Tu me corresponds parfaitement
Je ne le dis jamais assez
Mes sourires que tu lis, mes silences que t’entends
Tu me sais et me ressens
Tout comme je m’enivre de ces vérités
Celles que tu ne dis pas forcément
Et qui me font voguer doucement.
Nos échanges à n’en plus finir
Finir les phrases que tu as commencées
Rebondir sur les vers que j’ai sur le papier couchés.
Les fous rires et les moqueries juste après
Les non-dits et leurs mots valeureux.
Les moments où l’on se retrouve.
Les minutes démultipliées
les étoiles, témoins secrets
Le puissant Djurdjura
Puis nous deux, toi et moi
Moi et toi, je ne sais plus vraiment
Vu comme tu me corresponds.
Tayirat
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