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Jeune Afrique s’en prend à Zakaria Moumni sur commande

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  • Jeune Afrique s’en prend à Zakaria Moumni sur commande

    COMMUNIQUE ADRESSE AU PEUPLE MAROCAIN ET AU ROI DU MAROC

    Contrairement aux affirmations de cet article publié dans le journal Jeune Afrique, Zakaria Moumni ne voulait piéger personne en France. Il a tout simplement déposé une plainte contre les commanditaires et les tortionnaires à l’origine des tortures qu’il a subies au Maroc dans le centre de Temara. En premier Mounir Majidi le secrétaire particulier du roi Mohammed VI, en qualité de commanditaire, et Abdellatif Hammouchi, le directeur de la DGST marocaine, qui a exécuté les ordres pour enlever Zakaria Moumni, le torturer et le séquestrer.

    Rappel des faits : Zakaria Moumni a été enlevé le 27 septembre 2010, à sa descente de l’avion à Rabat, il a été enlevé, puis torturé dans le centre de Temara par les agents de la DGST, en présence du Directeur Abdellatif Hammouchi, que Zakaria Moumni a pu voir puis identifier. Tout cela sous les ordres du roi et de Mounir Majidi, d’après les dires de ses bourreaux qui ne cessaient de lui répéter « Ca t’apprendra à aller manifester devant chez le roi et citer Mounir Majidi ».

    Pourquoi Mounir Majidi ? Parce que c’est la seule personne qui a menacé Moumni de mort en France « T’as de la chance d’être en France, si t’étais au Maroc, on t’aurait fait la peau » devant la résidence privée du roi Mohammed VI à Betz en France en 2010.

    Tout cela parce que Zakaria Moumni a manifesté devant la résidence privée du roi en France le 25 janvier 2010 pour dénoncer l’injustice dont il avait été victime et la privation de ses droits légitimes de sportif de haut niveau dont Mounir Majidi était à l’origine.

    La plainte contre Mounir Majidi a été déposée en même temps que la plainte contre Abdellatif Hammouchi via Maître Patrick Baudouin, avocat, et Président d’honneur de la FIDH (Fédération Internationale des Ligues des Droits de l’Homme), et Maître Clémence Bectarte, le 21 Février 2014 et non fin Juin 2014, comme le prétend le journal Jeune Afrique. Et non avec l’aide de l’ACAT (Association des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture).

    Il n’y a aucun lien avec les prétendus faits décrits dans l’article Jeune Afrique, notamment que la plainte a été déposée quelques jours après que Zakaria Moumni « ait été vu en compagnie du Prince Moulay Hicham et son épouse au Marta Bar de l’Hôtel Fouquet’s Barrière. »

    Pourquoi Zakaria Moumni a t-il été vu au Fouquet’s à Paris avec le Prince Moulay Hicham et son épouse le 26 Juin 2014 ? Tout simplement parce que à cette époque-là le Fouquet’s était le lieu de travail de Zakaria Moumni. Et il se trouve qu’à ce moment-là le Prince Moulay Hicham et son épouse étaient clients de l’établissement. Il était fort probable que Zakaria Moumni croise le Prince et son épouse dans le restaurant du Fouquet’s, comme au Bar, comme dans le hall de l’établissement.

    D’ailleurs, précision, fin juillet 2014 le Directeur de l’Hôtel Fouquet’s Barrière, Nicolas Cloarec et le directeur de la Sécurité, Alain Kada, ont annoncé à Zakaria Moumni qu’ils mettaient fin à son contrat avec le Fouquet’s « pour des raisons politiques ». Après son insistance à comprendre car ce n’était pas son professionnalisme qui était en cause, ils ont admis qu’ils avaient reçu l’appel de l’Ambassadeur du Maroc à Paris leur demandant de se séparer de Zakaria Moumni s’ils souhaitaient toujours garder leurs clients du royaume chérifien, et ce, par rapport à sa plainte contre Abdellatif Hammouchi et Mounir Majidi, en lui conseillant même de prendre contact avec l’Ambassadeur pour « régler cette affaire ». Et quelle coïncidence le seul pays étranger où le groupe Barrière a des hôtels de luxe se trouve être le Maroc avec 2 palaces à Marrakech….

    La Direction de l’hôtel précise que Mounir Majidi et Abdellatif Hammouchi sont des clients de l’hôtel et se soucie du bien-être des tortionnaires en visite à Paris. « De toutes façons, l’un comme l’autre ne peuvent plus voyager en dehors du Maroc », a répondu Zakaria Moumni.

    Sur les allégations farfelues selon lesquelles Zakaria Moumni occupe le poste d’adjoint au chef de la Sécurité du palace parisien Georges V que le Prince Hicham lui aurait « décroché », toujours selon le journal JeuneAfrique, précisons que Zakaria Moumni ne travaille pas au Georges V et n’y a jamais travaillé.

    Le message de Zakaria Moumni au roi du Maroc est clair : » Vous êtes entouré par des bonimenteurs et des incompétents, comme votre ministre Mohand Laenser qui a prétendu d’abord ne pas me connaitre et reconnaître une semaine après qu’il a eu des échanges avec moi et qu’il m’a même invité pour une audience avec vous.

    Moi, je suis un citoyen honnête et je l’ai prouvé, j’ai représenté le Maroc mieux que votre entourage, je suis devenu numéro 1 mondial et j’ai levé le drapeau marocain fièrement. Mais mon pays, c’est-à-dire les institutions marocaines sous votre ordre et votre entourage m’ont trahi.

    Si vous voulez mettre fin à ces propos absurdes et incohérents, dignes d’une comédie ratée, j’ai tous les enregistrements de mes échanges à tous les niveaux, du petit émissaire en passant par le ministre jusqu’à votre Directeur du Protocole Royal. Moi je me bats pour moi et ma réhabilitation. Personne ne me pousse à faire quoi que ce soit et personne ne dicte mes actions. Il faut arrêter de jouer sur mes intentions car cela vous discrédite encore davantage. J’ai lu dans la presse mahzenienne tour à tour que les services secrets algériens étaient à l’origine de mes actions, puis les services secrets français et maintenant le Prince Hicham.

    Quand on dit la vérité et qu’on détient toutes les preuves, on ne se cache ni d’un juge ni d’un arbitre. Je pense que vous savez parfaitement et mieux que tout le monde la vérité puisque vous avez vous-même mandaté votre Ministre de l’Intérieur Mohand Laenser et votre Directeur du Protocole Royal, M. Abdeljawad Bellhaj, pour réparer l’injustice dont j’étais victime.
    Dites leur donc de cesser ce jeu médiocre.

    Et je le dis haut et fort, j’ai porté plainte contre ces tortionnaires, votre secrétaire particulier, Mounir Majidi, et votre Directeur de la DGST, Abdellatif Hammouchi, parce que personne n’était capable de me rendre justice au Maroc. J’ai porté plainte en France, en Europe, aux Etats Unis, et s’il y a une autre planète que la Terre où ils peuvent aller, j’y porterai plainte aussi. Vous savez parfaitement que malgré ce que vous m’avez fait, vous ne m’avez jamais brisé et je ne baisserai JAMAIS les bras jusqu’à ce que Justice me soit rendue ».

    Zakaria Moumni
    Dernière modification par jawzia, 08 octobre 2014, 16h41.

  • #2
    Tout simplement parce que à cette époque-là le Fouquet’s était le lieu de travail de Zakaria Moumni.
    carrément ??, ...le fouquet's comme lieux de taf ?? ...
    tu tombe je tombe car mane e mane
    après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

    Commentaire


    • #3
      qu'est qu'il a fait? l'histoire m'échappe


      j’ai tous les enregistrements de mes échanges à tous les niveaux, du petit émissaire en passant par le ministre jusqu’à votre Directeur du Protocole Royal.
      --

      faut être fort pour le faire
      La haine aveugle

      Commentaire


      • #4
        @mahjoub


        En vu d un décret royal ; Zakaria peut prétendre à un poste de conseiller sportif au ministère de la jeunesse et des sports. C'est la récompense accordée à tout sportif marocain ayant obtenu un titre mondial.

        Le hic : Mohammed VI, persuadé de son cas , le roi ordonnera à son entourage d'appliquer ses directives.

        Majidi la cause....avait bloqué l ordre ..( Pourquoi ) ,
        c est là ou réside le secret ???
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

        Commentaire


        • #5
          C'est pas toute la vérité

          Majidi vs le prince rouge????
          La haine aveugle

          Commentaire


          • #6
            @mahjoub

            Mounir Majidi avait capté à la volée la chanson habituelle du Makhzen

            J’ai lu dans la presse mahzenienne tour à tour que les services secrets algériens étaient à l’origine de mes actions, ..........
            .

            Tous les maux du Maroc proviennent de l Algerie ( SOEUR )
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

            Commentaire


            • #7
              Une autre vision des choses...


              Machination de Moulay Hicham contre Mounir El Majidi

              Mohamed Chakir Alaoui - le 06/10/2014- Le 360.ma

              Le cousin du roi ne cesse de gesticuler dans tous les sens pour porter atteinte à l’image de Mohammed VI et de son entourage. Son nouvel instrument: Zakaria Moumni. Sa nouvelle cible: Mounir El Majidi.
              "Quand l'ombre du "prince rouge" Moulay Hicham se profile derrière une improbable action en justice contre un proche collaborateur du roi Mohammed VI... ". Ainsi résument nos confrères de Jeune Afrique une affaire explosive qu'ile viennent de révéler dans leur édition du 3 Octobre. Les faits: Moulay Hicham a rencontré, le 26 juin dernier, à l’hôtel Fouquet’s Barrière, à Paris, le très controversé ancien boxeur Zakaria Moumni pour l’inciter à porter plainte, en France, contre Mounir El Majidi, secrétaire particulier du roi, pour… "menace de mort". Le plan du prince est encore plus pernicieux: il a incité son nouvel homme de paille à garder cette plainte secrète de manière à prendre par surprise Mounir El Majidi, en France, dans l’espoir de le voir convoqué par la justice pour répondre à cette accusation farfelue. Ce qui aurait donné à cette histoire une grande ampleur médiatique. Le scénario est déjà rôdé : on l’a vu en février dernier faire le même coup à Abdellatif Hammouchi, patron de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), que la police française était venue chercher avec ses gros sabots dans la résidence de l’ambassadeur du Maroc. Un incident dont les séquelles sur les relations diplomatiques entre le royaume et la France est d’ailleurs toujours perceptible.

              Dans sa page Facebook, Zakaria Moumni a réagi hier à cet article qu’il juge réalisé par un journal à la solde de régimes dictatoriaux. Rien que ça… Mais il omet de dire l’essentiel : Moulay Hicham himself a veillé sur la réponse de Zakaria Moumni, a appris le360 de sources sûres. Le prince a soufflé à son pion une version à faire dormir debout. Il veut faire passer ce rendez-vous pour une simple rencontre fortuite à Fouquet’s Barrière (Moumni explique qu’il était employé dans cet établissement avant de se faire renvoyer). Mais entre croiser et saluer un prince dans un bar et se mettre à sa table pendant une demi-heure, il y a une différence que Moumni se garde bien d’expliquer. Dans sa diatribe, Zakaria Moumni confirme le principal : il a bel et bien rencontré Moulay Hicham et son épouse à l’hôtel Fouquet’s Barrière, donnant de la sorte un crédit retentissant à l’information publiée dans Jeune Afrique. Ecoutons Zakaria Moumni patauger dans les mots que lui a soufflé Moulay Hicham pour justifier leur rencontre :



              Un rendez-vous pour une conspiration

              Qui peut bien croire à cette version-là ? Une version qui sonne d’autant plus faux que Moulay Hicham a ses habitudes à l’hôtel George V Four Seasons (qui appartient à son cousin le milliardaire Al-Waleed Bin Tallal), quand il séjourne à Paris. Et justement l’hôtel Fouquet’s Barrière se trouve dans la même avenue que l’hôtel George V. D’ailleurs, un autre article paru dans un blog hébergé par le Nouvel Obs rapporte des détails croustillants sur cette rencontre du Fouquet’s Barrière entre Moulay Hicham et Zakaria Moumni.

              "Durant ce rendez-vous, qui n’a pas excédé 30 minutes, le prince a beaucoup parlé et Zakaria Moumni n’a fait que l’écouter religieusement. Moulay Hicham a sommé l’ancien boxeur de continuer à dire là où il se trouve que Mounir El Majidi, secrétaire particulier du roi Mohammed VI, l’a menacé de mort en France. Il l’a aussi exhorté à déposer une plainte contre El Majidi et lui a indiqué les voies à suivre et les personnes à contacter pour engager une action en justice contre le secrétaire particulier du roi", peut-on lire dans ce papier.

              Le même article nous apprend qu’à la veille de ce rendez-vous avec Moumni, Moulay Hicham a invité à dîner au restaurant libanais Al-Ajami le journaliste Houssein Majdoubi, fondateur du site alifpost.com. Ce dernier aurait remis à Moulay Hicham sur une clef USB une partie de la traduction en arabe de son livre à charge contre le royaume. Il faut croire que la hargne du prince qui voulait être calife à la place du calife n’a aucune limite. Il se mue en sponsor mondial de tous ceux qui sont prêts à calomnier les institutions et les hommes au pouvoir du royaume.

              Les contradictions d’un pion

              En tant que champion du monde de light contact, une sous-discipline de boxe thaïlandaise, Zakaria Moumni exige, en vertu d’un décret de Hassan II, un poste de conseiller sportif au Maroc. Le light contact (qui tient du combat de rue) ne fait pas pourtant partie de la liste disciplines sportives reconnues par le Comité olympique. Mais l’intéressé n’en a cure. Il veut à tout prix cette rente. Il bénéficie pourtant d’une rente dont il ne parle jamais. Moumni a obtenu en 2006 deux agréments, l’un en son nom propre, l’autre au nom de son père, pour jouir de confortables revenus liée à l’exploitation de deux grands taxis, dits communément taxis blancs. Le monsieur donc qui tire à boulets rouges contre le royaume et ses institutions fait partie de ces sportifs qui exploitent ad vitam aeternam des agréments de transports. Le parfait rentier gourmand qui fait semblant de cracher dans la soupe dans l’objectif d’en être servi davantage.

              Celui qui a exercé un "sport" de voyou fait tenir des propos dignes d’un très mauvais film série B au secrétaire particulier du roi. On verra bien si son commanditaire réussira à le dépêtrer de ses mensonges et de ses contradictions quand il sera devant la justice. Car Zakaria Moumni oublie de mentionner un détail qui a de la valeur : lui-même fait l’objet d’une plainte déposée par le secrétaire particulier du roi pour diffamation. "La plainte déposée par M. El Majidi va très probablement aboutir dans un premier temps à la mise en examen de Zakaria Moumni et ensuite à sa condamnation. Car à partir du moment où l’intéressé parle de menaces de mort sans en apporter la preuve, il y a une diffamation", confie à le360 une source près du barreau de Paris. Zakaria Moumni n’est pas la seule personne gravitant dans l’orbite de Moulay Hicham à avoir fait l’objet d’une plainte de la part de Mounir El Majidi. Une plainte a été déposé pour diffamation contre Houssein Majdoubi, fondateur du site alifpost.com. Et Ahmed Reda Benchemsi a été mis en examen pour diffamation, le 8 juillet 2013, par un juge d’instruction au tribunal de Paris.

              Le parrain et ses sbires

              Derrière chaque sortie contre le Maroc, cherchez Moulay Hicham. Si l’on ne tient pas compte de l’Algérie, on n’en serait plus très loin, tellement le prince semble être devenu le parrain de tous ceux qui déversent leur fiel contre le royaume et ses institutions. Ahmed Benseddik rompt son allégeance au roi et Moulay Hicham paie les frais de scolarité de son fils dans une université américaine aux Emirats Arabes Unis. Moulay Hicham a également pris en charge le loyer et les frais d’inscription dans un institut de télécommunications de l’ex-capitaine Mustapha Adib, celui-là même qui a fait une intrusion tonitruante dans la chambre du général Abdelaziz Bennani à l’hôpital Val-de-Grâce à Paris. Ahmed Reda Benchemsi, qui ne rate pas une occasion pour se déchainer contre le royaume et ses institutions, a bénéficié d’une bourse confortable à l’université Stanford en Californie dans le cadre d’un programme, exclusivement financé par la fondation Moulay Hicham. On peut allonger cette liste encore et encore avec les noms de Houssein Majdoubi, Abdellatif Housni, l’ONG avortée Freedom Now… Le fait est que derrière chaque charge contre le Maroc, il y a de très fortes chances de trouver la main du prince. Il parraine aujourd’hui tous ceux qui ont des griefs contre le Maroc. Et même ceux qui n’en ont pas, il les motive, moyennant avantages, pour en avoir. Quant à Zakaria Moumni, il n’est qu’un pion de plus dans cette partie où le prince joue son va-tout contre son propre camp
              .
              Dernière modification par Serpico, 08 octobre 2014, 20h28.

              Commentaire


              • #8
                @ Serpico

                Mohamed Chakir Alaoui , la voix des alaouites ???
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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