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Casablanca : Un universitaire marocain, consultant politique auprès de médias britanniques et saoudiens, a indiqué qu’une force internationale de stabilisation de la Libye serait en préparation avec une possible participation du Maroc.
En effet, dans une tribune en anglais, intitulée ‘Stabilization force in preparation for Libya, Morocco considered to be part of it ’, publiée sur le site Morocco World News, l’auteur, le Dr Mohamed Chtatou, professeur à l’université Mohammed V à Rabat, a indiqué que forte est la probabilité d’une mise en place d’une ‘Task Force’ internationale, composée de forces militaires issues de pays occidentaux et sud-méditerranéens dont le Maroc.
Selon cet expert, cette possible force internationale serait missionnée pour réaliser 5 grands objectifs :
1- Le désarmement de toutes les milices libyennes;
2- Fournir un soutien concret au parlement libyen;
3- Aider à mettre en place un exécutif légitime;
4- Créer une armée nationale et une force de police;
5- Sécuriser l’appareil de production de pétrole afin d’assurer aux futures institutions libyennes et à l’économie du pays, des sources de revenus stables.
La même source a indiqué que les pays fortement pressentis pour constituer cette Task Force, seraient : Le Maroc, les USA, la France, la Grande-Bretagne, l'Italie, le Canada, l'Australie, la Turquie, la Jordanie, alors que la participation de l’Egypte reste incertaine à cause du passif de son armée face aux frères musulmans.
Les conditions de réussite d'une telle entreprise
Wolfgang Pusztai, officier autrichien, expert militaire et ex-attaché à l’ambassade d’Autriche en Libye avait pour sa part, signé, sur le même sujet, une tribune au site du Think Tank US, The Atlantic Council, dans laquelle il mettait en cadre, les conditions d’évolution et d’efficience de cette ‘Task Force’ en Libye.
Selon cet expert autrichien, toute force internationale de stabilisation en Libye, dépendra pour la réussite de ses missions, de 3 grandes conditions :
1- Une invitation par le gouvernement libyen légitime, soutenu par une écrasante majorité à la Chambre des représentants,
2- Un mandat de l'ONU sous le Chapitre VII ou un mandat de l’OTAN ou à défaut se contenter au moins d'un mandat de l’UA.
3- La disponibilité de troupes internationales puissamment équipées capables de dissuader toute agression décisivement et rapidement.
A noter que le parlement libyen s’était prononcé pour une intervention internationale pour pacifier le pays, alors que les milices, pour la plupart ‘extrémistes religieuses’ s’opposeraient farouchement et violemment à cette invitation.
lemag
En effet, dans une tribune en anglais, intitulée ‘Stabilization force in preparation for Libya, Morocco considered to be part of it ’, publiée sur le site Morocco World News, l’auteur, le Dr Mohamed Chtatou, professeur à l’université Mohammed V à Rabat, a indiqué que forte est la probabilité d’une mise en place d’une ‘Task Force’ internationale, composée de forces militaires issues de pays occidentaux et sud-méditerranéens dont le Maroc.
Selon cet expert, cette possible force internationale serait missionnée pour réaliser 5 grands objectifs :
1- Le désarmement de toutes les milices libyennes;
2- Fournir un soutien concret au parlement libyen;
3- Aider à mettre en place un exécutif légitime;
4- Créer une armée nationale et une force de police;
5- Sécuriser l’appareil de production de pétrole afin d’assurer aux futures institutions libyennes et à l’économie du pays, des sources de revenus stables.
La même source a indiqué que les pays fortement pressentis pour constituer cette Task Force, seraient : Le Maroc, les USA, la France, la Grande-Bretagne, l'Italie, le Canada, l'Australie, la Turquie, la Jordanie, alors que la participation de l’Egypte reste incertaine à cause du passif de son armée face aux frères musulmans.
Les conditions de réussite d'une telle entreprise
Wolfgang Pusztai, officier autrichien, expert militaire et ex-attaché à l’ambassade d’Autriche en Libye avait pour sa part, signé, sur le même sujet, une tribune au site du Think Tank US, The Atlantic Council, dans laquelle il mettait en cadre, les conditions d’évolution et d’efficience de cette ‘Task Force’ en Libye.
Selon cet expert autrichien, toute force internationale de stabilisation en Libye, dépendra pour la réussite de ses missions, de 3 grandes conditions :
1- Une invitation par le gouvernement libyen légitime, soutenu par une écrasante majorité à la Chambre des représentants,
2- Un mandat de l'ONU sous le Chapitre VII ou un mandat de l’OTAN ou à défaut se contenter au moins d'un mandat de l’UA.
3- La disponibilité de troupes internationales puissamment équipées capables de dissuader toute agression décisivement et rapidement.
A noter que le parlement libyen s’était prononcé pour une intervention internationale pour pacifier le pays, alors que les milices, pour la plupart ‘extrémistes religieuses’ s’opposeraient farouchement et violemment à cette invitation.
lemag
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