La Sicile sous domination espagnole permet un assaut de savoir-faire.
L’histoire de la Sicile est à Dolce & Gabbana ce que la Légende dorée est à l’histoire des saints et à l’Eglise catholique : une inépuisable source de références, un immense livre d’images dans lequel on peut puiser pour se réinventer à chaque saison.
En l’occurrence le printemps été féminin de la marque italienne, comme son alter ego masculin présenté en juin dernier, explore l’imagerie de l’île sous la domination espagnole. Il en découle une collection très hispanisante entre silhouettes de toreros et allures de danseuses de flamenco, sur une palette ibéro-sicilienne jouant du noir et du rouge, du volant et de la broderie. Celle-ci est devenue au fil des saisons une des marques de fabrique du prêt à porter de Dolce & Gabbana : les fans ne seront pas déçus.
Corazon sacrés, roses et oeillets deviennent les motifs de prédilection de broderies extraordinaires : un assaut de savoir faire des tops aux souliers, dont les talons se couvrent de pierreries, via les chaussettes comme brodées de strass et de fils d’argent. Si les mini-shorts sur boléros et autres corsets sur jambes vertigineuses resteront sans doute l’apanage de l’escouade envoyée en final par le duo de créateurs, on gage que la richesse de la collection séduira par cet ode au savoir-faire tout autant que par les petites robes noires impeccables ponctuant le show.
Source les échos
L’histoire de la Sicile est à Dolce & Gabbana ce que la Légende dorée est à l’histoire des saints et à l’Eglise catholique : une inépuisable source de références, un immense livre d’images dans lequel on peut puiser pour se réinventer à chaque saison.
En l’occurrence le printemps été féminin de la marque italienne, comme son alter ego masculin présenté en juin dernier, explore l’imagerie de l’île sous la domination espagnole. Il en découle une collection très hispanisante entre silhouettes de toreros et allures de danseuses de flamenco, sur une palette ibéro-sicilienne jouant du noir et du rouge, du volant et de la broderie. Celle-ci est devenue au fil des saisons une des marques de fabrique du prêt à porter de Dolce & Gabbana : les fans ne seront pas déçus.
Corazon sacrés, roses et oeillets deviennent les motifs de prédilection de broderies extraordinaires : un assaut de savoir faire des tops aux souliers, dont les talons se couvrent de pierreries, via les chaussettes comme brodées de strass et de fils d’argent. Si les mini-shorts sur boléros et autres corsets sur jambes vertigineuses resteront sans doute l’apanage de l’escouade envoyée en final par le duo de créateurs, on gage que la richesse de la collection séduira par cet ode au savoir-faire tout autant que par les petites robes noires impeccables ponctuant le show.
Source les échos
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