Une Américaine atteinte d’un cancer a été congédiée par son patron quelques jours après lui en avoir fait l’annonce. La lettre choquante qu’elle a reçue par la poste est devenue virale.
Carol Jumper, 51 ans, travaillait depuis 12 ans au sein d’un cabinet de chirurgie dentaire. Elle a reçu un troublant diagnostic de cancer du pancréas en août dernier, en Pennsylvanie aux États-Unis.
Une semaine après avoir informé son patron de son état de santé, Jumper a reçu une lettre très froide, expliquant son licenciement sans compensation financière.
Le chirurgien dentaire y explique: «Vous êtes physiquement, mentalement et émotionnellement engagée dans une bataille très exigeante contre le cancer. Les symptômes de la maladie, les médicaments antidouleur et les effets secondaires de la chimiothérapie seront considérables et distrayants.
Vous ne serez donc plus capable de travailler au niveau attendu par mon cabinet puisque vous vous battez pour votre vie. De ce fait, je vous licencie, sans paie au-delà du 11 août 2014. Vous recevrez votre dernier chèque par la poste.»
Un mouvement pour venir en aide à la femme malade s’est formé sur les réseaux sociaux, après la publication de la lettre sur Facebook
Le journal Montréal
Carol Jumper, 51 ans, travaillait depuis 12 ans au sein d’un cabinet de chirurgie dentaire. Elle a reçu un troublant diagnostic de cancer du pancréas en août dernier, en Pennsylvanie aux États-Unis.
Une semaine après avoir informé son patron de son état de santé, Jumper a reçu une lettre très froide, expliquant son licenciement sans compensation financière.
Le chirurgien dentaire y explique: «Vous êtes physiquement, mentalement et émotionnellement engagée dans une bataille très exigeante contre le cancer. Les symptômes de la maladie, les médicaments antidouleur et les effets secondaires de la chimiothérapie seront considérables et distrayants.
Vous ne serez donc plus capable de travailler au niveau attendu par mon cabinet puisque vous vous battez pour votre vie. De ce fait, je vous licencie, sans paie au-delà du 11 août 2014. Vous recevrez votre dernier chèque par la poste.»
Un mouvement pour venir en aide à la femme malade s’est formé sur les réseaux sociaux, après la publication de la lettre sur Facebook
Le journal Montréal
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