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Kadi : «L’autoroute Est-Ouest coûtera 11 milliards de dollars»

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  • Kadi : «L’autoroute Est-Ouest coûtera 11 milliards de dollars»

    Contrairement à ce qui a été dit et écrit ces dernières années, le ministre des Travaux publics, Abdelkader Kadi, exclut tout surcoût dans la finalisation du projet de l’Autoroute Est-Ouest. S’exprimant aujourd’hui sur le sujet lors de son passage sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, le ministre a assuré que le coût global et définitif de l’autoroute Est-Ouest sera de 11 milliards de dollars. Le ministre confirme, également, la résiliation du contrat avec l’entreprise japonaise Cojaal chargée de la réalisation du tronçon Est de l’autoroute. Cette résiliation du contrat portée par Cojaal devant les instances spécialisées dans l’arbitrage international induit un retard supplémentaire dans l’achèvement de ce mégaprojet qui a accusé plus de 5 ans de retard par rapport au délai de réalisation initial. M. Kadi se veut rassurant en indiquant que les tronçons encore en attente de construction, d’une longueur totale de 84 km, allaient être confiés «dans les prochaines semaines» à des groupements nationaux, à savoir Cosider et ETRHB Haddad. Le ministre n’a cependant pas révélé combien coûteraient les opérations de réfection des tronçons qui ont été fortement dégradés, notamment du côté de Bouira. S’agissant du système de péage, le ministre souligne qu’il ne pourra pas être introduit avant l’achèvement total des travaux. Il prévoit ainsi son entrée en application d’ici fin 2015, si tout va bien. Car M. Kadi, contrairement à ses prédécesseurs, s’est montré très prudent sur la question des délais qui ne semble pas être bien maîtrisée. Il faut rappeler que le projet de l’Autoroute Est-Ouest a été entaché par un scandale de pots-de-vin. L’affaire est toujours en justice.

    S. Baker

  • #2
    Khamsa fi 3ayn el-hassoud

    Excellente réalisation. Ca change le transport routier de bout en bout du pays. Vivement l'autre autoroute prévue pour les hauts plateaux !
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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    • #3
      harrachi


      Autoroute Est-Ouest : ces zones d’ombre qui entourent la résiliation du contrat de Cojaal



      Abdelkader Kadi, ministre des Travaux publics, a confirmé, ce lundi 6 octobre, la résiliation du contrat avec le consortium japonais Cojaal concernant la réalisation du tronçon est de l’autoroute Est-Ouest. La réalisation des 84 km restant du tronçon sera attribuée à deux groupements, a-t-il affirmé, sans fournir plus de précisions sur l’identité des entreprises qui les composeraient.
      « Les entreprises sont en consultation et on va les designer dans quelques jours ou quelques semaines. On va compter sur ces groupements pour les réalisations dans des délais records et à moindre coût que les propositions de Cojaal », a-t-il seulement dit.
      Dans ce dossier, Abdelkader Kadi ne fait pas mieux que son prédécesseur Amar Ghoul. La résiliation du contrat avec Cojaal est entourée de zones d’ombre et suscite plusieurs interrogations.
      La première concerne les raisons de cette résiliation. Si, comme le dit indirectement le ministre, elles sont liées aux délais de réalisation qui ne sont pas respectés, pourquoi avoir attendu 2014, soit 5 ans après le délai de livraison fixé initialement en 2009 ? Pourquoi résilier le contrat alors qu’il ne reste que 84 km à réaliser sur un tronçon de près de 359 km ?
      La deuxième question concerne la méthode utilisée. Avant son départ, l’ancien ministre, Amar Ghoul, avait systématiquement nié l’existence de retards dans la réalisation de l’autoroute. Il avait démenti toutes les informations sur le sujet, affirmant régulièrement que les relations avec Cojaal étaient excellentes. Puis subitement, son successeur passe à l’autre extrême en procédant à la résiliation pure et simple du projet. Le contrat liant l’État algérien et Cojaal ne prévoyait pas des mesures intermédiaires, comme par exemple des pénalités de retard ? Sur ce point, le ministre ne dit rien non plus.
      Enfin, Cojaal a demandé un dédommagement de 910 millions de dollars après cette décision de résiliation. En formulant cette demande, dans le cadre d’un arbitrage international, Cojaal s’estime visiblement lésé. Et curieusement le ministre ne conteste pas le fond mais seulement la forme de la demande : « Il n’y a pas un arbitrage international de prévu dans le contrat. S’ils veulent faire un arbitrage se sera un arbitrage algérien, c’est mentionné sur le contrat », a-t-il affirmé. « Je ne pense pas qu’ils ont raison », a-t-il ajouté, visiblement sans grande conviction.
      Mais il est peu probable qu’un groupement de la taille de Cojaal engage des cabinets d’avocats internationaux dans une longue et sans doute coûteuse procédure d’arbitrage international s’il ne possède pas quelques arguments qu’il estime solides contre l’État algérien.
      Connaissant les compétences des équipes qui ont géré le contrat de l’autoroute, à leur tête Amar Ghoul, il est fort probable que les Japonais obtiennent gain de cause.tsa

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      • #4
        Khmouss w Djebrîl

        Superbe autoroute. Je l'ai emprunté plusieurs fois et dans toutes les directions. Ca change des trajets de jadis.
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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        • #5
          L'Est-Ouest, un des plus grands projets de travaux publics de l'histoire. Une belle fierté
          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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          • #6
            oui c'est beau mais on sera fiers le jour ou des entreprises dz maitriseront la technologie et ne feront plus appel aux chinois ou aux japonnais.

            normalement cette autoroute a été faite pour apprendre.et dans la foulée donner l'autre autoroute aux entreprises dz.....mais je doute fort qu'elles soient capables ....

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            • #7
              Urgence signalée, la construction autonome de cette énorme infrastructure aurait pris beaucoup de temps.
              De plus, il y a eu un vidage presque complet de la matière grise et des gens de savoir suite à la décennie rouge et à ses relents destructeurs.
              وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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              • #8
                bah justement il aurait mieux fallu commencer par la formation et miser sur de grandes écoles. non ? pour avoir les cerveaux capables de bâtir le pays.

                la les étrangers vont tous partir et nous on aura certe une belle autoroute mais pas les hommes pour la gérer.ca me rappelle la décennie 70 ou on achetaient clé en main des usines ...sans savoir comment ça marchait.

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                • #9
                  ça va harrachi ??
                  " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                  • #10
                    Le problème n'est pas la nécessité d'une autoroute mais de son coup extrêmement exorbitant..

                    Quel sera le coût final de l’autoroute Est-Ouest ?

                    07/10/2014

                    La livraison finale du projet de l’autoroute Est Ouest sera en 2010, puis autre déclaration officielle des responsables du secteur en 2012, puis autre déclaration en 2014 et le projet n’est pas encore terminé. « Le coût global de réalisation des 1200 km de l’autoroute Est-Ouest est estimé à 11 milliards de dollars…. Mais si on ajoute les pénétrantes et les rocades cela va dépasser les 11 milliards de dollars » selon la déclaration récente du Ministre des travaux publics en ce mois d’octobre 2014. Qu’en est –il en réalité surtout après la résiliation des 84 km restant du tronçon Est de l’autoroute Est-Ouest au Consortium japonais (Cojaal) qui réclame un dédommagement approchant un milliard de dollar. Ayant eu accès au dossier technique et financier de cet important projet, je n’ai pas attendu ces affirmations récentes où depuis plus de cinq années(voir www.google.com), j’avais attiré l’attention des pouvoirs publics et ce bien avant les scandales financiers pour avoir estimé le coût prévisionnel de la route Est-Ouest à plus de 11 milliards de dollars sans compter les coûts d’entretien. Ces importantes réévaluations par rapport au coût initial, ont été estimé à 7 milliards de dollars. Que l’on visite l’axe d’Est à l’Ouest et l’on constatera des dégradations sur plusieurs dizaines de km et à quel coût ces travaux additionnels ? Cela montre aussi la non-maîtrise du suivi des projets et de la gestion de la dépense publique.

                    1.-Tout projet doit montrer clairement la hiérarchie des objectifs, les résultats escomptés par secteurs, ainsi que la portée, les indicateurs performance, les indicateurs des objectifs et des échéanciers précis et enfin l’hypothèse de risques. Or les responsables de ce projet s’en tiennent vaguement au descriptif technique qui est le suivant. Linéaire: 1216 km ; profil en travers: 2×3 voies ; vitesse de base : 100 à 120 km/h ; nombre d’échangeurs: 60 échangeurs environ (avec option de péage) ; 24 wilayas desservies ; équipements : aires de repos, stations service, relais routiers et centres d’entretien et d’exploitation de l’autoroute. L’autoroute Est-Ouest n’ a pas modifié le paysage routier national puisqu’elle a pour l’essentiel suivi le tracé des nationales 4 et 5, qui rallient Alger à Oran et Alger à Constantine. En revanche, elle a bouleversé la vie économique des 19 wilayas directement traversées et des 24 desservies. Dans un pays où 85% des échanges commerciaux s’effectuent par la route, l’impact risque de se faire sentir rapidement. Onze tunnels devaient être percés sur deux fois trois voies et 390 ouvrages d’art réalisés, dont 25 viaducs, pour joindre les frontières tunisiennes, à l’est, et marocaine, à l’ouest, et réaliser l’autoroute trans-maghrébine. Deux groupements chinois et japonais avaient remporté le marché de l’autoroute Est-Ouest algérienne, le plus grand chantier de l’histoire du pays sur 1216 km de bitumes. Le groupement CITIC-CRCC chinois avait des contrats de 5,2 milliards de dollars signés au printemps 2006 pour la réalisation des tronçons ouest (399 km) et centre (169 km). Mais a été exigée par la suite une rallonge de 650 millions de dollars. Le groupement chinois a en effet proposé en mars 2007 une autre solution pour la chaussée que celle prévue par le cahier des charges. Il s’agit du « bitume modifié », largement utilisé dans les pays développés. Alors que selon certains experts, dans les cas les plus limites « le recours à l’enrobé à module élevé provoque 10 à 15% de coûts supplémentaires ». Ainsi, le coût de réalisation de cet important projet autoroutier est estimé officiellement à plus de 11 milliards de dollars sans les annexes, établi suite à une analyse technique et financière réalisée par un bureau d’études canadien qui accompagne l’ANA, laquelle analyse ayant été approuvée par la commission nationale des marchés publics.

                    2.-Le coût du kilomètre provisoire serait ainsi estimé à 9,95 millions d’euros le km, sous réserve que n’existent pas d’autres réévaluations. Selon certains experts, l’autoroute Est-Ouest devrait dépasser les 11 milliards de dollars tenant compte de toutes les imperfections constatées et les annexes contre une prévision initiale d’environ 7 milliards de dollars. En effet, à ce montant il faudra ajouter les équipements annexes dont le programme d’équipement n’a reçu son budget qu’en 2010. Et ce, suite à de nombreuses observations, en sus des automobilistes, qui s’étonnaient de voir un tel mégaprojet livré parcimonieusement et de surcroît dépourvu d’équipements annexes comme les aires de repos, les stations-service et les stations de péage. Le programme d’équipement consiste en la réalisation de 42 stations-service, 76 aires de repos (motels, aires de stationnement, aires de jeux…), 57 gares de péage, 70 échangeurs et 22 postes de garde de la gendarmerie et autant de points de garde de la Protection civile. C’est dire qu’on est loin des chiffres avancés par le ministre. On oublie souvent qu’une route s’entretient et selon les normes internationales, cela varie entre 80.000 euros à 120.000 dollars /an et par km). Cela pose le problème du coût du péage qui, selon les responsables du ministère des Travaux publics, 80% seront assumés par les poids lourds. Pour les comparaisons internationales, existent des variations selon qu’il y ait contrainte ou pas tournant autour d’une moyenne de 7 à 10 millions de dollars par km hors taxes selon que l’environnement est non contraint ou contraignant( ouvrages d’art). Mais il faut comparer le comparable. Prenons trois exemples : pour le Maroc, la mise en service de l’autoroute Casablanca-El Jadid d’une longueur de 81 km est estimé à 3 millions d’euros le km. Quant à l’autoroute, Marrakech-Agadir, le coût a été de 2,3 millions de dollars par km. Pour l’autoroute du Maghreb Fès-Oujda, d’une longueur de 328 km, avec une perspective de jonction avec l’autoroute algérienne son coût a été 2,2 million de dollars le km.

                    3.-Aussi, pour des comparaisons fiables, il faut éviter des comparaisons hasardeuses. En Algérie, tous les facteurs sont favorables. La main-d’œuvre est au moins 10 fois moins chère qu’en Europe ; il n’y a relativement presque pas d’intempéries ; les matériaux utilisés en grande quantité, les agrégats (tuf, sables et graviers) ne coûtent pratiquement que leurs frais d’extraction et le concassage, le carburant est 5 à 7 fois moins cher, les loyers, l’électricité et le gaz aussi, les occupations temporaires de terrains qui coûtent des fortunes en Europe ne sont même pas payantes en Algérie lorsqu’il s’agit de terrains relevant du domaine public. Mais il y a des problèmes administratifs et des de procédures bureaucratiques sans compter les expropriations et les démolitions qui sont sources de surcoûts. Le guide de management des grands projets d’infrastructures économiques et sociales élaboré par la Caisse nationale d’équipement pour le développement (CNED) et la soumission de toute réévaluation des projets au-delà de 15%, à l’aval du Conseil des ministres, a-t-il contribué à affiner l’action des pouvoirs publics en matière d’efficience des dépenses publiques ? Un contrôle doit être global : il doit concerner en plus du contrôle routinier des services de sécurité, l’ensemble de la société supposant un Etat de droit la réhabilitation du contrôle de la société civile, du parlement, de la Cour des comptes, institution dépendante de la présidence de la République car l’Inspection générale des finances dépendant du ministre des Finances ayant un impact limité car relevant de l’exécutif. Sans une gouvernance rénovée, une visibilité et cohérence de la politique socio-économique supposant l’intégration de la sphère informelle produit du dysfonctionnement des appareils de l’Etat, produisant la corruption, le contrôle budgétaire sera un vœu pieux avec un impact limité.

                    4.-Pourquoi donc le coût de la route Est-ouest dépassera 11 millions de dollars par km sans les annexes et certains surcoûts non prévus , alors que la norme internationale d’une autoroute pour un pays comme l’Algérie tenant compte de comparaisons similaires (évitons de nous comparer à l’Europe) aurait du fluctuer entre 5 et 7 millions de dollars selon les normes contraignantes et au maximum 7/8 millions d e dollars avec les annexes et même moins pour des pays voisins au niveau du Maghreb et pour certains pays d’Afrique ? Le problème est posé et ces surcoûts exorbitants ne concernent pas seulement la route Est-Ouest, mais la majorité, avec de rares exceptions, des projets sectoriels (habitat, transport, industrie, énergie, prestations de services etc.). Cela pose la problématique d’un véritable contrôle démocratique loin du juridisme et des contrôles techniques. Et la facilité devant les problèmes est de se réfugier derrière des lois (l’Algérie a les meilleures lois du monde mais rarement appliquées) ou des aspects techniques qui en fait produisent du fait de la gouvernance mitigée et du pouvoir bureaucratique inefficient l’effet contraire. Comment ne pas rappeler que tout processus de développement fiable repose sur deux fondamentaux, à savoir la bonne gouvernance et l’économie de la connaissance. Or, prenant en compte des performances de l’éducation, de la santé, de la qualité de vie, le dynamisme économique et l’environnement politique, le grand hebdomadaire financier américain Newsweek très influent dans les milieux d’affaires avec l’appui d’éminents experts internationaux dont le prix Nobel et professeur à Columbia University Joseph E. Stiglitz, McKinsey & Co, le directeur du Bureau Byron Auguste, le directeur fondateur de l’Institut de l’Université McGill pour la santé et la politique sociale et le professeur à l’université Geng Xiao, directeur de la Colombie-Global Centre Asie de l’Est ,dans une enquête fouillée, fin 2010, classe l’Algérie à la 85ème position sur un échantillon de 100 pays. Ce rapport montre clairement que l’Algérie risque à terme de se vider de ses cerveaux, de sa substance essentielle, un pays sans son élite étant considéré comme un corps qui se vide de son sang.

                    Professeur des Universités –expert international en management stratégique Dr Abderrahmane MEBTOUL

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                    • #11
                      Reflexion

                      Le problème n'est pas la nécessité d'une autoroute mais de son coup extrêmement exorbitant..
                      Si L'autoroute EST OUEST ( 1200 km ) coute 11 milliard de $ ... Combien coute donc l'autoroute Marocaine qui a plus de 1500 km ( mai 2014 ) et qui devait atteindre 1800 km en 2015 ?

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                      • #12
                        @Harachi on ne fait pas une autoroute de cette envergure pour facilité tes deplacement vas a relizane et demande si ce tracé est meilleurs que celui qui avait ete retenu dans le snat de 1987 ?? et tu peut le faire pour toutes les wilaya traversé tu aura des surprises.

                        l’étude du corridor ( en faite les activité économique a réaliser autour de cette autoroute par wilaya) qui justifie la réalisation de cette autoroute n'est pas finalisé et dans certaine wilaya est a peine lancer (si ma mémoire est bonne c'est un bureau canadien qui est chargé de le faire)

                        pas la peine de dire khmouss a3liha wahed ma rah i3ayanha ils ont mieux que ca et tu le sais !!!!!
                        "Penser globalement, agir localement" Jacques Ellul

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                        • #13
                          Vivement l'autre autoroute prévue pour les hauts plateaux !
                          Je me languis aussi
                          et en plus les routes sont gratuites
                          qui dit mieux ?
                          tchek tchek tchek

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                          • #14
                            kems c'est pas normal que ça soit gratuit ! si c'est gratuit ,comment tu veux encourager les gens a bosser ??

                            faudra pas se plaindre si demain ces autoroutes seront toutes défoncées et que le pays n'aura pas les moyens de réparer (le pétrole n'est pas a vie)

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                            • #15
                              Gratuit un temps et après il va valoir payer pour l'entretient de ses autoroutes , il faut arrêter la gratuité puisque tout a un coût et cela permet de responsabiliser les utilisateurs est leurs faire comprendre que toutes dégradation sera à la charge des usagers

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