Le bonheur ne doit pas être remis à demain, mais pratiqué chaque jour. Notamment par l’estime de soi.
L’estime de soi, clé du bonheur, ne peut venir de personne d’autre que soi-même. On peut apprendre ce qu’elle est d’autrui, être inspiré par des modèles d’estime de soi ; l’estime de soi peut être nourrie et cultivée par autrui ; mais l’estime de soi ne peut venir que de soi.
Et on ne peut même pas se mesurer aux autres ; l’estime de soi, c’est la joie d’être soi, pas d’être mieux que les autres.
Plus précisément, l’estime de soi se décompose d’après en 6 piliers :
La pratique de vivre consciemment : être conscient de ce que l’on fait pendant qu’on le fait.
La pratique de l’acceptation de soi : être vrai vis-à-vis de ses propres idées, émotions et comportements ; être bienveillant à son propre égard ; et de façon générale être dans son propre camp.
La pratique de la responsabilité sur soi : assumer ses actions et prendre la responsabilité de la capacité que l’on a à être la cause des effets que l’on désire.
La pratique de l’affirmation de soi : traiter avec respect ses besoins et souhaits et les exprimer de façon appropriée.
La pratique de vivre vers un but : se fixer des objectifs et agir pour les atteindre.
La pratique de l’intégrité personnelle : maintenir l’alignement entre son comportement et ses convictions.
Il ne s’agit pas d’estimer que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. D’ailleurs, le bonheur, ce n’est pas cela.
Il s’agit de prendre la responsabilité et le contrôle de sa propre vie, pour devenir le meilleur soi possible ; et d’œuvrer à un monde meilleur. Un monde de possibles, un monde plus heureux ; un monde plus libre, qui laisse à l’individu plus de choix et de maîtrise sur son propre destin et sa propre vie.
contrepoints
L’estime de soi, clé du bonheur, ne peut venir de personne d’autre que soi-même. On peut apprendre ce qu’elle est d’autrui, être inspiré par des modèles d’estime de soi ; l’estime de soi peut être nourrie et cultivée par autrui ; mais l’estime de soi ne peut venir que de soi.
Et on ne peut même pas se mesurer aux autres ; l’estime de soi, c’est la joie d’être soi, pas d’être mieux que les autres.
Plus précisément, l’estime de soi se décompose d’après en 6 piliers :
La pratique de vivre consciemment : être conscient de ce que l’on fait pendant qu’on le fait.
La pratique de l’acceptation de soi : être vrai vis-à-vis de ses propres idées, émotions et comportements ; être bienveillant à son propre égard ; et de façon générale être dans son propre camp.
La pratique de la responsabilité sur soi : assumer ses actions et prendre la responsabilité de la capacité que l’on a à être la cause des effets que l’on désire.
La pratique de l’affirmation de soi : traiter avec respect ses besoins et souhaits et les exprimer de façon appropriée.
La pratique de vivre vers un but : se fixer des objectifs et agir pour les atteindre.
La pratique de l’intégrité personnelle : maintenir l’alignement entre son comportement et ses convictions.
Il ne s’agit pas d’estimer que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. D’ailleurs, le bonheur, ce n’est pas cela.
Il s’agit de prendre la responsabilité et le contrôle de sa propre vie, pour devenir le meilleur soi possible ; et d’œuvrer à un monde meilleur. Un monde de possibles, un monde plus heureux ; un monde plus libre, qui laisse à l’individu plus de choix et de maîtrise sur son propre destin et sa propre vie.
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