Bonjour, dans les années 60, malgré le plein emploi en France, les entreprises française ne voulait pas de cadres africains, c'est l'histoire de Konaté, une vie gâché par la xénophobie, une histoire parmis tant d'autres.
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Arrivé en France dans les années 1960, Konaté a d’abord étudié la sociologie dans une université de Toulouse. En 1969, son DEA en poche, il « monte » à Paris pour chercher du travail.
« Je n’ai jamais rien trouvé dans mon domaine », dit-il. Alors il prend ce qui se présente : un poste de veilleur de nuit dans une imprimerie parisienne. Il le conservera pendant vingt-cinq ans.
De 19 heures à 7 heures du matin, il surveille les abords de l’entreprise. « Un travail pénible », commente-t-il. À 60 ans, il prend sa retraite après seulement un quart de siècle de labeur. Ce qui ne lui donne droit qu’à une pension dérisoire.
Sa situation financière est aujourd’hui tellement précaire que, pendant l’hiver, il est contraint de déjeuner aux Restos du cœur. Le reste de l’année, il mange au foyer africain de son immeuble, pour un prix modique : 1,50 euro par repas.
source Jeune Afrique
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Arrivé en France dans les années 1960, Konaté a d’abord étudié la sociologie dans une université de Toulouse. En 1969, son DEA en poche, il « monte » à Paris pour chercher du travail.
« Je n’ai jamais rien trouvé dans mon domaine », dit-il. Alors il prend ce qui se présente : un poste de veilleur de nuit dans une imprimerie parisienne. Il le conservera pendant vingt-cinq ans.
De 19 heures à 7 heures du matin, il surveille les abords de l’entreprise. « Un travail pénible », commente-t-il. À 60 ans, il prend sa retraite après seulement un quart de siècle de labeur. Ce qui ne lui donne droit qu’à une pension dérisoire.
Sa situation financière est aujourd’hui tellement précaire que, pendant l’hiver, il est contraint de déjeuner aux Restos du cœur. Le reste de l’année, il mange au foyer africain de son immeuble, pour un prix modique : 1,50 euro par repas.
source Jeune Afrique
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