En réponse aux plaintes des citoyens sur la recrudescence du banditisme
Bouteflika exclue les voleurs et les délinquants de la grâce de l’Aïd
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Contrairement à l’annonce de la grâce présidentielle dont a bénéficié les détenus à la veille de l’Aïd, le texte du décret publié dans le dernier numéro du Journal Officiel stipule que les personnes impliquées dans des crimes de détournements d’argent et de corruption ont été exclues des mesure collectives de grâces, portant remise totale ou partielles des peines, promulguées à l’occasion de cette fête religieuse.
Ce qui est frappant est que, cette fois, les personnes impliquées dans des affaires de vol, et qui se trouvent en grand nombre dans les prisons, sont exclus de la grâce. Ce qui ne permet pas de lever la pression sur les établissements pénitentiaires dont se plaint le ministère de la Justice.
Le décret exécutif relatif à la grâce paru au Journal Officiel du 29 Octobre a donné la possibilité de bénéficier de la mesure à un petit nombre de prisonniers. Le Président a exclu les personnes éloignées de « la charte de la réconciliation et celles impliquées dans les détournements, la corruption et les vols ».
Des sources qui suivent de près le projet ont perçu l’exclusion des voleurs et des professionnels du vol, appartenant à la catégorie des délinquants, comme une réponse du Président de la République aux préoccupations des citoyens qui se plaignent de l’ampleur de ce phénomène, entre vols et agressions physiques. Des sources bien informées indiquent que le nombre total des prisonniers se rapproche des 50 mille, les condamnés pour terrorisme et ceux impliqués dans des délits de vols et d’agressions représentent 70% du nombre total de prisonniers.
Le texte de la mesure indique que la totalité des baisses partielles ne peuvent pas dépasser le tiers de la peine qui a été prononcée à l’encontre des condamnés dans les affaires de crimes, sauf si la personne est âgée de plus de 65 ans.
2006-11-06
Par Hamid Yes
Bouteflika exclue les voleurs et les délinquants de la grâce de l’Aïd
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Contrairement à l’annonce de la grâce présidentielle dont a bénéficié les détenus à la veille de l’Aïd, le texte du décret publié dans le dernier numéro du Journal Officiel stipule que les personnes impliquées dans des crimes de détournements d’argent et de corruption ont été exclues des mesure collectives de grâces, portant remise totale ou partielles des peines, promulguées à l’occasion de cette fête religieuse.
Ce qui est frappant est que, cette fois, les personnes impliquées dans des affaires de vol, et qui se trouvent en grand nombre dans les prisons, sont exclus de la grâce. Ce qui ne permet pas de lever la pression sur les établissements pénitentiaires dont se plaint le ministère de la Justice.
Le décret exécutif relatif à la grâce paru au Journal Officiel du 29 Octobre a donné la possibilité de bénéficier de la mesure à un petit nombre de prisonniers. Le Président a exclu les personnes éloignées de « la charte de la réconciliation et celles impliquées dans les détournements, la corruption et les vols ».
Des sources qui suivent de près le projet ont perçu l’exclusion des voleurs et des professionnels du vol, appartenant à la catégorie des délinquants, comme une réponse du Président de la République aux préoccupations des citoyens qui se plaignent de l’ampleur de ce phénomène, entre vols et agressions physiques. Des sources bien informées indiquent que le nombre total des prisonniers se rapproche des 50 mille, les condamnés pour terrorisme et ceux impliqués dans des délits de vols et d’agressions représentent 70% du nombre total de prisonniers.
Le texte de la mesure indique que la totalité des baisses partielles ne peuvent pas dépasser le tiers de la peine qui a été prononcée à l’encontre des condamnés dans les affaires de crimes, sauf si la personne est âgée de plus de 65 ans.
2006-11-06
Par Hamid Yes
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