Bonjour,
Aujourd'hui les médicaments et solutions anti-douleur sont légion sur le marché, et pour la plupart sont accessibles sans prescription et remboursé lorsque prescrits par un médecin. Mais les utilise-t-on à bon escient?
Aujourd'hui la plupart des gens prennent du paracetamol et dérivés ainsi que d'autres principes actifs pour soulager un maux de tête, une entorse... Par exemple on m'a prescrit du paracétamol parce que je souffre du genou suite à un accident, mais est-ce nécessaire?
Bien sûr tout le monde n'est pas un Spartiate (je ne prends jamais d'anti-douleurs, même lorsque j'ai eu besoin d'une extraction d'incisive je l'ai faite sans anesthésie). Bien sûr il y a des cas où c'est de la torture que de ne pas prendre ou donner des anti-douleurs, mais est-on conscient de la limite entre le supportable ou pas?
Il faut avouer que la douleur physique engendre parois une souffrance psychologique, c'est désagréable, ça peut nous rendre un peu agressif voire beaucoup pour un certain niveau de douleur). Mais n'est-on pas sensés utiliser certaines expériences douloureuses de la vie pour en sortir plus forts?
J'ai l'impression que de nos jours l'être humain est incapable de s'exposer à la moindre égratignure, il craint la souffrance sous toutes ses formes et cette peur lui fait encore plus mal que ladite souffrance. Alors est-ce que la prise médicamenteuse lutte davantage contre la souffrance psychologique ou la souffrance physique?
Aujourd'hui les médicaments et solutions anti-douleur sont légion sur le marché, et pour la plupart sont accessibles sans prescription et remboursé lorsque prescrits par un médecin. Mais les utilise-t-on à bon escient?
Aujourd'hui la plupart des gens prennent du paracetamol et dérivés ainsi que d'autres principes actifs pour soulager un maux de tête, une entorse... Par exemple on m'a prescrit du paracétamol parce que je souffre du genou suite à un accident, mais est-ce nécessaire?
Bien sûr tout le monde n'est pas un Spartiate (je ne prends jamais d'anti-douleurs, même lorsque j'ai eu besoin d'une extraction d'incisive je l'ai faite sans anesthésie). Bien sûr il y a des cas où c'est de la torture que de ne pas prendre ou donner des anti-douleurs, mais est-on conscient de la limite entre le supportable ou pas?
Il faut avouer que la douleur physique engendre parois une souffrance psychologique, c'est désagréable, ça peut nous rendre un peu agressif voire beaucoup pour un certain niveau de douleur). Mais n'est-on pas sensés utiliser certaines expériences douloureuses de la vie pour en sortir plus forts?
J'ai l'impression que de nos jours l'être humain est incapable de s'exposer à la moindre égratignure, il craint la souffrance sous toutes ses formes et cette peur lui fait encore plus mal que ladite souffrance. Alors est-ce que la prise médicamenteuse lutte davantage contre la souffrance psychologique ou la souffrance physique?
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