Alger : Le président Abdelaziz Bouteflika a décidé de proposer une réforme constitutionnelle qui devra être adoptée par le parlement, sans être soumise à un référendum populaire.
Ainsi a déclaré, Amar Saadani, le secrétaire général du FLN, lors d’une réunion des parlementaires de son parti.
Selon le site de la télévision saoudienne Al Arabiya, Saadani a expliqué que Bouteflika qui avait promis que toute réforme constitutionnelle en Algérie serait soumise au vote populaire, est revenu sur sa promesse, parce que, dit-il, ne peuvent être adoptées par referendum que les refontes constitutionnelles qui touchent en profondeur, les structures du pouvoir.
Or se ne serait vraisemblablement pas le cas ici. Les réformes que proposeraient Bouteflika relèverait plus du simple toilettage constitutionnel mineur que d'autre chose.
Toufik sur un siège éjectable
Par ailleurs, Amar Saadani a annoncé que le président Bouteflika s’apprêtait à décréter des changements majeurs aux niveaux des postes clés du pouvoir.
Selon Al Arabyia, cette annonce faite par Saadani coïnciderait avec la persistance d’informations courant la capitale algérienne, affirmant que le président s’apprêtait à en finir avec son rival, le général Mohamed Mediene alias Toufik, patron de la police politique, le DRS. Ces informations prirent une ampleur plus grande après la confirmation de la nomination d’un ennemi juré de Toufik, en tant que conseiller à la présidence, en l’occurrence le général El Bachir Tartag.
lemag
Ainsi a déclaré, Amar Saadani, le secrétaire général du FLN, lors d’une réunion des parlementaires de son parti.
Selon le site de la télévision saoudienne Al Arabiya, Saadani a expliqué que Bouteflika qui avait promis que toute réforme constitutionnelle en Algérie serait soumise au vote populaire, est revenu sur sa promesse, parce que, dit-il, ne peuvent être adoptées par referendum que les refontes constitutionnelles qui touchent en profondeur, les structures du pouvoir.
Or se ne serait vraisemblablement pas le cas ici. Les réformes que proposeraient Bouteflika relèverait plus du simple toilettage constitutionnel mineur que d'autre chose.
Toufik sur un siège éjectable
Par ailleurs, Amar Saadani a annoncé que le président Bouteflika s’apprêtait à décréter des changements majeurs aux niveaux des postes clés du pouvoir.
Selon Al Arabyia, cette annonce faite par Saadani coïnciderait avec la persistance d’informations courant la capitale algérienne, affirmant que le président s’apprêtait à en finir avec son rival, le général Mohamed Mediene alias Toufik, patron de la police politique, le DRS. Ces informations prirent une ampleur plus grande après la confirmation de la nomination d’un ennemi juré de Toufik, en tant que conseiller à la présidence, en l’occurrence le général El Bachir Tartag.
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