Selon la presse britannique, le «suspect clé» du meurtre barbare du reporter James Foley, est un Londonien qui a déjà fait parler de lui.
Qui est l’homme encagoulé qui a décapité le journaliste américain, dont l’exécution filmée a horrifié la planète la semaine passée? Mis sur la piste par l’accent du bourreau qui s’exprime dans la vidéo, Londres s’intéresse de près à un Britannique parti rejoindre l’Etat islamique (EI) en 2013.
D’après le «Sunday Times», il se nomme Abdel-Majed Abdel Bary, et n’est pas un inconnu. Au début du mois, il a tweeté une photo où il brandit la tête coupée d’un soldat loyaliste syrien. Le jeune homme de 24 ans a ajouté ce commentaire glaçant: «Relax avec mon pote, ou ce qui en reste.»
Avant son départ pour le jihad, ce Londonien s’était fait un nom dans le rap. Ses titres ont été diffusés par une chaîne de la BBC. Il se serait radicalisé dès 2012, quand son père a été extradé vers les Etats-Unis pour complicité avec al-Qaïda dans deux attentats. Les derniers raps du fiston parlaient de «tuer des flics».
En Syrie, Abdel Bary serait membre d’une cellule de jihadistes britanniques surnommés les «Beatles», spécialisée dans le rapt d’étrangers pour le compte de l’EI – une activité très lucrative.
Dimanche, le chef de la diplomatie britannique a confirmé que le gang était identifié. «Ils ont trahi les valeurs de notre pays», a ajouté Philip Hammond. Londres estime que 500 ressortissants ont répondu à l’appel du jihad en Syrie.
20 minutes
Qui est l’homme encagoulé qui a décapité le journaliste américain, dont l’exécution filmée a horrifié la planète la semaine passée? Mis sur la piste par l’accent du bourreau qui s’exprime dans la vidéo, Londres s’intéresse de près à un Britannique parti rejoindre l’Etat islamique (EI) en 2013.
D’après le «Sunday Times», il se nomme Abdel-Majed Abdel Bary, et n’est pas un inconnu. Au début du mois, il a tweeté une photo où il brandit la tête coupée d’un soldat loyaliste syrien. Le jeune homme de 24 ans a ajouté ce commentaire glaçant: «Relax avec mon pote, ou ce qui en reste.»
Avant son départ pour le jihad, ce Londonien s’était fait un nom dans le rap. Ses titres ont été diffusés par une chaîne de la BBC. Il se serait radicalisé dès 2012, quand son père a été extradé vers les Etats-Unis pour complicité avec al-Qaïda dans deux attentats. Les derniers raps du fiston parlaient de «tuer des flics».
En Syrie, Abdel Bary serait membre d’une cellule de jihadistes britanniques surnommés les «Beatles», spécialisée dans le rapt d’étrangers pour le compte de l’EI – une activité très lucrative.
Dimanche, le chef de la diplomatie britannique a confirmé que le gang était identifié. «Ils ont trahi les valeurs de notre pays», a ajouté Philip Hammond. Londres estime que 500 ressortissants ont répondu à l’appel du jihad en Syrie.
20 minutes
Commentaire