Dans une "provocation" qui ne devrait pas plaire au roi Mohamed VI du Maroc, la BBC a publié ce dimanche un article intitulé "How Morocco became a haven for gay Westerners in the 1950s" en guise d'analyse pour expliquer la récente arrestation d'un citoyen britannique pour "actes homosexuels" au Maroc (voir ce topic).
L'article explique que durant les années 50, les écrivains homosexuels britanniques et américains (en particulier) se précipitaient pour aller au Maroc où ils avaient à leur disposition une "offre illimitée" de garçons et de drogues en profitant du différentiel de richesse entre les occidentaux et les marocains.
Ces écrivains homosexuels occidentaux notamment américains se "réfugiaient" au Maroc où les attitudes envers l'homoxualité étaient plus "progressistes" qu'aux Etats-Unis où les actes homosexuels étaient tabous et illégaux. Tanger par exemple était si populaire auprès des homosexuels occidentaux qu'elle était surnommée "la cité des péchés" et certains homosexuels européens à la mentalité colonialiste considéraient que "chaque marocain qu'ils voyaient était à vendre" selon l'aristocrate britannique David Herbert.
L'écivain américain John Hopkins qui a vécu à Tanger durant les années 60/70 a dit dans son autobiographie: "J'étais le seul écricain hétérosexuel à Tanger à l'époque. En matière de femmes, j'avais le terrain rien que pour moi!"
Pour expliquer ce paradoxe entre une société ultra conservatrice mais très ouverte en matière de sexualité en général et d'homosexualité en particulier, l'auteur britannique Barnaby Rogerson écrit à propos du Maroc: "It is... a place where all the four different cornerstones of culture: Berber-African, Mediterranean, Arabic or Islamic, share an absolute belief in the abundant sexuality of all men and women, who are charged with a sort of personal volcano of 'fitna', which threatens family, society and state with sexually derived chaos at any time."
L'article explique que durant les années 50, les écrivains homosexuels britanniques et américains (en particulier) se précipitaient pour aller au Maroc où ils avaient à leur disposition une "offre illimitée" de garçons et de drogues en profitant du différentiel de richesse entre les occidentaux et les marocains.
Ces écrivains homosexuels occidentaux notamment américains se "réfugiaient" au Maroc où les attitudes envers l'homoxualité étaient plus "progressistes" qu'aux Etats-Unis où les actes homosexuels étaient tabous et illégaux. Tanger par exemple était si populaire auprès des homosexuels occidentaux qu'elle était surnommée "la cité des péchés" et certains homosexuels européens à la mentalité colonialiste considéraient que "chaque marocain qu'ils voyaient était à vendre" selon l'aristocrate britannique David Herbert.
L'écivain américain John Hopkins qui a vécu à Tanger durant les années 60/70 a dit dans son autobiographie: "J'étais le seul écricain hétérosexuel à Tanger à l'époque. En matière de femmes, j'avais le terrain rien que pour moi!"
Pour expliquer ce paradoxe entre une société ultra conservatrice mais très ouverte en matière de sexualité en général et d'homosexualité en particulier, l'auteur britannique Barnaby Rogerson écrit à propos du Maroc: "It is... a place where all the four different cornerstones of culture: Berber-African, Mediterranean, Arabic or Islamic, share an absolute belief in the abundant sexuality of all men and women, who are charged with a sort of personal volcano of 'fitna', which threatens family, society and state with sexually derived chaos at any time."
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