Dans mes ténèbres
Je sonde les âmes, et leurs pensées
Légère et parsemés
De compassion, bien que je ne supporte pas…
De mon aura, je leurs envoi
Une révérence,
En demi silence !
Les jours sont noirs
Me gonflant d’espoir
C’est dans les abîmes
De la douleur
Que je me ressource
Pour rejaillir sans peur
Plus forte et moins douce
Que jamais !
J’ai ouvert mon grimoire
Gageant ainsi des années de ma vie
Pour y voir
Ma destinée en ces jours de sombres pluies !
Ces êtres qui ont joué telles des marionnettes
Croient ils vraiment que je m’en inquiètes ?
L’orgueil pour vous est une maladie
Pour moi elle me nourrit !
L’individualisme est ma vertu
Qui me permet de ne jamais être a nu !
La sensibilité ce mot banni
A tout jamais de ma vie !
Le ténébreux avait cette aura
Du haut de sa corniche qu’on ne retrouve pas
Mais il s’en est allé me laissant sans voix
Me déposant, avec un choix
Entre perdre ma prose
Ou laisser faner la rose
Qui n’a jamais été en moi !
J’ai entendu les hurlements de la diablesse
Dans toute sa cruauté
Jamais elle ne se laisse aller à la bassesse
C’est une rare qualité !
J’entends l’âme de son dragon
Qui ronfle d’amertume a mon égard
Je finirai pas revenir au donjon
Si la mort oublie ses faire-part !
écrit de Maysarah-Princesse des Ténèbres
Je sonde les âmes, et leurs pensées
Légère et parsemés
De compassion, bien que je ne supporte pas…
De mon aura, je leurs envoi
Une révérence,
En demi silence !
Les jours sont noirs
Me gonflant d’espoir
C’est dans les abîmes
De la douleur
Que je me ressource
Pour rejaillir sans peur
Plus forte et moins douce
Que jamais !
J’ai ouvert mon grimoire
Gageant ainsi des années de ma vie
Pour y voir
Ma destinée en ces jours de sombres pluies !
Ces êtres qui ont joué telles des marionnettes
Croient ils vraiment que je m’en inquiètes ?
L’orgueil pour vous est une maladie
Pour moi elle me nourrit !
L’individualisme est ma vertu
Qui me permet de ne jamais être a nu !
La sensibilité ce mot banni
A tout jamais de ma vie !
Le ténébreux avait cette aura
Du haut de sa corniche qu’on ne retrouve pas
Mais il s’en est allé me laissant sans voix
Me déposant, avec un choix
Entre perdre ma prose
Ou laisser faner la rose
Qui n’a jamais été en moi !
J’ai entendu les hurlements de la diablesse
Dans toute sa cruauté
Jamais elle ne se laisse aller à la bassesse
C’est une rare qualité !
J’entends l’âme de son dragon
Qui ronfle d’amertume a mon égard
Je finirai pas revenir au donjon
Si la mort oublie ses faire-part !
écrit de Maysarah-Princesse des Ténèbres
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