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Un ex-ministre de Berlusconi envoûté après avoir tenu des propos racistes ?
La vie de Roberto Calderoli, ex-ministre de Silvio Berlusconi, n'est pas un long fleuve tranquille, depuis le mauvais sort qui lui aurait été lancé depuis l'Afrique. Le politique a affirmé au magazine Oggi avoir été "envouté" par le père de la Première ministre noire d'un gouvernement italien Cécile Kyenge, après l'avoir comparée à un orang-outan en 2013. Célèbre pour ses propos racistes, le haut fonctionnaire était alors sénateur de la Ligue du Nord.
Depuis, les mésaventures se sont succédé pour l'actuel vice-président du Sénat italien. Six fois hospitalisé, dont deux fois en réanimation, il a brutalement perdu sa mère et s'est brisé deux vertèbres et deux doigts après une chute. Preuve à l'appui, il a également trouvé un serpent de deux mètres de long dans sa cuisine. "Je dois absolument trouver un exorciste" a déclaré celui qui pense être victime d'une malédiction.
Pourtant, la volonté de Clément Kikoko Kyenge était tout autre. Le village de ce notable congolais régnant sur 50.000 personnes, d'après Oggi, avait réagi en priant le "Seigneur" de "libérer" l'italien "de la malignité de l'esprit" qui l'a poussé à prononcer de tels propos. Contacté par le magazine italien, il a affirmé que si ces excuses étaient sincères, alors Roberto Calderoli pourrait dormir tranquille. "En revanche, si elles étaient le fruit du calcul et de l'opportunité, il se peut que les ancêtres soient devenus un peu nerveux." Visiblement, ils ne seraient pas les seuls à l'être...
LaDépêche.fr
Depuis, les mésaventures se sont succédé pour l'actuel vice-président du Sénat italien. Six fois hospitalisé, dont deux fois en réanimation, il a brutalement perdu sa mère et s'est brisé deux vertèbres et deux doigts après une chute. Preuve à l'appui, il a également trouvé un serpent de deux mètres de long dans sa cuisine. "Je dois absolument trouver un exorciste" a déclaré celui qui pense être victime d'une malédiction.
Pourtant, la volonté de Clément Kikoko Kyenge était tout autre. Le village de ce notable congolais régnant sur 50.000 personnes, d'après Oggi, avait réagi en priant le "Seigneur" de "libérer" l'italien "de la malignité de l'esprit" qui l'a poussé à prononcer de tels propos. Contacté par le magazine italien, il a affirmé que si ces excuses étaient sincères, alors Roberto Calderoli pourrait dormir tranquille. "En revanche, si elles étaient le fruit du calcul et de l'opportunité, il se peut que les ancêtres soient devenus un peu nerveux." Visiblement, ils ne seraient pas les seuls à l'être...
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