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Les Occidentaux ont-ils peur pour le Maroc ?

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  • Les Occidentaux ont-ils peur pour le Maroc ?

    QUE CACHE LA NOUVELLE ATTAQUE CIBLANT
    NOTRE ARMÉE PROVENANT DE L’OBSERVATOIRE
    GÉOSTRATÉGIQUE BRITANNIQUE STRATRISKS
    LIÉ AUX THINK TANKS OCCIDENTAUX, QUI SE
    HASARDE À PUBLIER DES ÉTUDES CIBLANT
    NOTRE ARMÉE ET SON POTENTIEL, ALLANT
    JUSQU’À FAIRE DES COMPARAISONS AVEC LE
    ROYAUME DU MAROC ?
    Ce n’est certainement pas un travail pédagogique
    que de parler de l’état des lieux de notre armée
    au moment où le sang de la prise d’otages de
    Tiguentourine n’a pas encore eu le temps de
    sécher. Laurent Touchard, le spécialiste qui a
    élaboré une analyse comparative de notre armée
    par rapport à celle du roi du Maroc est
    certainement un ex-agent, spécialiste français en
    barbouzerie. Il s’est livré dans son analyse à une
    véritable acrobatie disant une chose et son
    contraire et affirme que notre armée possède un
    vieux matériel souvent hérité de l’Union soviétique
    alors que le Maroc s’approvisionne chez les
    Français et les Américains. Cet individu est à
    classer dans la rubrique journaliste-agent,
    nouvelle formule journalistique sur qui s’appuie
    l’empire pour attaquer et détruire des pays qui ne
    s’alignent pas sur les choix des puissances
    occidentales. Bien évidemment, son travail
    contient plein de contrevérités concernant l’ANP
    qui a dans la réalité plusieurs fournisseurs en
    armes. Je pense que ce monsieur doit sans doute
    être traumatisé par le syndrome de la guerre
    froide et éprouve une peur bleue de l’ex-Union
    soviétique. Laurent Touchard, de son vrai nom ou
    pseudo de barbouze, nous offre une antithèse en
    guise de synthèse, ce qui le rend vraiment unique
    en son genre, et il peut décrocher le Prix du
    mensonge de l’année. Bien sûr, ses écrits ne sont
    pas du tout anodins et il faut les prendre très au
    sérieux. Reflètent-ils l’état d’esprit du monde
    militaro politique occidental par rapport à notre
    armée qui est la garante de la souveraineté de
    notre pays ou s’agit-il seulement des errements
    d’un néocolonialiste ? Il affirme ainsi : «Deux
    pays, deux doctrines, deux visions du monde.
    L'Algérie et le Maroc appartenaient à deux blocs
    distincts. Dans chaque «camp», des années
    d'alignement - sur celui de l'Est pour la première
    et sur celui de l'Ouest pour le second - ont
    marqué les gradés. Les officiers sont devenus
    officiers supérieurs et officiers généraux, les sous-
    officiers sont parfois devenus officiers et officiers
    supérieurs. Les uns formés «à la soviétique», les
    autres «à la française» ou «à l'américaine». Les
    doctrines militaires héritées de cette période
    continuent à façonner les forces armées
    contemporaines des deux pays, sans pour autant
    exclure les évolutions. Du côté algérien, le
    processus d'adoption d'une doctrine a été plus
    complexe que pour le Maroc. Les problèmes
    apparus lors de la guerre des Sables, en octobre
    1963, ont démontré qu'une armée exclusivement
    populaire ne convenait pas. Il fallait créer une
    force plus professionnelle, disciplinée, en mesure
    d'utiliser des matériels modernes dans
    l'éventualité d'une guerre conventionnelle avec le
    voisin marocain. Des années 1960 à nos jours,
    c'est la doctrine soviétique qui a prévalu. En cas
    de guerre ouverte avec le Maroc, l'Algérie
    engagerait ses unités blindées, mécanisées et
    motorisées dans des opérations aux contours
    strictement définis par des plans rigides.
    L'aviation viendrait appuyer les actions des
    troupes terrestres ou intercepter les chasseurs
    adverses sous le contrôle des stations radars au
    sol, de concert avec les batteries de missiles
    surface-air. Si elle se veut souple sur le plan
    stratégique, cette doctrine laisse peu de place à
    l'initiative tactique et contraint les officiers à
    exécuter vaille que vaille les consignes pour
    anéantir l'ennemi en profondeur. Deux idéologies
    À l'opposé, le Maroc a lui privilégié le combat
    mobile. Les chefs d'unité ont été encouragés à
    faire preuve d'initiative en manœuvrant, en
    mettant à profit la qualité et la quantité des
    moyens de transmission, du matériel... ainsi que
    le niveau d'entraînement des officiers, sous-
    officiers et militaires de carrière. Cela a conféré
    aux hommes du rang, un encadrement solide et
    compétent. Tandis que les cadres militaires
    algériens étaient formés - et politisés - dans les
    académies d'Union soviétique et des «pays
    frères», ceux de Rabat apprenaient et se
    perfectionnaient en France, aux États-Unis... Plus
    que deux pays, ce sont deux idéologies qui
    s'affrontaient. Les troupes algériennes n'étaient
    pas préparées pour affronter des combattants
    entraînés à la guérilla. Les forces terrestres
    chérifiennes sont donc plus expérimentées et
    mieux encadrées. Comme le veulent les doctrines
    militaires françaises et, surtout américaines, les
    unités de soutien marocaines sont nombreuses et
    bien organisées. La disponibilité des matériels est
    donc grande et les unités du royaume auraient la
    garantie, en cas de conflit. » Les contradictions,
    du travail très orienté de ce spécialiste en art de
    la guerre qui essaye sans doute de rassurer un
    des agents de l’impérialisme dans la région du
    Maghreb, nous alertent toutefois sur le fait que le
    danger peut nous venir de toutes nos frontières,
    et pas seulement de celle du sud, tout en
    négligeant un fait très important que partagent
    tous les stratèges militaire occidentaux dont
    témoigne la dernière sortie du commandant en
    chef de l’Africom, David Rodriguez, qui qualifie
    l’Algérie et notre armée de puissance régionale
    très importante : «Je considère l'Algérie comme
    un leader régional, capable de coordonner les
    efforts des pays du Sahel pour faire face aux
    menaces à la sécurité transnationale». A mon
    avis, l’étude de ce journaliste spécialiste en art
    culinaire guerrier made in France a négligé le fait
    que notre armée a vaincu un ennemi redoutable et
    donne du fil à retordre à toutes les armées du
    monde, en l’occurrence le terrorisme islamiste, et
    la preuve en a été démontrée lors de l’intervention
    magistrale de l’ANP sur le site gazier de
    Tiguentourine qui a prouvé suffisamment sa
    capacité professionnelle et sa maîtrise
    stratégique. Le même auteur revient dans une
    autre analyse pour confirmer son manque de
    discernement ou tout simplement le déni des
    vérités qui fâchent. Il se contredit sur le potentiel
    militaire de l’Algérie et du Maroc dans les propos
    suivants : «Les budgets militaires consacrés à la
    Défense culminent à 9,8 milliards pour l’Algérie et
    à 3 milliards de dollars pour le Maroc. Dans le
    domaine terrestre, Alger conforte sa supériorité
    numérique globale, avec 185 chars russes T-90
    (sur 300 commandés), et jusqu'à 500 T-72,
    additionnés à 300 T-62, lesquels dotent
    vraisemblablement une partie des régiments
    d'infanterie mécanisée, sans oublier les T-55,
    utilisés pour l'instruction. Côté marocain, les 200
    M1A1-SA américains annoncés ne réduiront que
    peu l'écart avec l'Algérie, car ils remplaceront une
    partie des M60A3. En revanche, leur livraison
    équilibrera le rapport de force qualitatif : les
    M1A1-SA dominant les T-90 et les T-72.
    Concernant les blindés de reconnaissance, de
    transport de troupes et de combat d'infanterie,
    l'Algérie est aussi en tête, en nombre et en
    termes de performances des véhicules. Au Maroc,
    les crédits étant plus modestes, rien ne semble
    prévu pour les remplacer. Même chose pour les
    variantes de M113 acquis d'occasion - en dehors
    de modernisations locales de véhicules de l'avant
    blindé (VAB). Dans tous les cas, la question du
    renouvellement du parc de blindés de
    reconnaissance et de transport marocains se
    posera d'ici à quelques années. Concernant les
    blindés de reconnaissance, de transport de
    troupes et de combat d'infanterie, l'Algérie est
    aussi en tête, en nombre et en termes de
    performances des véhicules. Au Maroc, les crédits
    étant plus modestes, rien ne semble prévu pour
    les remplacer. Même chose pour les variantes de
    M113 acquis d'occasion - en dehors de
    modernisations locales de véhicules de l'avant
    blindé (VAB). Dans tous les cas, la question du
    renouvellement du parc de blindés de
    reconnaissance et de transport marocains se
    posera d'ici à quelques années. Le parc aérien
    défensif et offensif vieillit de part et d'autre, ce
    qui augmente les risques d'accident. Dans le
    domaine aérien, le contrat de vente de 34 MiG-29
    (1,27 milliard de dollars), qui est allé de pair avec
    l'annulation de la dette algérienne en 2006, a
    rapidement tourné au fiasco. Mécontents face à la
    mauvaise qualité des appareils, les Algériens ont
    cessé de payer en 2007, avant que Moscou
    accepte de reprendre ses avions. Contrat qui
    incluait également 28 Sukhoi Su-30 (16 ayant été
    commandés par la suite, dont au moins 8 reçus).
    Quant aux autres MiG-29 de la force algérienne,
    ils ont été achetés avant 2006 à la Biélorussie.
    Leurs capacités sont limitées aux missions
    d'interception et d'attaque au sol avec des armes
    non guidées. Toutefois, une modernisation devrait
    leur permettre d'utiliser des bombes guidées ainsi
    que des missiles air-sol, tout en les maintenant
    en service jusqu'en 2018. Rafale Le Maroc a
    «riposté» au Sukhoi Su-30 en signant, en 2008,
    un contrat avec les États-Unis pour 24 F-16. Son
    coût, de 2,4 milliards de dollars, a été en partie
    financé par l'Arabie Saoudite. Nonobstant les
    modernisations et l'achat de Sukhoi pour les uns,
    de F-16 pour les autres, le parc aérien défensif et
    offensif vieillit de part et d'autre, impliquant une
    augmentation des coûts de maintien en service
    ainsi que des risques d'accident accrus. Depuis
    environ trois ans, Alger songe donc à acquérir un
    chasseur multirôle qui succéderait à ses vieux
    appareils. Plusieurs concurrents sont en lice : le
    Saab JAS-39 Gripen, le EFA Typhoon, le Rafale,
    ainsi que le Sukhoi Su-35 ou de nouveaux Su-30,
    pour 80 à 100 avions. Reste que la Russie paraît
    avoir pris une longueur d'avance pour la vente de
    bombardiers Sukhoi Su-34. Et ce, d'autant plus
    que l'acquisition d'avions de combat occidentaux
    et leur intégration se révéleraient complexes et
    onéreuses. Se pose aussi la question du transfert
    de technologie, au moins pour le Rafale. Cela
    étant dit, l'achat du Rafale serait un geste
    politique fort.
    Voir suite >>d
    Dernière modification par absent, 12 septembre 2014, 18h50.

  • #2
    La récente visite de François
    Hollande à Alger et le réchauffement des relations
    entre les deux pays créent un contexte favorable.
    Le président français est aussi attendu à Rabat
    début avril. Suite de la page 4 Côté marocain, un
    budget militaire deux à trois fois plus réduit selon
    les années n'autorise pas de tels projets. La
    modernisation récente de 27 Mirage F1, mis aux
    standards MF2000 pour un coût estimé entre 518
    et 542 millions de dollars, implique qu'ils
    resteront en service encore un moment. Il en va
    tout autrement pour les vieux F5 de l'armée de
    l'air royale. Certes, ils gardent une utilité en cas
    de missions d'appui rapproché contre les
    irrédentistes du Polisario. Ils sont, en revanche,
    totalement dépassés face aux Su-30 ou aux
    armes antiaériennes modernes d'Alger. Dans le
    domaine maritime, Alger développe la puissance
    de sa flotte. Enfin, par ses hélicoptères, l'Algérie
    surpasse le Maroc à tout point de vue. Les Mi-24
    rescapés des lots reçus dans les années 1990 et
    2000 sont passés aux standards MkIII Super Hind
    en Afrique du Sud, avec des composants de
    l'hélicoptère d'attaque sud-africain Rooivalk. Le
    couple Mi-24 Super Hind/missiles antichars Ingwe
    a ainsi été engagé contre les terroristes à In
    Amenas. En outre, jusqu'à 48 hélicoptères Mi-28
    auraient été commandés. Les premiers sont
    arrivés en Algérie entre fin 2012 et début 2013.
    Le Maroc, quant à lui, ne possède que quelques
    Gazelle-HOT et Gazelle-Canon. Loin de disposer
    des capacités des hélicoptères algériens, ils sont
    en outre beaucoup plus vulnérables aux tirs
    d'armes légères et de mitrailleuses lourdes de
    12,7 mm ou 14,5 mm. Pourtant, leur
    remplacement n'est pas évoqué. Frégates Depuis
    plusieurs années, les spéculations sur les
    intentions d'achat des uns et des autres vont bon
    train. L'Algérie occupe une place centrale dans ce
    jeu de dupes, tant par son souci de moderniser
    sa flotte que par sa volonté de lui donner une
    stature plus méditerranéenne, voire océanique.
    L'achat de deux sous-marins russes Kilo 636 en
    2006, pour 400 millions de dollars, et la
    commande de deux autres, il y a peu, illustrent
    cette ambition. Dans le domaine maritime enfin,
    Alger développe la puissance de sa flotte. Tout en
    modernisant les bâtiments déjà opérationnels, elle
    s'appuie sur deux frégates Meko 200, auxquelles
    s'ajouteront deux autres, assemblées en Algérie.
    Elle acquiert aussi des corvettes. Côté marocain,
    la Frégate européenne multimission (Fremm)
    Mohammed VI, commandée en 2008 pour 500
    millions de dollars, le navire le plus puissant de la
    flotte marocaine, est apte à la lutte anti-sous-
    marine, à la lutte antiaérienne avec ses missiles
    Aster 15 et à la lutte antinavires avec ses missiles
    Exocet MM40. En 2009, une option aurait été
    prise sur une seconde Fremm, mais sans suite.
    Moins «athlétiques», et néanmoins capables de
    damer le pion aux futurs Meko 200, les frégates
    Sigma néerlandaises constituent l'autre pièce
    maîtresse de la marine marocaine. Enfin, comme
    mentionné plus haut, le Maroc négocierait avec
    l'Allemagne l'achat d'au moins un sous-marin
    Type 209, pour environ 500 millions de dollars,
    tandis que la Russie aurait proposé deux S-1000
    pour un coût unitaire moindre... » Le barbouze
    journaliste va très loin en parlant du potentiel du
    Polisario : «Selon les sources, le Front Polisario
    dispose de 6 000 à 15 000 hommes et femmes en
    armes - 7 000 étant le chiffre le plus crédible. Il
    peut recruter des auxiliaires/miliciens si
    nécessaire. Militairement, il se structure en sept
    régions. Celle de Tifariti regroupe l'essentiel des
    moyens blindés du mouvement, tandis que
    Tindouf accueille les éléments de soutien et le
    commandement. Dans chacune sont implantés
    quatre à cinq bataillons. On en recense trois de
    chars, six d'infanterie mécanisée, deux ou trois
    d'infanterie motorisée. Il existe aussi des
    compagnies du génie et des commandos. Plus
    surprenant, le Front dispose en outre d'une unité
    de «commandos marine» supposée opérer le long
    du littoral marocain. Enfin, l'ordre de bataille
    inclut deux batteries de lance-missiles sol-air
    SA-6.» Ce journaleux-agent planqué est-il contre
    toutes les résolutions de l’ONU qui considèrent
    que la solution de l’affaire du Sahara Occidental
    s’inscrit dans le cadre de la décolonisation ?
    Notons par ailleurs que le peuple sahraoui est
    l’un des derniers peuples colonisés au monde
    avec le peuple palestinien. Evidemment, ce ne
    sont pas les nouveaux Croisés qui vont donner
    des droits aux peuples damnés de la terre !
    Concernant les ONG des droits de l’Homme qui
    ferment les yeux sur les crimes du royaume du
    Maroc contre le peuple pacifique du Sahara
    Occidental, comme elles le font avec les
    prisonniers palestiniens en grève de la faim
    depuis plusieurs mois et dont l’un d’entre eux,
    Samer Tariq Issawi, est en train de mourir sans
    qu’Amnesty International ou Human Right Watch
    qui ont labellisé les droits de l’Homme en les
    vidant de leur sens pour devenir une marque
    déposée, ne lèvent le petit doigt. Au moment où
    un ancien chef du Mossad (1989-1996), Shabtaï
    Shavit, déclare que le Qatar a joué un rôle
    historique en faveur d'Israël «plus important que
    celui de la Grande-Bretagne», c'est ce qu'a
    rapporté le quotidien israélien Yediot Aharonot.
    Evoquant le rôle de Doha dans l'application des
    politiques des Etats-Unis et du régime israélien
    dans la région du Moyen-Orient, Shavit a ajouté
    que les services rendus par le Qatar à Tel-Aviv
    sont plus décisifs que les services rendus à
    «Israël» pendant de longues années par d'autres
    pays. Selon l'ancien chef du Mossad, le Cheikh
    Hamad Ben Khalifa Al-e Thani, émir du Qatar,
    s'était toujours rangé aux côtés des Etats-Unis et
    d'Israël dans les dossiers régionaux. Pour Shavit,
    la politique étrangère du Qatar est comme le
    levier arabe des politiques de Tel-Aviv et de
    Washington. Ces mêmes Israéliens bien
    représentés par les Azoulay père et fils, sont
    conseillers spéciaux du roi du Maroc. Qatar,
    Maroc, Israël : la boucle est bouclée ! «Une partie
    des armes (légères et lourdes) a été fournie par
    l'Algérie, d'autres ont été prises aux forces
    marocaines au début du conflit. Concernant les
    armes lourdes, le Polisario aligne, pour les
    blindés, des T-62, des T-55, quelques SK-105
    (ex-marocains), plusieurs blindés de type AML
    (également ex-marocains), des BRDM-2 et EE-9,
    des BTR-60 et une soixantaine de BMP-1. Il
    possède aussi de nombreux véhicules tout-terrain
    sur lesquels sont montées des mitrailleuses de
    12,7 mm ou de 14,5 mm, ainsi que des bitubes de
    23 mm. En termes d'artillerie, il détient des pièces
    de 130 mm, des lance-roquettes multiples BM-21
    et des mortiers de 120 mm et de 160 mm.
    S'ajoutent environ 40 postes de tir pour missiles
    antichars AT-3 Sagger et une centaine de missiles
    sol-air à très courte portée SA-7, dont beaucoup
    ne fonctionnent probablement plus. À ne pas en
    douter, une partie de ces matériels n'est plus
    opérationnelle aujourd'hui. » Je vais essayer de
    faire une synthèse du travail pour le moins
    incohérent de Stratrisks et de leur agent
    Touchard. Je leur rappelle que la force d’une
    armée n’est pas le matériel ni la logistique, ce que
    feint d’ignorer ce charlatan qui oublie de
    mentionner que le pilier d’une armée est le
    renseignement et la motivation du peuple, et c’est
    la preuve de l’amateurisme de l’auteur. Sinon
    comment aurions-nous gagné notre révolution
    contre la France et l’Otan ? La force de l’ANP
    provient de sa sève patriotique qui est le
    prolongement direct d’une épopée historique de
    l’armée de Jugurtha à l’ALN en passant par les
    braves guerriers d’Al-Mokrani et de l’Emir
    Abdelkader. Notre force, c’est tout simplement
    notre histoire ; on en trouve la démonstration
    dans l’implication des anciens de l’ALN dans la
    lutte antiterroriste en Algérie qui été mortelle pour
    les terroristes. L’ANP, qui a brisé les reins du
    terrorisme islamiste le plus assassin et
    dévastateur de ce siècle, n’a pas attendu les
    analyses et les supputations à répétition de
    certains cercles occidentaux qui sont restés figés
    dans le mythe du «qui tue qui» alors même qu’ils
    ont pactisé et formé la plupart des terroristes.
    L’ANP restera leur cauchemar pour bien
    longtemps et leurs délires sans fin à propos de
    notre armée et de la personnalité du chef de nos
    renseignements et même de l’état de santé de
    notre président reflètent une fébrilité démesurée
    de la part de ces puissances qui ont enfanté Ben
    Laden et Zarquaoui et qui sont les alliés des
    Wahhabite Saoudiens et Qataris. La sortie récente
    d’Yves Bonnet qui demande l’ouverture du dossier
    qatari est très importante dans ce contexte de
    guerre non déclarée contre notre armée. Yves
    Bonnet sait des choses et c’est pour cela qu’il
    s’insurge et recadre le débat vers la source du
    terrorisme qui est actuellement au Qatar qui arme
    les mercenaires syriens et abrite des terroristes
    comme Al- Qardaoui, le mufti millionnaire de
    l’Otan qui n’a jamais prononcé de fatwa contre
    Israël, et le chef du FIS et ses fils reconvertis
    dans le bizness religieux après avoir saigné le
    peuple algérien avec une monstrueuse fitna. Au
    moment où notre armée et notre pays sont la
    cible des esclaves de l’impérialisme des soi-
    disant politiciens comme Abou Guera qui a
    changé son prénom en cassant la jarre et un
    Belkhadem qui joue comme un gosse avec le sigle
    d’un parti qui a fait la grandeur de la nation, ces
    trois lettres magiques du titanesque FLN, il les
    vend à un souffleur de gasba (le corrompu
    Saïdani). Des ONG algériennes continuent la
    énième attaque contre l’Algérie sous l’égide de
    l’organisation sioniste Trial, instrumentalisant
    l’empêchement de cette organisation de disparus
    à aller participer à un colloque du forum social
    mondial en Tunisie. Que va faire une organisation
    liée au Rachad des islamistes suisses et du
    boulanger diplomate Monsieur Croissant- Zitout
    et le criminel wahhabite Dehina qui a bénéficié
    d’une bourse de l’Algérie pour devenir un
    opposant à la solde du Qatar et des Occidentaux
    qui lui ont offert l’asile politique à condition de
    combattre son pays, au moment où l’ONG
    Freedom House, vitrine de la CIA, cherche un
    responsable de la région du Maghreb ? En outre,
    on apprend par la voix de Madame Louisa
    Hanoune que le candidat ingrat à la présidentielle
    de 2014, Ahmed Benbitour, a pris contact avec les
    manifestants de Ghardaïa pour être leur porte-
    parole. L’aveuglement et la stérilité des partis et
    associations ne nous produisent que des Bagara,
    des nouveaux riches qui utilisent les moyens de
    l’Etat pour s’enrichir à l’image de Saïdani et son
    pote Belkhadem.

    Commentaire


    • #3
      La politique n’est pas un jeu de
      gamin et tous ces éléments internes doivent
      prendre en considération la conjoncture externe à
      laquelle notre pays est confronté : menaces à
      toutes nos frontières exacerbées par une classe
      politique médiocre et sans vision stratégique pour
      la nation, le mouvement associatif, au lieu
      d’inculquer les valeurs de notre grande nation à
      nos enfants, soit il s’est emmuré, soit il travaille
      avec des ONG qui ne veulent que le chaos et la
      chute du rêve algérien et qui n’arrêtent pas leurs
      assauts malsains contre notre nation. Le peuple
      algérien les connaît très bien, pourquoi les
      islamistes qui ont échoué et qui nous ont ramené
      un océan de sang s’investissent-ils au sud de
      l’Algérie, à Ouargla, Ghardaïa ou ailleurs ?
      Pourquoi les «qui-tue-quistes» de chez nous
      reviennent-ils par la porte du Sud au moment où
      les «think tanks» occidentaux évoquent
      l’éventualité de la force militaire de notre voisin
      marocain qui est le supplétif parfait d’Israël ? A
      vrai dire, nous sommes amenés à regretter le
      mouvement national et ses débats visionnaires de
      l’émir Khaled à Ben M’hidi. Alors, l’Algérie peut-
      elle compter sur ce véritable nid de guêpes
      malfaisantes pour contrer l’offensive
      impérialiste ? La presse algérienne connaît-elle le
      poids des mots surtout de certains journaux qui
      font de la surenchère en ouvrant leurs colonnes à
      des terroristes rejetés par la société ? Elle a raté
      le coche d’être un contrepouvoir tout en ratant le
      train d’être une opposition crédible, à l’instar de
      la plupart des partis politiques en Algérie. Pas
      besoin d’aller au sud pour voir le désert, nous le
      contemplons dans les éditoriaux de certains
      journaux et les communiqués des partis stériles et
      antinationaux. L’ANP est la seule institution sur
      laquelle le peuple peut compter pour briser les
      rêves de conquête des nouveaux Croisés et de
      leurs traîtres vassaux. C’est un élément qui
      échappe à la compréhension des «think tanks
      occidentaux et des experts qui se vendent au plus
      offrant. Quant à nous, les patriotes résiduels dans
      un pays encerclé par une horde de traitres vendus
      sans honneur aux pingouins du Golfe, ou à la
      France qui ne guérira jamais de la plaie
      algérienne, nous continuons à porter le flambeau
      de nos martyrs et à supporter les accusations des
      traîtres de tous bords, alors que notre seul but
      est la sauvegarde de la souveraineté nationale.
      Nous n’avons aucun intérêt personnel ni avec les
      mafieux corrompus au sein des administrations ni
      avec les corrompus islamistes liés au Qatar et au
      grand capital impérialiste. Nous n’avons que le
      souffle éternel de la patrie. Le néocolonialisme n’a
      pas d’avenir chez nous comme l’islamisme qui
      menace de couper les têtes en Egypte et qui va
      dresser des potences en Tunisie. La spécificité de
      l’Algérie doit être enseignée dans nos écoles en
      panne de créativité. Donc, au moment où nos
      vaillants soldats de l’ANP traquent des offensives
      et des entrées d’armement venant de Libye et où
      nos frontières avec le Mali sont menacées, ces
      études des think tanks occidentaux attirent notre
      attention et nous confortent dans l’idée que nous
      devons rester vigilants par rapport à la frontière
      ouest qui n’est pas seulement génératrice de
      cannabis et autres trafics, mais qui peut
      constituer un danger tant les Occidentaux
      s’acharnent à vouloir soutenir le Maroc dans le
      dossier sahraoui ou contre l’Algérie. Notre combat
      restera permanent tant que le continent africain
      ne sera pas décolonisé et tant qu’existeront des
      Etats travaillant pour le compte de l’impérialisme.
      Et pour ceux qui cogitent dans la perspective de
      l’élection présidentielle de 2014, nous leur disons
      que la fumée de la cheminée d’El Mouradia est
      déjà blanche et que «Habemus Président» !
      Menacer le brave de la mort, c'est menacer le
      canard de la rivière (proverbe algérien)
      MOHSEN ABDELMOUMEN
      nouvelle republique

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      • #4
        En cas de guerre ouverte avec le Maroc, l'Algérie engagerait ses unités blindées, ...
        Il n' y aura pas de guerre ouverte, pas de blindés ni de tortues volantes.
        Juste des fantasmes d'outre-mer.
        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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        • #5
          je ne vois pas du tout ce que Mr Mouhsine veut affirmer ,tout ce que je sais c'est qu'aussi bien les marocains que les algériens achètent de la quincaillerie chez leurs maîtres alors que la pauvreté sévit au bled
          Coucher du soleil à Agadir

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          • #6
            Code HTML:
             L’OBSERVATOIRE
            GÉOSTRATÉGIQUE BRITANNIQUE STRATRISKS
            LIÉ AUX THINK TANKS OCCIDENTAUX
            c'est quoi cette institue a deux balles,
            qui s'occupe de leurs royaume unis qui est en train de se morceler, a commencer par l'ecosse..

            l europe va suivre, la catalane etc..

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            • #7
              S'il y a un pays qui intéresse l'Europe par son pétrole et son gaz c'est l’Algérie qui ne doit pas tomber entre les mains des fous de dieu.

              Le FIS qui a gagné les élections en sait quelques chose suite au putsch de la junte ( et une décennie meurtrière )que les européens ont avalé sans problème.

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              • #8
                C'est un article ou des quatrains.

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                • #9
                  ne t inquiete pas jmlix pour le maroc il a du repondant si la junte militaire pouvait et etait sur d elle il ya longtemps qu elle auraient attaquer le maroc tout le reste c est que du bla bla

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                  • #10
                    c'est bien normal ils defendent leur maitresseeeeeeeeeeeeeeoeilfermé

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                    • #11
                      On avait eu l'occasion de constater l'amateurisme des FAR lors du conflit de l'îlot de Persil (2002?) contre les scouts espagnols.

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                      • #12
                        kade21

                        Lol s est le roi des roi m6 , excuse moi j ai je mets de majuscules a un faignant en langue alors qui a coûte la peau des fesses au merkhens pas au peuple Marocains par respect , je prefere notre coluche de sellal lui au moins ils s exprime est ils nous fait rires par respect

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                        • #13
                          Bof Torchon Algérien qui date de plus de 2 ans...

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