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La chambre correctionnelle du tribunal de première instance de Tétouan a condamné à une peine de prison, un individu de nationalité marocaine, inculpé d’usurpation d’identité d’une ‘personnalité officielle’.
L’individu en question, a été arrêté à Rabat et transféré à Tétouan pour y être jugé.
Il profitait de sa ressemblance physique avec le Roi Mohamed VI, pour se faire passer pour lui, auprès de certaines personnes à Tétouan et à Rabat.
Selon des sources médiatiques arabophones de la place, le condamné, qui a écopé d’une peine de prison de 3 ans, pour usurpation d’identité ‘d’une personnalité officielle’ (comprendre le Roi), a réussi à se jouer de plusieurs personnes et même à "tromper" des éléments de police qui l'avaient pris pour le roi Mohamed VI .
L’individu imitait l’aspect vestimentaire du monarque soit en portant des djellabas comme lui, ou en se vêtant de vêtements de sports et en se couvrant les yeux avec des lunettes de soleil, semblables à celles que porte d’habitudes le souverain.
Il marchait dans les rues en saluant de la main, les passants comme le fait le roi.
Interrogé par le tribunal sur la raison pour laquelle il commettait son délit, le condamné a répondu qu’il n’a jamais eu de mauvaises intentions et qu’il ne faisait que s’amusait en agissant de la sorte.
Adam Sfali
lemag.ma
L’individu en question, a été arrêté à Rabat et transféré à Tétouan pour y être jugé.
Il profitait de sa ressemblance physique avec le Roi Mohamed VI, pour se faire passer pour lui, auprès de certaines personnes à Tétouan et à Rabat.
Selon des sources médiatiques arabophones de la place, le condamné, qui a écopé d’une peine de prison de 3 ans, pour usurpation d’identité ‘d’une personnalité officielle’ (comprendre le Roi), a réussi à se jouer de plusieurs personnes et même à "tromper" des éléments de police qui l'avaient pris pour le roi Mohamed VI .
L’individu imitait l’aspect vestimentaire du monarque soit en portant des djellabas comme lui, ou en se vêtant de vêtements de sports et en se couvrant les yeux avec des lunettes de soleil, semblables à celles que porte d’habitudes le souverain.
Il marchait dans les rues en saluant de la main, les passants comme le fait le roi.
Interrogé par le tribunal sur la raison pour laquelle il commettait son délit, le condamné a répondu qu’il n’a jamais eu de mauvaises intentions et qu’il ne faisait que s’amusait en agissant de la sorte.
Adam Sfali
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