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Un nouveau plan de réforme du secteur bancaire et financier

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  • Un nouveau plan de réforme du secteur bancaire et financier

    Un nouveau plan de réforme du secteur bancaire et financier sera lancé avant la fin de l’année en cours.


    Le nouveau ministre des Finances, Mohamed Djellab, a annoncé,hier à Alger en marge de la 38e session du Conseil des gouverneurs des Banques centrales arabes, que ce nouveau plan a pour objectif de compléter et d’apporter une nouvelle pierre à l’édifice de la réforme du secteur engagée depuis quelques années. Processus qui a porté ses fruits et qui reste à parfaire. Dans ce sens, le nouveau projet de réforme portera sur 3 volets principaux.

    Le premier concernera ainsi la gouvernance des banques de la place. L’amélioration passera ainsi par une professionnalisation des conseils d’administration en les élargissant et en sortant d’une tradition, qui veut que les conseils d’administration des banques publiques algériennes soient composés de fonctionnaires.

    Il s’agit, selon lui, de faire évoluer les niveaux de responsabilités et d’insuffler un esprit d’initiatives dans les activités du secteur financier. Le second volet a trait à la diversification des ressources de financement de l’économie, l’objectif étant d’atteindre un niveau plus important de crédits à l’économie et des crédits à l’investissement. Le ministre des Finances s’est dit, au cours de son intervention à l’ouverture de la réunion du conseil, satisfait quant à l’évolution des crédits à l’économie enregistrés au cours des dernières années et qui se caractérisent par une légère prédominance des crédits au secteur privé ainsi qu’une prédominance des crédits à moyen et long termes, reflétant ainsi l’orientation des crédits vers l’investissement.

    Le dernier axe de la réforme se penchera sur le niveau opérationnel à travers une amélioration des systèmes de paiement laquelle inspirera, espère-t-il, l’adhésion de tous aussi bien au niveau bancaire que dans la sphère commerciale. Le ministre des Finances, qui s’est également exprimé sur la gestion des finances publiques, a estimé qu’aujourd’hui les pouvoirs publics travaillent pour une plus grande maîtrise des dépenses. Interpellé sur la disparition des lois de finances complémentaires depuis deux années, Mohamed Djellab indiquera que cela reflète le fait qu’il existe aujourd’hui une plus grande orthodoxie financière, avant de se reprendre pour préciser que cela ne veut en rien dire que l’usage des lois de finances complémentaires induit forcément une moindre maîtrise des dépenses.

    Il expliquera ainsi que des lois de finances complémentaires seront toujours utiles à titre exceptionnel en cas d’événements ou de changements imprévus. «Aujourd’hui nous maîtrisons nos dépenses», a-t-il précisé. Le ministre a également défendu les choix du gouvernement en termes de dépenses budgétaires. Interrogé sur l’impact de la hausse des dépenses publiques sur l’inflation, M. Djellab expliquera que la hausse des dépenses budgétaires est tirée par l’augmentation du budget d’équipement, ce qui reflète des dépenses orientées vers l’investissement et non vers la consommation.

    Selon le ministre, cela devrait se traduire par une augmentation des taux de croissance en 2015. Quant à l’inflation, le ministre estime qu’elle est stable et s’inscrit même à la baisse vu qu’elle a atteint un taux de 1,5% au mois de juillet dernier. Enfin le ministre des Finances a rappelé en ce qui concerne l’abrogation de l’article 87 bis du code du travail, que si dans le principe celle-ci est acquise, ses modalités d’application seront soumises à débat au cours de la prochaine tripartite prévue jeudi à Alger.

    El watan Roumadi Melissa

  • #2
    Ton commentaire sur ça Smouty ...toi qui es du domaine

    haja mliha Wella tetricha ...
    Dernière modification par absente, 15 septembre 2014, 20h15.

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    • #3
      Processus qui a porté ses fruits et qui reste à parfaire
      je me demande de quels fruits il parle

      Le second volet a trait à la diversification des ressources de financement de l’économie, l’objectif étant d’atteindre un niveau plus important de crédits à l’économie et des crédits à l’investissement.
      qu'est ce qu'il entend par diversification ?


      ce que j'en pense c'est que les banques algérienne n'ont pas à se plaindre pour ce qui est de la disponibilité des fonds étant donné que les entreprises ne font pas appel aux concours bancaires pour une raison bien évidente et qui a d'ailleurs était confirmée par l’enquêté menée par l'ONS lors du dernier recensement économique .le développement du tissu économique ne pourra se faire si les investisseurs rejettent le financement bancaire sous sa forme actuelle

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      • #4
        t'as vu? Melissa hadi rahi Ghir t'khaklet oeilfermé
        Elle confond entre notre secteur bancaire ou ta3 l'hik ...

        Melissa!! revoie tes cours théoriques et ton terrain !

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        • #5
          c'est plutôt les dirigeants qui continuent à se cramponner à un système qui ne marche pas

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          • #6
            khali al bir baghtah...
            yawman la yanfa3ou la mal wala banoun ...hada makan :22:
            on attend ...

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