"Il ne faut pas travailler plus longtemps pour être plus productif, mais travailler mieux et faire des pauses". Telle est la conclusion d'une étude menée par une grande société lettone, Draugiem Group, révélée par le média américain Fast Company.
52 minutes de travail et 17 minutes de pause
Ce groupe de médias letton, qui a notamment lancé le réseau social le plus populaire en Lettonie et possède plusieurs start-ups, recommande d'alterner des séquences de 52 minutes de travail intensif (où la concentration est maximale) avec des pauses de 17 minutes.
Et pendant ces 17 minutes, pas question de rester derrière son écran d'ordinateur pour lire ses mails ou de discuter boulot avec ses collègues devant la machine à café : mieux vaut "se déconnecter", marcher, discuter avec ses collègues d'autres sujets que du travail, lire un roman ou un magazine (Sciences et Avenir par exemple... ). L'objectif étant de "reposer" son cerveau et de pouvoir se concentrer de nouveau à la fin de la pause pour 52 minutes de travail intense.
On peut s'interroger sur la méthode utilisée par le groupe pour obtenir ces conclusions : mesurer la productivité des salariés en utilisant le logiciel DeskTime, que Draugiem Group commercialise et qui permet d'espionner l'activité des salariés sur leur ordinateur.
Même si les conclusions de cette étude sont intéressantes, il n'est pas assuré que beaucoup de directions d'entreprise les suivent. Car effectuer une pause de 17 minutes toutes les 52 minutes revient à passer un tiers de son temps au travail... sans travailler.
Nouvelobs
52 minutes de travail et 17 minutes de pause
Ce groupe de médias letton, qui a notamment lancé le réseau social le plus populaire en Lettonie et possède plusieurs start-ups, recommande d'alterner des séquences de 52 minutes de travail intensif (où la concentration est maximale) avec des pauses de 17 minutes.
Et pendant ces 17 minutes, pas question de rester derrière son écran d'ordinateur pour lire ses mails ou de discuter boulot avec ses collègues devant la machine à café : mieux vaut "se déconnecter", marcher, discuter avec ses collègues d'autres sujets que du travail, lire un roman ou un magazine (Sciences et Avenir par exemple... ). L'objectif étant de "reposer" son cerveau et de pouvoir se concentrer de nouveau à la fin de la pause pour 52 minutes de travail intense.
On peut s'interroger sur la méthode utilisée par le groupe pour obtenir ces conclusions : mesurer la productivité des salariés en utilisant le logiciel DeskTime, que Draugiem Group commercialise et qui permet d'espionner l'activité des salariés sur leur ordinateur.
Même si les conclusions de cette étude sont intéressantes, il n'est pas assuré que beaucoup de directions d'entreprise les suivent. Car effectuer une pause de 17 minutes toutes les 52 minutes revient à passer un tiers de son temps au travail... sans travailler.
Nouvelobs
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