Propos de De Fontenay : Khomri décide de lui retirer les droits d’organisation de Miss Algérie
Des procédures de retrait des droits d’organisation du concours « Miss Algérie » à Mme Geneviève De Fontenay ont été engagées par le ministère de la Jeunesse pour avoir tenu des propos qualifiés de « méprisables » à l’occasion de de la cérémonie de clôture du concours « Miss Algérie 2014″ tenue vendredi à l’hôtel Hilton d’Alger.
Le ministre Abdelkader Khomri a, dans un communiqué, annoncé que cette décision a été prise compte tenu de son patronage de ce concours tout en expliquant que « Mme Geneviève de Fontenay, a tenu des propos méprisables et condamnables à l’égard de l’Histoire de notre pays ».
Le ministère a tenu à préciser, dans le même communiqué, que « la prise de parole, par ailleurs fortement conspuée par toute l’assistance, de Mme De Fontenay n’a à aucun moment été programmée » et que celle-ci a tenté de rectifier ses dires et a tenu des propos élogieux à l’égard de l’Algérie tout en s’excusant » à la suite d’un sévère rappel à l’ordre ».
Par ailleurs, le ministère a expliqué que Mme De Fontenay qui a écourté son séjour en Algérie suite à cet incident et qui n’était qu’une « simple invitée » par l’organisateur, « n’a bénéficié d’aucune indemnité sous quelque forme que ce soit et n’a assumé aucune fonction lors de cet événement ».
« Le ministre de la Jeunesse condamne fermement de tels propos et a convoqué ce jour (samedi) les organisateurs à qui il a exigé de fournir un rapport circonstancié », a souligné la même source.
Il a décidé d’engager les procédures réglementaires de retrait des droits autorisant l’organisation du concours « Miss Algérie » auprès des organismes compétents, a conclu la même source.
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Des procédures de retrait des droits d’organisation du concours « Miss Algérie » à Mme Geneviève De Fontenay ont été engagées par le ministère de la Jeunesse pour avoir tenu des propos qualifiés de « méprisables » à l’occasion de de la cérémonie de clôture du concours « Miss Algérie 2014″ tenue vendredi à l’hôtel Hilton d’Alger.
Le ministre Abdelkader Khomri a, dans un communiqué, annoncé que cette décision a été prise compte tenu de son patronage de ce concours tout en expliquant que « Mme Geneviève de Fontenay, a tenu des propos méprisables et condamnables à l’égard de l’Histoire de notre pays ».
Le ministère a tenu à préciser, dans le même communiqué, que « la prise de parole, par ailleurs fortement conspuée par toute l’assistance, de Mme De Fontenay n’a à aucun moment été programmée » et que celle-ci a tenté de rectifier ses dires et a tenu des propos élogieux à l’égard de l’Algérie tout en s’excusant » à la suite d’un sévère rappel à l’ordre ».
Par ailleurs, le ministère a expliqué que Mme De Fontenay qui a écourté son séjour en Algérie suite à cet incident et qui n’était qu’une « simple invitée » par l’organisateur, « n’a bénéficié d’aucune indemnité sous quelque forme que ce soit et n’a assumé aucune fonction lors de cet événement ».
« Le ministre de la Jeunesse condamne fermement de tels propos et a convoqué ce jour (samedi) les organisateurs à qui il a exigé de fournir un rapport circonstancié », a souligné la même source.
Il a décidé d’engager les procédures réglementaires de retrait des droits autorisant l’organisation du concours « Miss Algérie » auprès des organismes compétents, a conclu la même source.
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