Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Côté algérien : "Les Marocains ont le kif, nous avons le karkoubi !"

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Côté algérien : "Les Marocains ont le kif, nous avons le karkoubi !"

    Depuis le 4 août, les douanes ont renforcé leurs contrôles. Pour le plus grand malheur des trafiquants, mais aussi des commerçants et transporteurs qui n'ont rien à se reprocher.

    En tant que Marocain, je ne connaissais rien de Maghnia, bourgade de l'extrême ouest algérien, sinon le traité qui y fût signé en 1845 entre la France et le Maroc pour la délimitation des frontières avec l'Algérie. En cette fin août, j'en découvre un aspect que les livres d'histoire ne peuvent restituer : la chaleur. À 13 heures, il ne fait pas bon pointer le bout de son nez dehors : 38 °C à l'ombre, largement plus sous le soleil qui écrase le parking des taxis collectifs, au bord de la nationale 7.

    Appelé "route d'Oujda" par les locaux, l'axe desservait notamment la ville marocaine distante d'une vingtaine de kilomètres à vol d'oiseau. Depuis le 27 juillet 1994, ce tronçon ne sert plus à rien : il mène à un poste-frontière hermétiquement fermé. Pour les taxis, l'activité se réduit donc au transport régional : d'un côté Oran et Tlemcen, de l'autre les plages de la Méditerranée.

    Situation ubuesque
    "Port-Say ! Port-Say !" crie un rabatteur, vénérable hadj enturbanné, longue tunique sur un pantalon grisâtre. Le temps de compléter le quota de six passagers, et la Peugeot 505 jaune et noir se met en branle. La RN 7, qui permet de rejoindre le poste-frontière dit Akid-Lotfi - du nom d'un colonel de la guerre de libération -, bifurque vers le nord pour rejoindre Marsa Ben M'hidi, que tout le monde ici appelle Port-Say, héritage de la colonisation et hommage au fameux économiste français du XIXe siècle, ardent défenseur du... libre-échange.
    Mais qui, parmi les passeurs, petits et gros trabendistes, a déjà fait le lien entre les théories de Jean-Baptiste Say et la situation ubuesque de cette frontière d'un autre âge ?
    À bord du taxi, un couple de jeunes mariés - lui de Tlemcen, elle de Maghnia - se rend à Marsa Ben M'hidi pour son voyage de noces. En plein travaux d'élargissement, la RN 7 s'étire en collier, tout en virages, enfilant les villages réputés de la contrebande : Chbikia, Souani, Bab el-Assa... La mariée joue les guides : "Nous sommes tellement proches, regarde le drapeau [marocain] là-bas."
    À proximité de Saïdia, de l'autre côté de la frontière, et de Marsa Ben M'hidi, les routes nationales des deux pays se rapprochent. D'un côté et de l'autre de l'oued Kiss, deux petits belvédères ont été aménagés, avec des drapeaux neufs flottant très haut. On s'arrête, on prend des selfies, sous le regard bienveillant, faussement sévère, des gendarmes. Puissants 4×4, uniformes impeccables, brodequins parfaitement cirés.

    Contrebande
    Un passant m'interpelle : "Diviser les terres d'islam en plusieurs pays est un péché, nous sommes une seule oumma !" Je lui demande de m'expliquer son raisonnement car, à ma connaissance, il n'y a pas d'interdiction religieuse à ce sujet. Il s'en va, déçu.
    Autre point de contact, Boukanoun bénéficie de la proximité de la petite ville marocaine d'Ahfir, et l'activité de contrebande y est réputée florissante. Tabac, diesel, produits alimentaires subventionnés, électroménager et karkoubi (psychotropes) dans un sens (de l'Algérie vers le Maroc). Vêtements, tajines, artisanat, épices et kif (résine de cannabis) dans l'autre. "Vous avez le kif, nous avons le karkoubi : égalité parfaite !" me glisse en souriant Hamad, le chauffeur.

    Devant les stations d'essence, de longues files de voitures attendent l'arrivée de camions-citernes de la société nationale Naftal. "Elles sont prises d'assaut, car la quantité est rationnée pour limiter la contrebande", poursuit notre taximan. Lui-même a aménagé un double réservoir dans le coffre de sa 505, mais les combines sont infinies : "Beaucoup d'exploitants maintiennent une activité agricole dans le seul but de fournir la contrebande", avance Hamad.

    "Connu des services de police"
    Sur le chemin du retour entre Maghnia et Oran, voici Amine. Longue carcasse, regard buté, c'est un passeur aguerri. Il dit avoir 21 ans, à peu près l'âge de la fermeture de la frontière. On lui en donnerait 16. Ce jour-là, il rapporte une maigre provision : deux gros sacs de chaussures qu'il doit acheminer à un grossiste d'Oran. Contrôlé au niveau du kilomètre 35, au nord-ouest de Maghnia, par un barrage fixe de la gendarmerie, il fait le fier.
    Palabres avec l'officier, inspection de la cargaison cachée dans le coffre et à ses pieds. Quand il revient avec la marchandise, un autre passager l'interpelle : "Combien ?" "Je ne donne jamais de pourboire", répond-il. Je lui demande si la pratique du bakchich est courante dans la région. "Qu'est-ce que tu crois ? Bien sûr !"

    Seul le commerce légal semble pâtir des mesures anticontrebande.

    Amine est "connu des services de police". Arrêté pour contrebande, il a déjà passé une semaine en détention et traîne une peine de six mois de prison avec sursis. Son destin à court terme, il le sait, est derrière les barreaux. Il se défend pourtant d'être dans l'illégalité : "L'État devrait nous laisser tranquilles. Je ne passe pas de kif. Ceux-là achètent leur passage." Les "barons", appelés aussi "gros poissons", attisent rumeurs et convoitises. On les dit intouchables.
    "Vous ne les verrez pas ici, explique un journaliste local. Eux sont tranquillement en train de profiter de leurs vacances à la plage chez vous, à Saïdia, ou en Espagne." Ici, seul le commerce légal semble pâtir des mesures anticontrebande.

    Bras de fer avec les autorités
    Depuis le 4 août, les services de la douane se sont installés au kilomètre 35 afin de contrôler une plus large palette de marchandises. Les transporteurs doivent désormais déclarer une longue liste de produits afin d'obtenir un passavant. Dans une économie dominée par l'informel et la sous-facturation, cette mesure a rapidement entraîné une hausse des coûts, qui s'est répercutée sur les consommateurs.
    Sont concernés par la nouvelle nomenclature : l'eau minérale en bouteille, les boissons gazeuses, les jus, les produits laitiers, les pâtes, la semoule... Bref, quasiment tous les produits de consommation courante.
    Jeune entrepreneur à Ghazaouet, Noureddine s'insurge contre cette mesure d'"iniquité fiscale". Dans ce petit port de pêche à 50 km au nord de Maghnia, où l'émir Abdelkader, héros de la résistance au colonialisme, passa sa dernière nuit avant l'exil en France, ce patron menace de mettre la clé sous la porte : "Mon entreprise conditionne du sucre en bûchettes. Mon fournisseur refuse de me livrer, et la nouvelle taxe ne permet pas la poursuite de mon activité. J'ai actuellement six employés et, à ce rythme, je ne vais pouvoir ni les payer ni rembourser mon crédit."
    Depuis mi-août, les commerçants ont entamé un bras de fer avec les autorités : grève, sit-in au kilomètre 35... "La lutte contre la contrebande est légitime, mais elle ne doit pas se faire aux dépens de tous les habitants de la région frontalière. Le contrôle routier doit être fait à 5 km de la frontière, non à 40", tonne Noureddine. Dans L'Esprit des lois, Montesquieu expliquait : "Partout où il y a des moeurs douces, il y a du commerce. Partout où il y a du commerce, il y a des moeurs douces." À méditer.

    Jeuneafrique

  • #2
    n'importe quoi
    karkoubi ya que les gheraybo (ou leur semblable) qui parle comme ce language,,

    quand un pays premier producteur de cannabis , ces jeune ce donne aux "knina" ce donner a ce comprimé, le probleme et au maroc pas ailleur
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

    Commentaire


    • #3
      Le Maroc a désormais : le kif, la cocaine et l'ecstasy !!!

      Commentaire


      • #4
        Source que le Maroc produit de l'ecstasy et de la cocaine ?

        Commentaire


        • #5
          Qui a parlé de produire ?

          Source que le Maroc produit de l'ecstasy et de la cocaine ?
          Le verbe usité est "Avoir". Il y a sur le marché marocain des drogues : du Kif local, des psychotropes locaux et étrangers, de la cocaine et de l'ecstasy produits sous d'autres cieux ! Une belle palette.

          Commentaire


          • #6
            jawzia
            Le Maroc a désormais : le kif, la cocaine et l'ecstasy !!!
            Ta qu'à taper cocaïne algerie et tu sauras que ton pays est le champion maghrébin en consommation et en transite

            Commentaire


            • #7
              Pour te donner une idée du bordel .......

              Jeune indépendant

              Sahel-Algérie-Europe, l’axe du trafic de cocaïne
              En octobre 2009, on a découvert dans l’épave d’un Boeing 727 calciné dans le secteur de Bourem, au nord du Mali, des tonnes de cocaïne provenant de l’Amérique latine (Venezuela) et destinées à Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi).




              *
              C’était là la première grosse affaire de cocaïne découverte au Mali. En 2011, une filière malienne de trafic de cocaïne a été décimée en Algérie et dans laquelle des stewards algériens étaient impliqués.
              En 2013, une autre filière africaine de cocaïne sera, à son tour, démantelée par les gendarmes de Ghardaïa et plusieurs kilos de cocaïne et d’héroïne ont été saisis et huit Africains arrêtés. L’axe Sahel-Algérie- Europe est devenu le nouvel eldorado des réseaux transnationaux pour transporter des drogues dures. La présence de drogues dures en Algérie se fait de plus en plus fréquente.

              La situation qui prévaut dans les pays voisins, notamment les perturbations sécuritaires et l’existence de terroristes, a encouragé le trafic de cocaïne au Sahel, devenant une véritable menace pour l’Algérie après le cannabis.

              Le trafic de cocaïne en Algérie a commencé en 2009, à l’époque où des petits avions suspects avaient atterri en plein désert au nord du Mali, avec à leur bord des tonnes de drogues dures en provenance de l’Amérique latine.

              Ces drogues arrivent au Mali et au Sénégal avant de finir entre les mains des terroristes d’Aqmi et des narcotrafiquants et aussi des trafiquants d’armes. C’est ainsi que des filières maliennes sont nées pour exécuter des missions qui consistaient à acheminer des quantités de cocaïne vers l’Algérie, l’Europe et d’autres horizons.

              Ce n’est pas un hasard si, aujourd’hui, des quantités de cocaïne sont interceptées par les gendarmes et policiers aux frontières, dans les quartiers et dans les ports et aéroports du pays, car en face, le Mali et le Niger, à l’instar du Sénégal, sont inondés de drogues dures. En 2011, l’affaire des stewards avait éclaté au grand public. Près de huit stewards algériens avaient été arrêtés pour appartenance à un réseau transnational de trafic des drogues dures.

              Leur mission était d’acheminer des drogues dans les avions d’Air Algérie. Toutefois, le réseau avait été décimé par la police des frontières (PAF). Aussi, le démantèlement récent d’une grosse filière de trafic de cocaïne et d’héroïne par les gendarmes de Ghardaïa a été une sonnette d’alarme quant à la menace qui pèse sur l’Algérie et qui a pour nom cocaïne.

              Pour rappel, une dangereuse filière africaine a été décimée par les gendarmes suite à une enquête qui s’est soldée par l’interpellation à Ghardaïa et à Oran de huit trafiquants de drogues dures, entre autres des ressortissants camerounais, sierra-léonais, maliens et un Franco-Algérien.

              Ces derniers étaient en possession de 4 kg de cocaïne et d’héroïne, dont une partie était destinée à la vente dans l’Algérois et la seconde devait être acheminée vers l’Europe.

              C’est suite à un accident routier que les gendarmes ont pu localiser le dangereux réseau avant de l’éliminer grâce à des perquisitions dans les domiciles des ressortissants africains et du Franco-Algérien à Oran.

              En effet, il y a quatre jours de cela, un accident de la circulation a eu lieu sur la RN 01 reliant El-Menéa à Ghardaïa. Un bus de voyageurs s’est renversé avec des dizaines de personnes à bord.

              Parmi ces passagers figuraient des ressortissants africains, plus exactement quatre Maliens dont une femme âgée de 22 ans. Evacués vers l’hôpital de Ghardaïa, les quatre Maliens ont réussi à s’échapper lorsque l’un des leurs a été soumis, par les gendarmes, à un contrôle par scanner, car grâce aux images fournies par le scanner, les gendarmes ont localisé des capsules blanches dans son estomac. Les gendarmes ont donc traqué les quatre fugitifs avant de les rattraper.

              Entamant l’enquête avec eux, les gendarmes ont été informés par les quatre Maliens que quatre autres de leurs acolytes figurent au sein de leur réseau et que ces derniers résident à Oran. Exécutant une extension d’expertise, les gendarmes se sont déplacés vers la ville d’El-Bahia. Là, trois Africains et un Franco- Algérien ont été arrêtés.

              L’Ivoirien, son épouse nigériane et la cocaïne dans l’Algérois
              A une heure du matin de mardi dernier, les éléments de la Gendarmerie nationale d’El-Menéa, en mission de contrôle sur la RN 01 reliant El-Menéa à Ghardaïa, ont stoppé un bus de voyageurs desservant la ligne Tamanrasset – Ouargla.

              Après avoir demandé au chauffeur d’arrêter son bus pour vérification, deux gendarmes sont montés à bord pour contrôler les pièces d’identité des passagers.

              C’est à ce moment que l’attention de l’un des gendarmes a été attirée par un sac en plastique contenant diverses nourritures, une tablette de chocolat et une capsule de couleur blanche contenant une poudre marron. En demandant à qui appartenaient ces affaires, un ressortissant africain d’origine ivoirienne, le nommé B. I, a répondu que cette nourriture était la sienne.

              Ce dernier a été emmené par les gendarmes au siège de la Section de Recherches d’El-Menéa. Il a avoué qu’il s’agissait de cocaïne qu’il devait transporter pour ses «clients». Poursuivant les investigations avec cet Ivoirien, les gendarmes ont réussi à avoir un autre renseignement fourni par ce dernier. Il a avoué d’avoir jeté de par la fenêtre du bus deux autres capsules bourrées, cette fois, d’héroïne.

              En se déplaçant vers le barrage, les gendarmes ont effectivement découvert les deux capsules qui contenaient de la poudre blanche, respectivement d’un poids de 54,7 et 53,9 grammes, bien collées. De retour au siège de la Section de Recherches, les gendarmes ont relancé l’interrogatoire avec le trafiquant ivoirien afin qu’ils puissent avoir d’autres détails sur le réseau auquel il appartient.

              C’est ainsi que l’Ivoirien a déclaré que les trois capsules qu’il transportait appartenaient à une personne résidant à Aïn Guezem (Tamanrasset) sans toutefois pour voir donner son nom.

              Selon lui, il devait transporter les capsules vers Alger afin de les remettre à une femme d’origine nigériane qui remettre, en contrepartie, une somme d’argent. Cette dernière demeure à Bordj El-Kiffan, continue d’expliquer l’Ivoirien aux gendarmes enquêteurs.

              Exécutant une extension d’expertise, les gendarmes d’El- Menéa se sont déplacés, le lendemain (mercredi passé) vers Alger afin de localiser la femme nigériane et procéder à son arrestation. Une perquisition du domicile de la Nigériane sis à Bordj El-Kiffan a permis de découvrir plusieurs capsules d’héroïne, tandis que la femme, âgée de 35 ans a été arrêtée lors de cette opération.

              Soumise à un interrogatoire, elle a déclaré que les quantités de cocaïne et d’héroïne proviennent du Mali, transitent par Tamanrasset et arrivent à Alger et une partie sera transférée vers l’Europe. Les deux trafiquants africains ont été présentés, jeudi dernier, devant le tribunal d’El- Menéa et placés sous mandat de dépôt.
              Dernière modification par Nourman, 08 septembre 2014, 18h30.

              Commentaire


              • #8
                Le verbe usité est "Avoir". Il y a sur le marché marocain des drogues : du Kif local, des psychotropes locaux et étrangers, de la cocaine et de l'ecstasy produits sous d'autres cieux ! Une belle palette.
                Ah donc sur le Marché Algérien il doit aussi avoir une belle palette de drogue : kif, psychotropes, cocaine, ecstasy, ainsi que l'opium...local !

                Commentaire


                • #9
                  Ah donc sur le Marché Algérien il doit aussi avoir une belle palette de drogue : kif, psychotropes, cocaine, ecstasy, ainsi que l'opium...local !
                  Tout est question d'ampleur !

                  Nous n'avons pas 38.000 tonnes de kif produits localement à "commercialiser". On les subit.

                  Les cartels d'amérique latine ont choisit de sous-traiter avec les réseaux maffieux du Maroc les centaines de kilogrammes de cocaine en transit vers l'europe ou en consommation locale. Pour quelques 200 grammes saisis auprès de quelques stewards d'AA ... Nadet Al kiyama !

                  Les psychotropes; nous avons les nôtres. Vous avez ceux des laboratoires Roche installés au Maroc

                  L'ecstasy manich 3aref mnine jatkoum.

                  Commentaire


                  • #10
                    21 marocains trafiquants de cocaïne arrêtés par la police a Marrakech

                    بلغ عدد ألأفراد الذين تم القبض عليهم منذ صباح الجمعة المنصرم، والتي تنشط في المغرب في تجارة الكوكايين، ليصبح 21 مغربيا بعد أن تم القبض في البداية على ستة أفراد مغاربة

                    واستطاعت مصالح الأمن بمراكش توفيق 21 شخصا ثبت تورطهم في تجارة مخدرات
                    الكوكايين ، في عملية وُصفت بكونها الأكبر من نوعها في المغرب وشمال إفريقيا خلال السنوات الأخيرة، حيث تم حجز كمية من مخدر الكوكايين بلغت 226 كيلوغرام

                    وأفاد مصدر أمني أن عمليات البحث والتحري الميداني والعلمي والتقني بولاية مراكش أسفرت عن إلقاء القبض، في مراحل مختلفة وبعدة مدن من المملكة المغربية، على 21 شخصا متورطين في هذه القضية، ستة منهم تم توقيفهم في بداية الأمر، عرضوا اليوم أمام المحكمة

                    وتبعا للمصدر، فإن عمليات الحجز، التي طالت الوسائل المستعملة في هذه الجريمة، طالت شاحنة من نوع "ميتسوبيشي" مجهزة بوسائل التبريد، وسيارتين من نوع "مرسيديس"، وقنينة غاز مسيل للدموع، وعصا كهربائية، وهاتف نقال من النوع الذي يعمل بواسطة الأقمار الصناعية، ومجموعة من الهواتف النقالة الأخرى بالإضافة إلى دفاتر شيكات بنكية بابناك مغربية

                    وعثرت مصالح الأمن بمراكش على الكمية المحجوزة من مخدرات الكوكايين، والتي وُصفت بأنها قياسية، مخبأة ومعبأة بعناية وسط صناديق على متن شاحنة تبريد مخصصة لنقل الأسماك، قادمة من جنوب المغرب عبر الصحراء

                    ألأحداث المغربية ألأثنين 08 شتنبر 2014


                    .

                    Commentaire


                    • #11
                      MEK
                      baraka min lekdoub dyalek.. c'est écrit nulle part 21 marocains.

                      أمن مراكش يعتقل 21 شخصا من عصابة دولية للكوكايين

                      ويمتد نشاط هذه الشبكة الإجرامية إلى عدد من الدول، حيث تمكنت خلالها مصالح الأمن المغربية من تحديد مسالك التهريب القادمة من دول أمريكا اللاتينية، مرورا بسواحل غرب إفريقيا، ثم المغرب الذي يتخذ كنقطة عبور في اتجاه أوروبا.

                      texte en entier consultable à hespress.ma

                      Commentaire


                      • #12
                        posté par Barthez

                        MEK
                        baraka min lekdoub dyalek.. c'est écrit nulle part 21 marocains.
                        .

                        ce n est pas du mensonge , par votre presse : medias24

                        *Le Souk de l héroïne dans la ville de Tétouan au Maroc

                        La ville blanche est entrain de devenir un foyer de consommateur d héroine qui n épargne aucune catégorie sociale
                        Chose vues dans un des quartiers où le trafic fait des ravages .

                        un récit inquiétant

                        -Tétouan connait une explosion du trafic de cette drogue mortelle , au vu et au su de tout le monde , des dealers fournissent une cohorte interminable de toxicomane qui sont que la partie visible de ce problème de société qui n épargne plus le Maroc

                        -La ville de Tétouan est devenue un véritable supermarché de la drogue de la drogue , car l héroïne est disponible de 7 heures à 3 heures du matin dans tous les quartiers de la ville « BLANCHE » selon nos source

                        -Les mafieux étrangers désireux de s approvisionner en en « HACHICH » en grande quantité ont proposé à leurs homologues marocains de les payer en contrepartie d héroïne et de cocaïne

                        -Les trafiquants y ont vu une occasion de développer leur business et en quelques années ,ils ont réussi à créer une demande intérieure

                        En bref une bombe à retardement
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                        Commentaire


                        • #13
                          Côté algérien : "Les Marocains ont le kif, nous avons le karkoubi !"
                          .

                          ça se voit , la voix du Makhzen , article fait Par Youssef Aït Akdim

                          Youssef AÏT AKDIM ??? il travaille dans un cabinet d'avocats d'affaires à Casablanca (Maroc), journaliste sur commande ( pour la Françafrique ?? )
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire


                          • #14
                            Da3ech bombe a retardement,héroïne cocaïne bombe a retardement le plisario bombe a retardement Les FAR aux sahara bombe a retardement L'ONU bombe a retardement on va cotisé pour t'acheter une chaise d'arbitre de Tennis pour que tu apprécier le feu d'artiffice qui se passera au Maroc d'aprés tes désires.Mais laquelle des bombes tu préfere en premier.Allez fait toi plaisir.c'est cadeau!

                            Commentaire


                            • #15
                              @AWTIL

                              ça n a rien a voir avec " Da3ech " , ni avec le Sahara Occidental ?

                              Le Maroc s enlise

                              -Les mafieux étrangers
                              désireux de s approvisionner en « HACHICH » en grande quantité ont proposé à leurs homologues marocains de les payer en contrepartie d héroïne et de cocaïne

                              --Les trafiquants y ont vu une occasion de développer leur business et en quelques années ,ils ont réussi à créer une demande intérieure
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X