A. DLIMI - publié le Dimanche 24 Août 2014
Pitoyable spectacle des 69 marocains originaires des provinces du Sud dont « la cupidité et la trahison » à conduit à ramasser les ordures sur les plages algériennes.
La mise en scène de Bourmardès qui fût destiné à détourner l’opinion publique de soulèvement populaire dans les camps de Tindouf, du rejet de la dictature du Polisario (DRS algérien), et de l’émergence des mouvements populaires de contestation dont Khat Al-Sahid (la voie du martyr ), ainsi qu’il s’agissait pour le régime algérien d’utiliser des marocains « séparatistes de l’intérieur » en vue de planifier des attentats terroristes et des violences dans les provinces du sud, aura aboutit à un autre triste spectacle : l’humiliation par la servitude volontaire de marocains originaires des provinces du sud.
D’où ce pitoyable spectacle de 69 marocains des provinces du Sud dont « la cupidité et la trahison » à conduit à ramasser les ordures de leurs maîtres algériens. Ainsi, un grand nombre d’entre eux ont eu certainement raison de se voiler entièrement la face durant les épreuves de ramassages d’ordures à Bourmardès.
I. Le régime algérien qu’avait-il à offrir de plus gratifiant que ramasser des ordures?
Le régime algérien qu’à t-il a offrir de plus gratifiant qu’il n’aurait offert à sa propre population?
Que pouvait espérer ses marocains dit « séparatistes de l’intérieur » sinon du meilleur statut que celui de « ramasseurs d’ordures sur les plages algériennes".
Ainsi, que pouvaient-ils espérer de mieux d’un régime qui a massacré sa propre population? 350000 morts et 10000 disparus durant la décennie noire (1991-2001) et responsable d’autres crimes restés impunis (1988 : le peuple kabyle victime du massacre de 500 manifestants pacifiques tués à par la police algérienne ; 1996 : assassinat des moines de Tibérines ; 2014 : exactions meurtrières contre les populations mozabites à Ghardaïa dont 37 morts). D’un régime qui a ruiné l’Algérie : en dépensant des milliards de Dollars contre le Maroc (250 milliards de Dollars USD en 40 ans), alors que depuis 1991, ce sont 3 à 5 millions d’Algériens qui ont dû fuir « un pays sans avenir » (1/3 des algériens vivent sous le seuil de pauvreté, c'est-à-dire moins de 1 dollars USD/jour). D’un régime qui continue à usurper le pouvoir : La dictature militaire algérienne continue à usurper le pouvoir à travers des parodies d’élections (candidat inerte aux élections dites présidentielles etc.) et ainsi condamner les algériens à leur triste sort.
II. La mise en scène de Bourmardès : « Détourner l’opinion publique du soulèvement populaire dans les camps de Tindouf et du rejet de la dictature du Polisario ».
La mise en scène de Bourmardès s’inscrit dans un contexte bien précis destiné à détourner l’opinion publique du soulèvement populaire dans les camps de Tindouf, expression du rejet de la dictature du polisario (DRS algérien), et l’émergence des mouvements populaires de contestations.
L’emprisonnement de militants sahraouis dans les geôles du Polisario (DRS algérien), des cas de tortures et de disparitions forcés qui continue (dont la disparition récente du militant sahraoui Amrabih Ahmed Mahmoud* fondateur de l’association Assoumoud "résistance"), démontre l’étendue l’activisme du mouvement contestation populaire dont « khatt al-shahid » lequel a accepté le projet Marocain d’autonomie des provinces du sud (solution négocié et réaliste).
Lemag
Pitoyable spectacle des 69 marocains originaires des provinces du Sud dont « la cupidité et la trahison » à conduit à ramasser les ordures sur les plages algériennes.
La mise en scène de Bourmardès qui fût destiné à détourner l’opinion publique de soulèvement populaire dans les camps de Tindouf, du rejet de la dictature du Polisario (DRS algérien), et de l’émergence des mouvements populaires de contestation dont Khat Al-Sahid (la voie du martyr ), ainsi qu’il s’agissait pour le régime algérien d’utiliser des marocains « séparatistes de l’intérieur » en vue de planifier des attentats terroristes et des violences dans les provinces du sud, aura aboutit à un autre triste spectacle : l’humiliation par la servitude volontaire de marocains originaires des provinces du sud.
D’où ce pitoyable spectacle de 69 marocains des provinces du Sud dont « la cupidité et la trahison » à conduit à ramasser les ordures de leurs maîtres algériens. Ainsi, un grand nombre d’entre eux ont eu certainement raison de se voiler entièrement la face durant les épreuves de ramassages d’ordures à Bourmardès.
I. Le régime algérien qu’avait-il à offrir de plus gratifiant que ramasser des ordures?
Le régime algérien qu’à t-il a offrir de plus gratifiant qu’il n’aurait offert à sa propre population?
Que pouvait espérer ses marocains dit « séparatistes de l’intérieur » sinon du meilleur statut que celui de « ramasseurs d’ordures sur les plages algériennes".
Ainsi, que pouvaient-ils espérer de mieux d’un régime qui a massacré sa propre population? 350000 morts et 10000 disparus durant la décennie noire (1991-2001) et responsable d’autres crimes restés impunis (1988 : le peuple kabyle victime du massacre de 500 manifestants pacifiques tués à par la police algérienne ; 1996 : assassinat des moines de Tibérines ; 2014 : exactions meurtrières contre les populations mozabites à Ghardaïa dont 37 morts). D’un régime qui a ruiné l’Algérie : en dépensant des milliards de Dollars contre le Maroc (250 milliards de Dollars USD en 40 ans), alors que depuis 1991, ce sont 3 à 5 millions d’Algériens qui ont dû fuir « un pays sans avenir » (1/3 des algériens vivent sous le seuil de pauvreté, c'est-à-dire moins de 1 dollars USD/jour). D’un régime qui continue à usurper le pouvoir : La dictature militaire algérienne continue à usurper le pouvoir à travers des parodies d’élections (candidat inerte aux élections dites présidentielles etc.) et ainsi condamner les algériens à leur triste sort.
II. La mise en scène de Bourmardès : « Détourner l’opinion publique du soulèvement populaire dans les camps de Tindouf et du rejet de la dictature du Polisario ».
La mise en scène de Bourmardès s’inscrit dans un contexte bien précis destiné à détourner l’opinion publique du soulèvement populaire dans les camps de Tindouf, expression du rejet de la dictature du polisario (DRS algérien), et l’émergence des mouvements populaires de contestations.
L’emprisonnement de militants sahraouis dans les geôles du Polisario (DRS algérien), des cas de tortures et de disparitions forcés qui continue (dont la disparition récente du militant sahraoui Amrabih Ahmed Mahmoud* fondateur de l’association Assoumoud "résistance"), démontre l’étendue l’activisme du mouvement contestation populaire dont « khatt al-shahid » lequel a accepté le projet Marocain d’autonomie des provinces du sud (solution négocié et réaliste).
Lemag
Commentaire