a fait pleurer sur l’opposition afghane, sur la libyenne et plus près, toujours plus près celle du Maïdan. maintenant que leur rat de papier, le calif pille et torture, nos vertueuses démocraties occidentales feignent de s’émouvoir, et la presse semble oublier les papiers écrits hier. Je rappelle également pour que le tableau soit complet l’épisode de la tentative d’aller appuyer directement au sol la vertueuse opposition , le choeur des pleureuse sur Bachar el Assad gazant son propre peuple, alors que c’étaient les saoudiens qui vraisemblablement avaient fourni le gaz aux vertuaux rebelles whanabites, pour ceux qui l’auraient oublié je rappelle qu’en Israël pour émouvoir le CRIF et les autres réseaux on s’est mis à distribuer des masques à gaz à la population apeurée… Souvenez vous de tout cela, de la manière dont on vous a dupé et prenez pour que cela vaut les émois de Hollande, Obama et la presse aux ordres.

    Par exemple, cet article du Monde datant de 2013 sur la CIA entraînant ces charmants djihadistes

    La CIA et des forces spéciales américaines forment depuis des mois dans le secret des rebelles syriens en Jordanie et en Turquie, selon le Los Angeles Times. Ce programme, qui a longtemps alimenté la rumeur, a débuté en novembre 2012 dans une base américaine au sud-ouest d’Amman.

    http://www.lemonde.fr/proche-orient/...4723_3218.html

    D’après le journal qui cite un commandant de l’opposition, il consiste en sessions de deux semaines pour 20 à 45 combattants. Les insurgés de l’armée syrienne libre (ASL) s’entraînent au maniement de fusils et missiles antichars et d’armes lourdes pour résister aux avions des forces loyalistes.

    La Maison Blanche a annoncé le 13 juin qu’elle voulait apporter un "soutien militaire" aux insurgés, mais n’a jamais précisé officiellement si cela impliquait de leur fournir des armes. Des analystes estiment que Washington n’enverra pas d’armements lourds et sophistiqués, mais du matériel léger, insuffisant pour changer le cours du conflit.

    Historiquement, la CIA est réputée entraîner et armer en secret des insurgés dans de nombreux conflits du globe, avec l’appui de forces spéciales américaines. Ni la centrale de renseignements, ni la Maison Blanche n’ont voulu commenter les informations de presse.

    Parfois un jourtnaliste audacieux cite le Qatar

    le même journaliste laisse entendre que cet ami de la France exagère et que quelu’un devrait le lui dire, mais vu que cet Etat fantoche a acheté la presse française (y compris l’humanité) et a quelques politiciens dans les rangs de ses obligés, personne n’ose rappeler que dès 2013 comme en témoigne encore cet article du monde de 2013, ce fut d’une manière trés concerté que dans la capitale qatari john Kerry, il fut décidé d’accroître les moyens de ces charmants individus.

    Samedi, lors de la réunion des "Amis de la Syrie" au Qatar, le secrétaire d’Etat américain a appelé à soutenir davantage l’opposition syrienne pour renverser l’équilibre sur le terrain, sans expressément se prononcer en faveur de son armement. "Les Etats-Unis et les autres pays réunis ici, chacun à sa façon, chacun choisissant son approche, vont augmenter (…) leur assistance à l’opposition politique et militaire" pour mettre fin "au déséquilibre" sur le terrain, a dit John Kerry.

    Les "Amis de la Syrie" vont renforcer l’aide à l’opposition

    Le Monde.fr avec AFP | 22.06.2013
    Par Yves-Michel Riols

    Les principaux pays soutenant l’opposition syrienne sont réunis samedi 22 juin à Doha pour coordonner leur aide logistique aux insurgés.

    Doha (Qatar), envoyé spécial. Les principaux pays soutenant l’opposition syrienne ont achevé, samedi 22 juin, à Doha, la capitale du Qatar, une réunion en condamnant vivement le rôle croissant joué par l’Iran et le Hezbollah libanais dans la crise syrienne, mais sans parvenir à un consensus sur la fourniture d’armes.

    Les onze pays amis de la Syrie, dont les Etats-Unis, la France ou la Grande-Bretagne, ont aussi annoncé avoir décidé "une aide urgente en matériel et en équipements" à la rébellion afin de lui permettre de faire face aux "attaques brutales du régime". Ils indiquent, dans un communiqué, que "toute aide militaire sera canalisée" par le Haut Conseil militaire syrien relevant de l’Armée syrienne libre (ASL), principale faction de l’opposition armée.

    Selon l’AFP, le chef de la diplomatie du Qatar, cheikh Hamad bin Jassem Al-Thani, soutenant activement l’opposition, a en outre affirmé que les participants à la réunion avaient pris "des décisions secrètes" pour renverser l’équilibre sur le terrain.

    "SOLUTION POLITIQUE"

    Au terme de cette rencontre, Laurent Fabius, le ministre français des affaires étrangères, a confirmé, de son côté, que la France allait continuer à "appuyer l’équipement matériel et l’assistance technique à l’opposition", pour "renforcer sa main sur le terrain", tout en réaffirmant que Paris n’envisageait pas, à ce stade, de livrer directement des armes aux rebelles syriens.

    "La solution, c’est une solution politique, a insisté M. Fabius. Il faut enfin que Bachar Al-Assad et l’Iran l’entendent." La France, avec ses alliés britanniques et américains, tentent d’organiser une conférence de paix internationale, dite "Genève 2", pour trouver une issue négociée à la crise syrienne. "Au lieu de saisir cette occasion, Bachar Al-Assad a fait intervenir plus de soldats iraniens et les milices du Hezbollah", a déploré le chef de la diplomatie française.

    LA FRANCE A LIVRÉ DES TRAITEMENTS ANTISARIN

    M. Fabius a précisé que des "traitements antisarin pour mille personnes" figurent parmi les 16 tonnes de médicaments que la France a annoncé, vendredi 21 juin, avoir livré à l’Union des organisations syriennes de secours médicaux, une structure de solidarité de médecins syriens présents à l’intérieur et à l’extérieur du pays.

    Cette livraison contre le puissant gaz neurotoxique mortel, qui s’est achevée samedi en Syrie, a été coordonnée à la frontière par Eric Chevallier, l’ancien ambassadeur de France à Damas. M. Fabius a, par ailleurs, indiqué qu’il allait transmettre au secrétaire général de l’ONU les éléments dont dispose la France sur l’utilisation des armes chimiques en Syrie, après les avoir remis, début juin, à M. Sellström, le chef de la mission des Nations unies chargé d’enquêter sur les armes chimiques en Syrie.

    PAS DE CONSENSUS SUR LA LIVRAISON D’ARMES AUX REBELLES

    La priorité de cette réunion de Doha, souligne un participant aux négociations, a été de se mobiliser pour "éviter que l’opposition ne soit balayée sur le terrain militaire face aux forces loyales au régime de Bachar Al-Assad", massivement appuyées par la Russie et l’Iran.

    Les "onze" ne sont toutefois pas parvenus à un consensus sur la question de la livraison des armes aux rebelles. A la sortie de cette rencontre, William Hague a déclaré que "chaque pays a sa façon d’aider" les insurgés. Les Amis de la Syrie vont "chacun à leur façon, chacun choisissant son approche, augmenter la portée et l’ampleur de leur assistance à l’opposition politique et militaire", a confirmé le secrétaire d’Etat américain John Kerry, sans préciser si son pays allait apporter une assistance militaire à la rébellion.

    Pour l’instant, souligne un diplomate français, cette rencontre avait surtout pour objectif de "manifester une montée en gamme du soutien collectif à l’opposition" et à démontrer un "appui à l’état-major conjoint", dirigé par le général Salim Idriss, le chef de l’ASL.

    La Syrie sera également au centre de la première visite au Qatar du président François Hollande, qui doit arriver à Doha en fin de journée, samedi. Le Qatar est, avec l’Arabie saoudite et la Turquie, l’un des principaux fournisseurs d’armes à la rébellion syrienne. Dimanche, M. Hollande poursuivra son déplacement en Jordanie, pays frontalier de la Syrie, qui redoute d’être déstabilisé par la guerre civile chez son voisin qui a déjà provoqué un afflux de près de 500 000 réfugiés sur son territoire.

    Lire : "François Hollande veut désamorcer la polémique avec Doha"

    Yves-Michel Riols
    Journaliste au Monde Suivre Aller sur la page de ce journaliste
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill
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