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Le nouveau califat terroriste plus connu sous le nom de Daech ou l’Etat islamique (EI) chercherait à s’implanter aux frontières du Sud-Est algérien avec la Libye. La nouvelle menace terroriste est prise même au sérieux par les services de sécurité algériens, à en croire le quotidien national El-Watan citant un officier de l’Armée Nationale Populaire (ANP).
La nouvelle organisation terroriste, qui étend sa présence dans les régions frontalières entre la Syrie et l’Irak, aurait des projets de « combler le vide laissé par Abdesselam Tarmoune (chef du Mouvement des enfants du Sahara pour la justice) depuis sa reddition doublée de négociations avec les autorités algériennes.
Toujours selon El-Watan Week-end, qui révèle l’information dans son édition du vendredi, « les services de sécurité algériens, plus au fait des pratiques des djihadistes d’AQMI que de ceux de Daesh, s’inquiètent sérieusement du risque de contamination » en se référant aux analyses de l’officier de l’ANP.
La même source s’interroge si le constat de la revue El-Djeich relatif à « la détérioration préoccupante de la situation sécuritaire à nos frontières Est » ne ferait pas allusion justement à cette menace du Daech. Le même organe de l’ANP souligne dans son édito que « l’Algérie se trouve confrontée à de réels et importants défis militaires et sécuritaires nécessitant une mobilisation de tous les instants afin d’enrayer toute tentative d’infiltration éventuelle à travers nos frontières et de parer aux différentes menaces, particulièrement la menace terroriste et autres dangers potentiels ».
Par ailleurs, la position floue entretenue par l’un des groupes terroristes les plus actifs au Maghreb, en l’occurrence Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI) par rapport à l’Etat Islamique (EI),et ce contrairement à ses acolytes d’Ansar Charia et du Mouvement pour l’Unicité du Jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO) qui n’ont pas tardé à lui faire allégeance, n’en diminue rien au risque d’expansion de Daech, toujours selon le même journal.
S’agissant de la stratégie du Daech pour s’implanter au Maghreb, El-Watan citant des sources sécuritaires algériennes fait état du recours par l’EI à la réactivation des « cellules dormantes à l’intérieur même de l’Algérie, Libye, Maroc et Tunisie » ou à « de nouveaux recrutements parmi les combattants qui rentrent chez eux ».
La nouvelle organisation terroriste, qui étend sa présence dans les régions frontalières entre la Syrie et l’Irak, aurait des projets de « combler le vide laissé par Abdesselam Tarmoune (chef du Mouvement des enfants du Sahara pour la justice) depuis sa reddition doublée de négociations avec les autorités algériennes.
Toujours selon El-Watan Week-end, qui révèle l’information dans son édition du vendredi, « les services de sécurité algériens, plus au fait des pratiques des djihadistes d’AQMI que de ceux de Daesh, s’inquiètent sérieusement du risque de contamination » en se référant aux analyses de l’officier de l’ANP.
La même source s’interroge si le constat de la revue El-Djeich relatif à « la détérioration préoccupante de la situation sécuritaire à nos frontières Est » ne ferait pas allusion justement à cette menace du Daech. Le même organe de l’ANP souligne dans son édito que « l’Algérie se trouve confrontée à de réels et importants défis militaires et sécuritaires nécessitant une mobilisation de tous les instants afin d’enrayer toute tentative d’infiltration éventuelle à travers nos frontières et de parer aux différentes menaces, particulièrement la menace terroriste et autres dangers potentiels ».
Par ailleurs, la position floue entretenue par l’un des groupes terroristes les plus actifs au Maghreb, en l’occurrence Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI) par rapport à l’Etat Islamique (EI),et ce contrairement à ses acolytes d’Ansar Charia et du Mouvement pour l’Unicité du Jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO) qui n’ont pas tardé à lui faire allégeance, n’en diminue rien au risque d’expansion de Daech, toujours selon le même journal.
S’agissant de la stratégie du Daech pour s’implanter au Maghreb, El-Watan citant des sources sécuritaires algériennes fait état du recours par l’EI à la réactivation des « cellules dormantes à l’intérieur même de l’Algérie, Libye, Maroc et Tunisie » ou à « de nouveaux recrutements parmi les combattants qui rentrent chez eux ».