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Le marché algérien de lubrifiants et des huiles est attractif. Naftal détient le monopole avec près 70% de parts de marché. Vient ensuite, la société Total Lubrifiant Algérie avec environ 12% des parts. Le reste des parts est détenu par les opérateurs et transformateurs, des importateurs, conditionneurs de lubrifiants. La société internationale Total a décidé de développer sa production en engageant un investissement important devant lui permettre d’exporter à moyen et long terme à partir de l’Algérie.
La société Total Lubrifiant Algérie spa est sur le point de construire une usine de lubrifiants à Oran d’une capacité de 50.000 tonnes. Une partie de cette quantité sera destinée pour le marché local et une autre orientée vers d’autres marchés notamment africains. « Notre stratégie est de mettre fin aux importations et se lancer dans l’exportation à moyen et long terme. C'est-à-dire une option pour une production nationale, en substitution à l’importation», nous explique une source proche de cette entreprise.
L’usine de production de lubrifiants, qui coûtera 20 millions d’euros à Total, sera implantée à Betioua sur une assiste foncière de 3,5 hectares. En attendant la confirmation des études technique du sol, « la construction de l’usine sera lancée vers la fin de l’année 2014 début 2015. Elle sera livrée une année plus tard. Cette usine moderne devra créer 70 postes d’emplois directs et 150 indirects ».
« Avec cette usine à moyen et long terme, Total renversera la tendance, passant de l’importation à l’exportation », analyse cet expert. Aujourd’hui, « si Total importe, parce que ses approvisionnements auprès de la Sonatrach ne sont pas suffisants pour maintenir et développer sa production », souligne notre interlocuteur au fait du marché de lubrifiants. Il explique que « Sonatrach vend à Total environ 10.000 tonnes de matière de base. Total prévoit de commercialiser environ 27.000 tonnes durant toute l’année 2014. La différence, c'est-à-dire, 17 000 tonnes seront importées pour être vendues sur le marché. »
Selon le plan de croissance de cette filiale dont la société mère est cotée à la Bourse de News York, il est prévu une production 30.000 tonnes en 2015, 35.000 tonnes en 2016 avant d’atteindre 40.000 tonnes en 2017.
S’agissant des bénéficies réalisés, notre vis-à-vis affirme que Total Lubrifiants Algérie chargée de la production, de l’importation et la commercialisation des lubrifiants n’a jamais transféré une partie de ses profits à l’étranger. »
D’après la même personne, cette affirmation est « vérifiable » car, argumente-t-il, « Total produit annuellement des rapports et documents relatifs à ses mouvements financiers. L’administration fiscale algérienne a toute la latitude à contrôler et vérifier la véracité et l’authenticité des chiffres de la Société.»
La société Total Lubrifiant Algérie spa est sur le point de construire une usine de lubrifiants à Oran d’une capacité de 50.000 tonnes. Une partie de cette quantité sera destinée pour le marché local et une autre orientée vers d’autres marchés notamment africains. « Notre stratégie est de mettre fin aux importations et se lancer dans l’exportation à moyen et long terme. C'est-à-dire une option pour une production nationale, en substitution à l’importation», nous explique une source proche de cette entreprise.
L’usine de production de lubrifiants, qui coûtera 20 millions d’euros à Total, sera implantée à Betioua sur une assiste foncière de 3,5 hectares. En attendant la confirmation des études technique du sol, « la construction de l’usine sera lancée vers la fin de l’année 2014 début 2015. Elle sera livrée une année plus tard. Cette usine moderne devra créer 70 postes d’emplois directs et 150 indirects ».
« Avec cette usine à moyen et long terme, Total renversera la tendance, passant de l’importation à l’exportation », analyse cet expert. Aujourd’hui, « si Total importe, parce que ses approvisionnements auprès de la Sonatrach ne sont pas suffisants pour maintenir et développer sa production », souligne notre interlocuteur au fait du marché de lubrifiants. Il explique que « Sonatrach vend à Total environ 10.000 tonnes de matière de base. Total prévoit de commercialiser environ 27.000 tonnes durant toute l’année 2014. La différence, c'est-à-dire, 17 000 tonnes seront importées pour être vendues sur le marché. »
Selon le plan de croissance de cette filiale dont la société mère est cotée à la Bourse de News York, il est prévu une production 30.000 tonnes en 2015, 35.000 tonnes en 2016 avant d’atteindre 40.000 tonnes en 2017.
S’agissant des bénéficies réalisés, notre vis-à-vis affirme que Total Lubrifiants Algérie chargée de la production, de l’importation et la commercialisation des lubrifiants n’a jamais transféré une partie de ses profits à l’étranger. »
D’après la même personne, cette affirmation est « vérifiable » car, argumente-t-il, « Total produit annuellement des rapports et documents relatifs à ses mouvements financiers. L’administration fiscale algérienne a toute la latitude à contrôler et vérifier la véracité et l’authenticité des chiffres de la Société.»