Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Einstein passait pour un cancre jusqu'au jour où...

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Einstein passait pour un cancre jusqu'au jour où...

    Avant de devenir Einstein, le jeune Albert a eu du mal à parler, à rentrer dans le moule de l'école. Tout change lorsque ses parents l'inscrivent dans un lycée aux méthodes révolutionnaires.
    Le jeune Albert Einstein a éprouvé jusque tard des difficultés pour s’exprimer, le poussant plutôt à se parler à lui-même ou être silencieux. Ses parents ont même craint qu’il ne fut simple d’esprit, allant jusqu’à consulter un médecin.

    Sa passion pour la science et ses mystères remonte pourtant à son enfance. Dans son dernier ouvrage Atteindre l’Excellence (et dont voici deux extraits), l’auteur de best seller Robert Greene nous apprend qu’à cinq ans, "son père lui offrit une boussole. L’enfant fut immédiatement fasciné par l’aiguille, qui changeait de direction tandis qu’il se déplaçait. Le fait qu’une force magnétique invisible à l’œil fasse bouger l’aiguille bouleversa le petit Einstein. Il se demanda tout de suite s’il existait dans l’univers d’autres forces aussi invisibles et aussi puissantes, que personne n’aurait encore découvertes ni comprises? Toute sa vie, ses intérêts et ses idées tournèrent autour de cette question simple des forces et des champs cachés ; souvent, il repensa à la boussole qui avait déclenché cette passion".
    Einstein a suivi un parcours scolaire chaotique comparé à ses illustres confrères. Détestant apprendre par cœur, s’insurgeant contre l’autorité froide de ses professeurs, approfondissant ses connaissances en autodidacte et au contact de quelques amitiés solides, il fut souvent considéré comme un mauvais élève, étourdi, sélectif et peu motivé … Jusqu’à ce qu’un nouveau "terrain de jeu" mette en mouvement ses exceptionnelles stratégies mentales.

    Auto-apprentissage par observation

    Peu après son renvoi du Luitpold Gymnasium de Munich - son professeur de grec jugeant sa présence incompatible avec la stricte discipline y régnant à l’époque, Robert Greene souligne que "ses notes n’étaient pas fameuses et quand il eut 16 ans, ses parents, inquiets pour son avenir, l’inscrivirent dans une école plus libérale à Aarau, non loin de leur domicile zurichois. Cette école s’inspirait des méthodes du grand éducateur suisse Johann Pestalozzi, qui insistait sur l’auto-apprentissage par observation, conduisant au développement d’idées et d’intuitions. Même les mathématiques et la physique étaient enseignées de cette façon. On n’apprenait pas par cœur, on ne faisait pas d’exercices. La méthode attachait une importance suprême à la forme visuelle de l’intelligence, qui était pour Pestalozzi le secret de la créativité. Dans cette atmosphère, le jeune Einstein brilla soudain. Il trouva ce milieu hautement stimulant. L’école encourageait les élèves à apprendre par eux-mêmes ce vers quoi les poussait leur inclination … Un jour qu’il était perdu dans ses réflexions, alors qu’il était encore à Aarau, une image se forma dans son esprit : celle d’un homme se déplaçant à la vitesse de la lumière".

    Ce fut le point de départ d'un cheminement, poursuivi dans ses études à l’école polytechnique de Zurich dont il sorti diplômé parmi les derniers, qui le mena à publier la première théorie révolutionnaire de la relativité dix ans plus tard !

    Par Grégory Le Roy, consultant en NeuroStratégies.
    عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون
Chargement...
X