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Le pétrole dévisse, l’économie algérienne en danger

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  • Le pétrole dévisse, l’économie algérienne en danger

    Depuis le début de l’été, la chute est lente mais continue. Le cours du baril de pétrole chute inexorablement depuis le mois de juin dernier. Il se négocie ce mardi sous la barre des 98 dollars alors qu’il valait 115 dollars le 20 juin dernier. Depuis le 1er janvier, la baisse atteint 11,5%. En glissement annuel, la baisse est de 13%. Il a même frôlé lundi, avec son plus bas depuis 2012, sous les 96 dollars. Une très mauvaise nouvelle pour l’Algérie quand on sait que 98% de ses rentrées en devises proviennent du pétrole.
    La baisse très marquée du prix du baril s’explique par différentes raisons. D’abord, le ralentissement de la demande mondiale. L’un des plus gros acheteurs de pétrole brut dans le monde, la Chine, a vu sa production industrielle marquer le pas cet été. Elle est passée à 6,9% en glissement annuel, au plus bas depuis 6 ans. D’où une demande moins grande. Par ailleurs, le ralentissement de la croissance en Europe et la baisse de la demande des géants sud-américains (Brésil en tête) ont accéléré le phénomène.
    Le schiste américain
    Par ailleurs, le phénomène du pétrole de schiste se fait également ressentir. L’Administration américaine d’information sur l’énergie (EIA) a annoncé une production de 8,6 millions de barils par jour au mois d’août, un chiffre historique. « Celle-ci prévoit d’atteindre 9,5 millions de baril en 2015. Un record depuis le « peak oil » de 1970, année à partir de laquelle la production avait commencé à reculer », rapporte ce mardi, le journal français Le Monde qui précise que « le taux de dépendance américain au pétrole importé est tombé de 60 % en 2005 à 30 % aujourd’hui ». D’où la baisse par ricochet de la production de pétrole brut et la baisse de son prix sur le marché.
    L’inquiétude de Yousfi
    L’économie nationale devrait être rapidement pénalisée par ces mauvais chiffres. La situation est pourtant déjà critique. Le 6 août dernier, la banque d’Algérie tirait déjà la sonnette d’alarme. Dans son rapport annuel, elle notait que la baisse du prix du pétrole au premier trimestre 2014 avait tiré vers le bas les recettes d’exportations de l’ordre de 2,6%.
    Hier, Youcef Yousfi n’a pas caché la préoccupation du gouvernement. « C’est là une grande préoccupation ! Et ce qui nous préoccupe davantage réside en cette tendance particulièrement rapide de ce cours du baril », a affirmé le ministre de l’Énergie, en marge de la visite de travail et d’inspection qu’il a effectuée à Mostaganem, selon des propos rapportés par le journal Liberté ce mardi.


    source: tsa algerie
    le 16 septembre 2014 à 11 h 43 min

  • #2
    l'alerte doit etre prise au sérieux, on doit passer à autres chose, l'agriculture surtout

    les usa importent de moins en moins et utilisent de plus en plus leurs or noir, chiste ou pas

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    • #3
      l'alerte doit etre prise au sérieux, on doit passer à autres chose, l'agriculture surtout
      C'est ça faut attendre que ça brûle pour réagir.
      On ne fait pas d'agriculture et tout d'un coup on va faire de l'agriculture ?
      La structure de la société en Algérie ne permet qu'une seule chose: vendre du pétrole et importer.
      A qui la faute : aux illettrés de bras cassés qui nous dirigent depuis 62ans.

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      • #4
        les gens n'arrivent pas a comprendre que c'est pas une solution d'un jour et qu'il faut changer la mentalité de tout un peuple pour assurer une transistion de l'économie aujourd'hui on est dans un modèle d'import import qui ne se laissera pas faire.

        alerte ?! je pense qu'il est trop tard , l'alerte aurait du avoir effet dans les années 90 mais on était occupé à l'époque.
        شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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        • #5
          Pour sortir du sous développement et donc espérer devenir développé un jour il faut avoir une vision un modèle cohérent de développement et des hommes pour exécuter le schéma.
          Et ce n'est ni la momie ni son himaron de PM qui peuvent avoir ne serait-ce que au moins la vision.


          Et pour rendre les choses plus ardues la société Algerienne trimballe des tares que seul un homme courageux peut éliminer, a savoir
          -natalité galopante
          -religion d’état entraînant mœurs et coutumes incompatibles avec le développement économique. Ramadan ou ça bouffe 2 fois plus et ça travaille 4 fois moins, femme au foyer soit 50% de la population active INACTIVE qui fait que bouffer, aid ou le cheptel décimé, saignée de devises hadj ou zid ou zid.
          -saignée de 3Milliars $ au profit des héritiers du trône les moudjahidins sur 52 ans de quoi rebâtir toute l'Algerie.

          -crise de logement
          -crise de l'eau
          -système éducatif détruit par l'arabisation forcenée
          -système de santé avec hôpitaux a mouroir.
          -un dinar non convertible relayé à l'état de monnaie de singes ou la banque centrale se trouve à port said
          ou zid ou zid



          Et les pays a prendre en exemple ne manquent pas Coree Chine Singapor et avant ça Japon qui ne faisait que copier!
          Dernière modification par ali_baba, 18 septembre 2014, 09h12.

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