Depuis quelques années consécutives, dès l’ouverture de la saison estivale à Jijel, à la suite de l’importance et de l’insistance du flux d’informations circulant de bouche à oreilles entre citoyens de Jijel au sujet de ce qui se passe en catimini sur la plage du Kotama, il s’avère, en effet, qu’il y a bel et bien une mafia qui ne dit pas son nom qui s’est installée, voilà un certain nombre d’années, composée des mêmes individus, opérant toujours à la même période de l’année.
Cette mafia est composée d’individus ayant une certaine influence dans le milieu officiel. Il y a lieu de dire forcément que ce sont là des gens sans principes, sans dignité aucune et encore moins possédant une once de personnalité. Ce sont des arrivistes opportunistes affamés des plus véreux ; dont le seul intérêt est d’amasser le plus d’argent possible. Ceci au détriment de leur statut et de leurs prérogatives, dont ils usent et abusent avec menaces à la clé.
En un mot comme en dix, il s’agit là d’un véritable gang organisé opérant sur le dos des honnêtes citoyens; profitant de leur situation statutaire officielle pour dépouiller tout le monde de la manière la plus honteuse qui soit, en empêchant toute intervention contribuant à mettre de l’ordre et de la discipline dans la ville.
Une anarchie est entretenue exprès faisant office de nuage de fumée empêchant de voir véritablement et clairement les choses pour en définir les causes et les effets. C’est l’amalgame savamment entretenu pour dérouter tout le monde en éloignant les soupçons éventuellement nourris à ce sujet par les citoyens de Jijel qui, effectivement, se posent mille et une question sur la pérennité e ce problème.
Les gens en vacances à Jijel, aussi bien que les résidents locaux, pensent innocemment qu’ils ont affaire à des voyous impénitents, comme il y en a tant dans les quartiers périphériques de la ville, qui profitent de la situation pour dépouiller leur monde de mille et une manière, en usant parfois de violences et de menaces clairement délivrées. Or, il s’avère que ces jeunes travaillent en collaboration avec cette mafia qui les couvre, à laquelle le plus gros des recettes et des bénéfices sont remis.
Ce pourquoi, chaque année, sur la plage du Kotama, lieu privilégié des exactions de cette mafia, nous voyons des khaïma, des barrières partout, des tables et des parasols qui fleurissent comme autant des champignons après une ondée, sans oublier le scandale du stationnement payant à travers toutes les rues et les ruelles de la ville, y compris les placettes et le moindre mètre carré disponible pour un stationnement. La ville est entièrement sous l’emprise de cette mafia.
Des prix usuriers, que même le plus véreux des banquiers juif aurait honte à appliquer, sont en usage à l’entrée de la plage du Kotama : 1.500 DA s’il vous plait pour mettre le pied sur le sable. Bonjour à la Californie jijelienne avec ses belles plages lumineuses, propres, et son superbe quartier de Beverley Hills jijel’s. C’est là ne vision fictive comparative pour mieux situer les choses. 200 Da donc pour on ne sait quoi et 800 Da pour une table et un parasol. La bouteille d’eau minérale est proposées à deux fois son prix : 70, 75 jusqu’à 100 da. Si vous êtes soupçonné de respirer plus d’oxygène que les autres, vous serez sans doute taxé à 200 da le mètre cube supplémentaire.
Une vraie folie relevant du cauchemar le plus délirant est en cours à Jijel, en ce moment même. Les touristes fuient chaque jour l’un après l’autre en jurant de ne plus remettre les pieds à Jijel devant autant d’abus et de dépassements impunis. C’est le règne de la force et de la menace. Quand on pense qu’ils s’agit de gens venant simplement passer quelques jours juste pour se détendre, s’aérer en se rapprochant de la mer. Un privilège qui, en définitive, leur coûte les yeux de la tête.
Le P/APC et son administration, bien qu’ils développent une activité légale concourant à empêcher le développement de ces actes scabreux, sont eux-mêmes bloqués et demeurent donc impuissants à mettre de l’ordre dans cette désastreuse et déplorable situation gangrenant la ville de Jijel tout le long de la saison estivale. (Hadik ett’behdila lel Jwajla. Oh, oh, oh).
Tout ceci pour que quelques messieurs s’en mettent pleins les poches et même les voir déborder d’argent, tant ils en récoltent d’une manière aussi peu reluisante ; étant imprégnés de leur puissance et de leur autorité, régnant sur la ville comme le faisait à Chicago des années trente Al Capone et sa bande de malfrats.
Des gens abusant de leur autorité et de leurs prérogatives pour empêcher toute action contribuant à mettre de l’ordre et de la discipline dans la ville, bloquant au départ toute directive en ce sens en usant de fallacieux prétextes tendant à faire croire que si les jeunes cessent d’être occupés à racketter les gens sous leurs ordres et protection, ils seraient capables du pire.
Or, rien de tout cela. Ce ne sont là que de simples menaces lancées en l’air pour abuser, impressionner et tromper les autorités situées à un plus haut niveau, avec lesquelles ces gens si peu recommandables et de triste renommée sont directement et officiellement en relation.
En conclusion : Au point où en sont arrivés les choses dans la ville de Jijel, on se pose d’abord la question de savoir si le ministère de l’intérieur est au courant de ce qui se passe à Jijel relevant de son secteur, ensuite l’autre question de savoir s’il ne faut pas véritablement recourir à l’intervention musclée de la gendarmerie nationale sur l’ensemble de la côte pour régler ce problème, et même aussi s’il ne faut pas mettre à contribution la garde civile nationale à l’effet d’éliminer définitivement ces gens encombrants, dont les méfaits sont assez peu honorifiques et entachent sérieusement la crédibilité de leur fonction.
En tant que citoyens soucieux du bon équilibre qui doit régner dans la ville de Jijel, de sa tranquillité et de sa sécurité, on est bien tentés de poser la question de savoir ce que font finalement les autorités concernés par cet aspect de la vie en général dans une ville, en l’occurrence la police, dont c’est le métier et les prérogatives pour veiller et faire impérativement régner l’ordre et la discipline, hormis le fait visible de régler seulement la circulation automobile ?
Source: Jijel info
Cette mafia est composée d’individus ayant une certaine influence dans le milieu officiel. Il y a lieu de dire forcément que ce sont là des gens sans principes, sans dignité aucune et encore moins possédant une once de personnalité. Ce sont des arrivistes opportunistes affamés des plus véreux ; dont le seul intérêt est d’amasser le plus d’argent possible. Ceci au détriment de leur statut et de leurs prérogatives, dont ils usent et abusent avec menaces à la clé.
En un mot comme en dix, il s’agit là d’un véritable gang organisé opérant sur le dos des honnêtes citoyens; profitant de leur situation statutaire officielle pour dépouiller tout le monde de la manière la plus honteuse qui soit, en empêchant toute intervention contribuant à mettre de l’ordre et de la discipline dans la ville.
Une anarchie est entretenue exprès faisant office de nuage de fumée empêchant de voir véritablement et clairement les choses pour en définir les causes et les effets. C’est l’amalgame savamment entretenu pour dérouter tout le monde en éloignant les soupçons éventuellement nourris à ce sujet par les citoyens de Jijel qui, effectivement, se posent mille et une question sur la pérennité e ce problème.
Les gens en vacances à Jijel, aussi bien que les résidents locaux, pensent innocemment qu’ils ont affaire à des voyous impénitents, comme il y en a tant dans les quartiers périphériques de la ville, qui profitent de la situation pour dépouiller leur monde de mille et une manière, en usant parfois de violences et de menaces clairement délivrées. Or, il s’avère que ces jeunes travaillent en collaboration avec cette mafia qui les couvre, à laquelle le plus gros des recettes et des bénéfices sont remis.
Ce pourquoi, chaque année, sur la plage du Kotama, lieu privilégié des exactions de cette mafia, nous voyons des khaïma, des barrières partout, des tables et des parasols qui fleurissent comme autant des champignons après une ondée, sans oublier le scandale du stationnement payant à travers toutes les rues et les ruelles de la ville, y compris les placettes et le moindre mètre carré disponible pour un stationnement. La ville est entièrement sous l’emprise de cette mafia.
Des prix usuriers, que même le plus véreux des banquiers juif aurait honte à appliquer, sont en usage à l’entrée de la plage du Kotama : 1.500 DA s’il vous plait pour mettre le pied sur le sable. Bonjour à la Californie jijelienne avec ses belles plages lumineuses, propres, et son superbe quartier de Beverley Hills jijel’s. C’est là ne vision fictive comparative pour mieux situer les choses. 200 Da donc pour on ne sait quoi et 800 Da pour une table et un parasol. La bouteille d’eau minérale est proposées à deux fois son prix : 70, 75 jusqu’à 100 da. Si vous êtes soupçonné de respirer plus d’oxygène que les autres, vous serez sans doute taxé à 200 da le mètre cube supplémentaire.
Une vraie folie relevant du cauchemar le plus délirant est en cours à Jijel, en ce moment même. Les touristes fuient chaque jour l’un après l’autre en jurant de ne plus remettre les pieds à Jijel devant autant d’abus et de dépassements impunis. C’est le règne de la force et de la menace. Quand on pense qu’ils s’agit de gens venant simplement passer quelques jours juste pour se détendre, s’aérer en se rapprochant de la mer. Un privilège qui, en définitive, leur coûte les yeux de la tête.
Le P/APC et son administration, bien qu’ils développent une activité légale concourant à empêcher le développement de ces actes scabreux, sont eux-mêmes bloqués et demeurent donc impuissants à mettre de l’ordre dans cette désastreuse et déplorable situation gangrenant la ville de Jijel tout le long de la saison estivale. (Hadik ett’behdila lel Jwajla. Oh, oh, oh).
Tout ceci pour que quelques messieurs s’en mettent pleins les poches et même les voir déborder d’argent, tant ils en récoltent d’une manière aussi peu reluisante ; étant imprégnés de leur puissance et de leur autorité, régnant sur la ville comme le faisait à Chicago des années trente Al Capone et sa bande de malfrats.
Des gens abusant de leur autorité et de leurs prérogatives pour empêcher toute action contribuant à mettre de l’ordre et de la discipline dans la ville, bloquant au départ toute directive en ce sens en usant de fallacieux prétextes tendant à faire croire que si les jeunes cessent d’être occupés à racketter les gens sous leurs ordres et protection, ils seraient capables du pire.
Or, rien de tout cela. Ce ne sont là que de simples menaces lancées en l’air pour abuser, impressionner et tromper les autorités situées à un plus haut niveau, avec lesquelles ces gens si peu recommandables et de triste renommée sont directement et officiellement en relation.
En conclusion : Au point où en sont arrivés les choses dans la ville de Jijel, on se pose d’abord la question de savoir si le ministère de l’intérieur est au courant de ce qui se passe à Jijel relevant de son secteur, ensuite l’autre question de savoir s’il ne faut pas véritablement recourir à l’intervention musclée de la gendarmerie nationale sur l’ensemble de la côte pour régler ce problème, et même aussi s’il ne faut pas mettre à contribution la garde civile nationale à l’effet d’éliminer définitivement ces gens encombrants, dont les méfaits sont assez peu honorifiques et entachent sérieusement la crédibilité de leur fonction.
En tant que citoyens soucieux du bon équilibre qui doit régner dans la ville de Jijel, de sa tranquillité et de sa sécurité, on est bien tentés de poser la question de savoir ce que font finalement les autorités concernés par cet aspect de la vie en général dans une ville, en l’occurrence la police, dont c’est le métier et les prérogatives pour veiller et faire impérativement régner l’ordre et la discipline, hormis le fait visible de régler seulement la circulation automobile ?
Source: Jijel info
Commentaire