"Dès lors de ma nomination en tant que ministre des affaires étrangères algériennes, l'occasion m'a été donnée de serrer la main à tous les dirigireants du monde. Citez-moi un seul- hormis Hassan II ou à de très peu autres despotes- auxquels je n'ai pas tendu la main?" (A. Bouteflika).
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Bouteflika conjurerait-il de l'éducation algérienne?
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L'important n'est pas le nombre de mains serrées!... Qu'elles soient celles de dictateurs ou d'ange de la miséricorde!..
L’important c'est la situation du pays après 15 ans de règne sans partage de la bouteflikie!..."La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."
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Mais Bouteflika, malgré lui, ne parviendra à battre le record de longévité de Hassan II voire de M6 et tout autant des Tunisiens Bourguiba ou Ben Ali.
" L'Algérie qui n'oublie jamais ses enfants" (dixit un proverbe) opte à la solution du sage Boudiaf, mais le choix échoue. En ultime dérision, elle recourt par défaut assurément, à sa figure de proue Bouteflika afin de redorer son blason. Et, Bouteflika- munit son éternelle baraka avec la montée du prix du pétrole- réussira l'entreprise qui lui était assignée par l'armée.
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@prenpalatete: Mourir est un droit légitime à tout individu et j'escompte à ne pas être lésé à ce propos.
En revanche, il serait autrement plus adéquat d'analyser les résultats obtenus par l'Algérie sous la conduite de Bouteflika. Avec, malheureusement, sa baraka légendaire; on serait de mauvaise foi de lui dénier une certaine réussite mais qu'avec le tout potentiel que possède ce pays- notamment son peuple- il ne s'agit nullement d'un succès.
Or, Bouteflika excelle dans l'anathème de sorte à l'ONU: " lorsque l'Algérie combattait son indépendance, qui l'a vraiment aidée?". Et face à de pareille récrimination, le farouche peuple algérien s'abreuve aisément de telles arguties...vraisemblables sur le fond.
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Or, Bouteflika excelle dans l'anathème de sorte à l'ONU: " lorsque l'Algérie combattait son indépendance, qui l'a vraiment aidée?". Et face à de pareille récrimination, le farouche peuple algérien s'abreuve aisément de telles arguties...vraisemblables sur le fond.
Alors ma conclusion est que nos gouvernants se valent et agissent contrairement aux intérêts de nos deux pays en lui faisant un mal hélas irréparable.
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