Tweet
La veuve d'un homme qui s'était pendu sur son lieu de travail a eu la mauvaise surprise de recevoir de l'employeur la corde par la Poste.
C’est la Voix du Nord qui révèle cette affaire. A l’origine, il y a eu un dramatique suicide, celui d’un ouvrier du textile, qui s’était donné la mort en février dernier, au matin, dans l’usine où il travaillait. Le quotidien indique que l’homme souffrait du harcèlement de l’un de ses collègues, et qu’il avait déposé plainte à cet effet.
L’ouvrier se donne hélas la mort, et sa veuve dépose plainte à son tour, afin que son décès soit considéré comme un accident du travail, ce qui lui est refusé. Elle adresse plusieurs courriers à la direction de l’entreprise où travaillait son mari, notamment pour récupérer ses affaires personnelles.
Le directeur indique qu’il s’agit d’une « erreur regrettable »
Et dans le paquet qui arrive à son courrier, elle trouve des vêtements, quelques crayons, et une corde. Précisément celle avec laquelle son mari s’est pendu. L’ancien patron, ayant été contacté par le journal, indique qu’il s’agit d’une « erreur regrettable » : la police lui avait demandé de rassembler toutes les affaires du défunt en vue d’une enquête, et le paquet a été ré-acheminé tel quel.
De son côté, l’épouse de l’ouvrier considère qu’il s’agit d’une « tentative d’intimidation », comme a pu en être victime son mari avant de mourir, alors que le directeur indique avoir formulé ses excuses oralement et par écrit.
24 matins
C’est la Voix du Nord qui révèle cette affaire. A l’origine, il y a eu un dramatique suicide, celui d’un ouvrier du textile, qui s’était donné la mort en février dernier, au matin, dans l’usine où il travaillait. Le quotidien indique que l’homme souffrait du harcèlement de l’un de ses collègues, et qu’il avait déposé plainte à cet effet.
L’ouvrier se donne hélas la mort, et sa veuve dépose plainte à son tour, afin que son décès soit considéré comme un accident du travail, ce qui lui est refusé. Elle adresse plusieurs courriers à la direction de l’entreprise où travaillait son mari, notamment pour récupérer ses affaires personnelles.
Le directeur indique qu’il s’agit d’une « erreur regrettable »
Et dans le paquet qui arrive à son courrier, elle trouve des vêtements, quelques crayons, et une corde. Précisément celle avec laquelle son mari s’est pendu. L’ancien patron, ayant été contacté par le journal, indique qu’il s’agit d’une « erreur regrettable » : la police lui avait demandé de rassembler toutes les affaires du défunt en vue d’une enquête, et le paquet a été ré-acheminé tel quel.
De son côté, l’épouse de l’ouvrier considère qu’il s’agit d’une « tentative d’intimidation », comme a pu en être victime son mari avant de mourir, alors que le directeur indique avoir formulé ses excuses oralement et par écrit.
24 matins