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En fait, cela fait bien deux semaines que sont apparus les premiers signes de fragilité dans la cohabitation Aït Djoudi-Saïb et les quelques réunions de concertation entre les deux techniciens de la JSK initiées par le président Mohand-Chérif Hannachi et son nouveau vice-président Amar Makhtour n’ont fait que retarder finalement l’alliance.
Il est vrai que l’absence fort remarquée de Moussa Saïb, mercredi dernier lors de la Supercoupe d’Algérie disputée au 5-Juillet face au MCA, aura suscité beaucoup d’interrogations et surtout de commentaires d’autant plus que l’ex-Auxerrois s’est envolé, le lendemain, vers l’Hexagone pour régler quelques problèmes personnels. Et si la JSK s’était entraînée durant ces trois derniers jours en l’absence de Saïb, il a fallu donc attendre le retour de ce dernier à Tizi Ouzou pour connaître la vérité. “J’ai bien réfléchi ! J’ai finalement décidé de me retirer !” nous a déclaré calmement, hier après-midi Moussa Saïb. Et si le courant ne passait pas tellement ces derniers jours encore entre Aït Djoudi et Saïb, il semble bien que ce sont les dernières sorties médiatiques d’Aït Djoudi, à propos de la responsabilité technique de l’équipe, qui auront précipité la décision de retrait de Saïb.
“Je pensais que nous étions deux entraîneurs à travailler la main dans la main pour l’intérêt de la JSK mais lorsqu’Aït Djoudi déclare à la presse, que c’est lui le patron, j’estime que je n’ai plus rien à faire à la JSK. C’est pour cela que je lui souhaite plein succès dans sa mission”, nous dira Saïb qui précisera que sa décision était irrévocable. “Au départ, j’avais quelques doutes sur notre collaboration, mais j’avais privilégié les intérêts de l’équipe surtout à la veille du match JSK-USMA mais lorsqu’il déclare ouvertement : c’est moi le patron, j’estime que tout était clair”, dira encore Saïb qui est rentré de France, dimanche soir, et qui ne s’est pas présenté à l’entraînement hier matin avant d’officialiser son retrait.
De son côté, Azzedine Aït Djoudi, qui a dirigé l’entraînement hier en compagnie de l’entraîneur des gardiens de but, Lyès Izri, s’est déclaré étonné et quelque peu navré de cette nouvelle donne. “C’est dommage ! Je pensais que Moussa était décidé au départ à conjuguer tous ses efforts avec moi pour sortir la JSK de son marasme actuel. Il est vrai qu’il s’est absenté plusieurs fois à l’entraînement depuis notre retour aux destinées de la JSK, mais il m’a souvent avancé des problèmes de santé. Mais maintenant qu’il trouve à redire sur nos prérogatives respectives au sein du staff technique, je pense que cette question a été déjà tranchée depuis notre première réunion à Alger avec le président Hannachi”, rétorquera Aït Djoudi que nous avons pu contacter hier en fin d’après-midi.
Il reste que le président Hannachi qui séjourne en France, lui aussi, depuis quelques jours, était injoingnable pour connaître sa réaction et il faudra attendre certainement son retour pour savoir s’il a encore la possibilité de faire revenir Saïb sur sa décision ou au contraire, l’entériner pour confier totalement la barre technique de la JSK à Azzedine Aït Djoudi qui risquerait alors de faire appel à son ancien préparateur physique Kamel Gaci dont le nom a été évoqué plus d’une fois ces derniers jours.
source : Liberté
Il est vrai que l’absence fort remarquée de Moussa Saïb, mercredi dernier lors de la Supercoupe d’Algérie disputée au 5-Juillet face au MCA, aura suscité beaucoup d’interrogations et surtout de commentaires d’autant plus que l’ex-Auxerrois s’est envolé, le lendemain, vers l’Hexagone pour régler quelques problèmes personnels. Et si la JSK s’était entraînée durant ces trois derniers jours en l’absence de Saïb, il a fallu donc attendre le retour de ce dernier à Tizi Ouzou pour connaître la vérité. “J’ai bien réfléchi ! J’ai finalement décidé de me retirer !” nous a déclaré calmement, hier après-midi Moussa Saïb. Et si le courant ne passait pas tellement ces derniers jours encore entre Aït Djoudi et Saïb, il semble bien que ce sont les dernières sorties médiatiques d’Aït Djoudi, à propos de la responsabilité technique de l’équipe, qui auront précipité la décision de retrait de Saïb.
“Je pensais que nous étions deux entraîneurs à travailler la main dans la main pour l’intérêt de la JSK mais lorsqu’Aït Djoudi déclare à la presse, que c’est lui le patron, j’estime que je n’ai plus rien à faire à la JSK. C’est pour cela que je lui souhaite plein succès dans sa mission”, nous dira Saïb qui précisera que sa décision était irrévocable. “Au départ, j’avais quelques doutes sur notre collaboration, mais j’avais privilégié les intérêts de l’équipe surtout à la veille du match JSK-USMA mais lorsqu’il déclare ouvertement : c’est moi le patron, j’estime que tout était clair”, dira encore Saïb qui est rentré de France, dimanche soir, et qui ne s’est pas présenté à l’entraînement hier matin avant d’officialiser son retrait.
De son côté, Azzedine Aït Djoudi, qui a dirigé l’entraînement hier en compagnie de l’entraîneur des gardiens de but, Lyès Izri, s’est déclaré étonné et quelque peu navré de cette nouvelle donne. “C’est dommage ! Je pensais que Moussa était décidé au départ à conjuguer tous ses efforts avec moi pour sortir la JSK de son marasme actuel. Il est vrai qu’il s’est absenté plusieurs fois à l’entraînement depuis notre retour aux destinées de la JSK, mais il m’a souvent avancé des problèmes de santé. Mais maintenant qu’il trouve à redire sur nos prérogatives respectives au sein du staff technique, je pense que cette question a été déjà tranchée depuis notre première réunion à Alger avec le président Hannachi”, rétorquera Aït Djoudi que nous avons pu contacter hier en fin d’après-midi.
Il reste que le président Hannachi qui séjourne en France, lui aussi, depuis quelques jours, était injoingnable pour connaître sa réaction et il faudra attendre certainement son retour pour savoir s’il a encore la possibilité de faire revenir Saïb sur sa décision ou au contraire, l’entériner pour confier totalement la barre technique de la JSK à Azzedine Aït Djoudi qui risquerait alors de faire appel à son ancien préparateur physique Kamel Gaci dont le nom a été évoqué plus d’une fois ces derniers jours.
source : Liberté
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