Disposant de très peu de terres arables et dans un contexte de tension sur les marchés (selon la FAO, pour faire face à la croissance démographique, il faudra d’ici à 2050 accroître la capacité agricole de 70%) le Qatar cherche à assurer son indépendance alimentaire et la stabilité des prix pour sa population, et pourquoi pas devenir exportateur de produits agricoles pour diversifier ses rentes.
Le Qatar mène une politique active de Joint-Venture entre autres avec Suez afin de s’équiper en usines de dessalage et permettre la culture sur son sol aride. Sa stratégie d’achat de terres arables s’inscrit dans cette dynamique. La concurrence est rude, de grandes banques et fond d’investissements s’engouffrent déjà dans la brèche notamment en Australie, en Ukraine ou encore en Asie.
La diversification des approvisionnements en nourriture est à l’image de la diversification de ses investissements, les seules limites que se fixe le Qatar sont la présence d’eau, de ports mais aussi de stabilité sur le plan politique, quelque-soit la nature régime. Il est dit que « Bientôt le soleil ne se couchera plus sur l’empire agricole du Qatar ». Ces investissements massifs vont permettre à la population du Qatar manger à sa faim et par ses excédents de nourriture aider ses alliés et/ou spéculer.
L’émirat profite de sa surcapacité de financement pour acquérir des terres à un prix supérieur à celui du marché afin de s’assurer la sécurité de son approvisionnement. Par ses excédents financiers, le Qatar se montre généreux avec les Etats ou les fermiers. L’acquisition des terres se fait de deux manières : soit dans des pays ayant un besoin de financement, où Hassan food traite avec le gouvernement.
En général ces achats de terres se font en contrepartie d’investissement dans des infrastructures notamment portuaires favorisant l’exportation de ses matières vers l’émirat. L’Afrique et l’Ukraine sont de très bons exemples. L’Ukraine lève progressivement son moratoire sur les terres arables en mer noire où le Qatar investi massivement. L’autre manière sera de traiter directement avec les producteurs pour racheter leurs terres à un prix très supérieur au marché (environ +25% en Australie)
L'achat de terres arable par le Qatar en Europe Ukraine ,Pologne. Asie Chine, Australie. Amérique du Sud Brésil, Argentine. Afrique Soudan, Maroc, Madagascar, Afrique du Sud. Le Qatar peut préparer la guerre économique en silence. Par ses prises de participations au capital de grandes entreprises le Qatar acquiert une position incontournable d’un point de vue géopolitique et géoéconomique.
Il y a fort à parier qu’à court terme l’émirat puisse avoir accès aux savoirs de ces entreprises. De par sa politique de rachat de terres arables, le Qatar cherche à diversifier ses rentes de manière certaines. Aux vues des tensions sur le prix des matières première et des terres, le Qatar s’assure contre l’après pétrole sereinement avec d’autres type de rentes.
Investimed
Le Qatar mène une politique active de Joint-Venture entre autres avec Suez afin de s’équiper en usines de dessalage et permettre la culture sur son sol aride. Sa stratégie d’achat de terres arables s’inscrit dans cette dynamique. La concurrence est rude, de grandes banques et fond d’investissements s’engouffrent déjà dans la brèche notamment en Australie, en Ukraine ou encore en Asie.
La diversification des approvisionnements en nourriture est à l’image de la diversification de ses investissements, les seules limites que se fixe le Qatar sont la présence d’eau, de ports mais aussi de stabilité sur le plan politique, quelque-soit la nature régime. Il est dit que « Bientôt le soleil ne se couchera plus sur l’empire agricole du Qatar ». Ces investissements massifs vont permettre à la population du Qatar manger à sa faim et par ses excédents de nourriture aider ses alliés et/ou spéculer.
L’émirat profite de sa surcapacité de financement pour acquérir des terres à un prix supérieur à celui du marché afin de s’assurer la sécurité de son approvisionnement. Par ses excédents financiers, le Qatar se montre généreux avec les Etats ou les fermiers. L’acquisition des terres se fait de deux manières : soit dans des pays ayant un besoin de financement, où Hassan food traite avec le gouvernement.
En général ces achats de terres se font en contrepartie d’investissement dans des infrastructures notamment portuaires favorisant l’exportation de ses matières vers l’émirat. L’Afrique et l’Ukraine sont de très bons exemples. L’Ukraine lève progressivement son moratoire sur les terres arables en mer noire où le Qatar investi massivement. L’autre manière sera de traiter directement avec les producteurs pour racheter leurs terres à un prix très supérieur au marché (environ +25% en Australie)
L'achat de terres arable par le Qatar en Europe Ukraine ,Pologne. Asie Chine, Australie. Amérique du Sud Brésil, Argentine. Afrique Soudan, Maroc, Madagascar, Afrique du Sud. Le Qatar peut préparer la guerre économique en silence. Par ses prises de participations au capital de grandes entreprises le Qatar acquiert une position incontournable d’un point de vue géopolitique et géoéconomique.
Il y a fort à parier qu’à court terme l’émirat puisse avoir accès aux savoirs de ces entreprises. De par sa politique de rachat de terres arables, le Qatar cherche à diversifier ses rentes de manière certaines. Aux vues des tensions sur le prix des matières première et des terres, le Qatar s’assure contre l’après pétrole sereinement avec d’autres type de rentes.
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