Le roi Mohammed VI a présidé, le 1er avril, la cérémonie de signature des conventions relatives au lancement du vaste projet de reconversion de l'ancien port de Casablanca, la capitale économique du Maroc en un grand centre urbain, touristique et culturel pour un investissement de plus de 700 millions de dollars. Le projet, dont les travaux s’étaleront sur sept ans (2014-2012) sera assuré par le Maroc et quatre pays du Golfe par le biais d'un fonds commun.
Selon un communiqué du palais, le projet «entraînera la création d'un nouveau centre urbain à l'échelle de la ville et de son agglomération, la mise en valeur du quartier historique de la médina (vieille ville, NDLR) et de son littoral touristique».
La reconversion de quelque 12 hectares situés sur l’ancienne zone portuaire de Casablanca doit également permettre «l'identification désormais claire de Casablanca en tant que destination phare du tourisme de culture, de tourisme d'affaires et de la croisière», a-t-on ajouté de même source.
Outre des quartiers résidentiels, le projet comprend notamment des espaces de loisirs, un centre commercial, un port de croisière, des espaces verts, des hôtels et une cité de sciences.
Il s'agit du premier volet d'une «série de projets déployés par Wessal Capital», un fonds alimenté par le Maroc, les Emirats arabes unis, le Koweït, le Qatar et l'Arabie saoudite.
L’enveloppe globale d'investissements en fonds propres de ce fonds s’élève à 3,4 milliards de dollars, selon le communiqué du palais royal.
En 2011, les six pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) avaient invité le Maroc et la Jordanie, les deux seules autres monarchies arabes, à rejoindre leur club, fermé depuis sa création en 81. Cette démarche avait été accueillie positivement par Rabat, qui avait toutefois réitéré «son attachement » à la construction de l'Union du Maghreb arabe. Un partenariat stratégique a été signé la même année avec le CCG, prévoyant le financement de projets de développement au Maroc à hauteur de cinq milliards de dollars sur cinq ans.
(Agence Ecofin)
Selon un communiqué du palais, le projet «entraînera la création d'un nouveau centre urbain à l'échelle de la ville et de son agglomération, la mise en valeur du quartier historique de la médina (vieille ville, NDLR) et de son littoral touristique».
La reconversion de quelque 12 hectares situés sur l’ancienne zone portuaire de Casablanca doit également permettre «l'identification désormais claire de Casablanca en tant que destination phare du tourisme de culture, de tourisme d'affaires et de la croisière», a-t-on ajouté de même source.
Outre des quartiers résidentiels, le projet comprend notamment des espaces de loisirs, un centre commercial, un port de croisière, des espaces verts, des hôtels et une cité de sciences.
Il s'agit du premier volet d'une «série de projets déployés par Wessal Capital», un fonds alimenté par le Maroc, les Emirats arabes unis, le Koweït, le Qatar et l'Arabie saoudite.
L’enveloppe globale d'investissements en fonds propres de ce fonds s’élève à 3,4 milliards de dollars, selon le communiqué du palais royal.
En 2011, les six pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) avaient invité le Maroc et la Jordanie, les deux seules autres monarchies arabes, à rejoindre leur club, fermé depuis sa création en 81. Cette démarche avait été accueillie positivement par Rabat, qui avait toutefois réitéré «son attachement » à la construction de l'Union du Maghreb arabe. Un partenariat stratégique a été signé la même année avec le CCG, prévoyant le financement de projets de développement au Maroc à hauteur de cinq milliards de dollars sur cinq ans.
(Agence Ecofin)
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