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La tâche rousse et la tâche brune de la prophétie

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  • La tâche rousse et la tâche brune de la prophétie

    La tâche rousse et brune était chez tous les prophètes, il faut deux tâches pour être considéré prophète chez les Israélites: la tâche rouge et la tâche brune, elle doit se retrouver soit sur l'épaule, soit sur le torse ou parfois sur le bras.
    Tous les prophètes l'ont eu, même les rois d'Israël, prophètes et petits prophètes.
    Le prophète Mohammed s'a's l'a aussi eu sur le dos.

    Il est stipulé que la mère doit également l'avoir ou alors la grand mère, généralement, celui qui a le gage de la prophétie, toute sa famille (les femmes) l'ont, et elle reviendra sur le fils.

    Les chrétiens aussi ont vu la tâche rousse et brune chez les prophètes (JESUS), et se fête dans l'épiphanie (visite des Rois Mages et analyse du Messie), la fêve symbolise celui qui aura la couronne du Roi, car il faut avoir la tâche rousse et brune sur le corps pour confirmer la prophétie de ce dernier.

    C'est écrit dans le sahih Boukhari et le Judaïsme dit que c'est aussi écrit chez eux C'est comme ça qu'on reconnaît un prophète véridique. Elle doit selon l'Islam être ronde rouge et une autre brune.

    Muhammad rapportera plus tard, dans un hadith qui figure en tête des recueillements compilés par Al Bukhari, qu'il s'agissait en fait de deux Anges envoyés par Dieu pour purifier son coeur, afin que ce dernier soit à même de supporter la révélation Divine qui lui serait faite dans l'avenir. De même, les Anges auraient de plus imposé sur l'enfant le sceau de la prophétie entre ses épaules.

  • #2
    Parmi les choses dignes d’être mentionnées avant d’évoquer la révélation et la prophétie, il y a un évènement important dans la vie de Mohammed () : lorsqu’il atteignit l’âge de dix ans –ou un peu plus-, son oncle paternel Abou Talib l’amena avec lui au cours de l’un de ses voyages commerciaux en Grande Syrie (Acham). Arrivés à Bosra, ville sur la route de la Grande Syrie, ils s'arrêtent à un monastère où ils se font remarquer par un moine nommé Bahira de son vrai nom Jirjice qui les honora et leur offrit une bonne hospitalité. Le moine reconnaît en l'enfant le futur prophète grâce à différents signes consignés par la tradition ecclésiastique, dont le sceau de la prophétie qu'il portait dans son dos. Il dit en tenant la main de l’enfant: « celui-ci est le maître de l’Univers, celui-ci sera envoyé par Allah comme miséricorde pour l’Univers ». Ensuite il recommanda alors fortement à Abou Talib de rebrousser chemin et de garder son neveu loin des yeux des chrétiens et des juifs d'orient. L'oncle obtempère et rebroussa chemin.

    D'ailleurs un recueil des juifs en Arabie stipule que les juifs d'Arabie se sont évanouis en voyant la tâche rouge du prophète Mohammed pbdsl en disant: "la prophétie a quitté Israël pour être donné à Ishmaël".

    D'après ibn Kathir17, des érudits juifs de Yathrib parmi les Banu 'Abd El-Achhel attendaient un prophète à venir parmi les habitants de la Mecque qui devait émigrer vers Yathrib, et auraient affirmé avoir vu un signe céleste annonçant cela.

    L'historien, Maurice Gaudefroy-Demombyne écrit, dans Mahomet 18 : « (...) Le principal épisode de ces voyages est la halte chez le moine Bahîrâ, ou Sergios, dans un ermitage de la région de Boçrâ, où des solitaires se sont transmis depuis de longues années un livre où chacun d’eux a puisé une connaissance merveilleuse. Le moine remarque le nuage qui accompagne la caravane quraïchite et qui vient s’arrêter au-dessus de l’arbre qui abrite son campement. Abû Tâlib, invité par Bahîrâ, laisse à l’écart Mohammed qui n’a que douze ans. Mais le moine réclame sa présence, l’examine, l’interroge sur son comportement dans la veille et dans le sommeil, et enfin découvre entre ses épaules le sceau de la prophétie, qu’il baise. Comme Abû Tâlib dit qu’il est son fils, le moine s’écrie qu’il est impossible que le père de cet enfant soit vivant ; il reconnaît donc que c’est son neveu et qu’il est orphelin. Bahîrâ lui recommande de le ramener bien vite à Mekke et de le protéger, les uns disent contre les Juifs, les autres contre les Byzantins, car ils savent sa haute destinée et ils chercheraient à le tuer. Des traditions parlent, en effet, de l’espoir que les Juifs avaient alors de voir apparaître parmi eux un Prophète-Messie : un Juif était venu voir Mohammed nouveau-né ; reconnaissant sur son corps le signe de la prophétie, il s’était évanoui, désespéré que le prophétisme passât des Banû Israêl aux Banû Ismaêl. »

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