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Le musée des corps blindés, qui se trouve à Latroun (au nord-est de Jérusalem) et où les cérémonies officielles des tankistes de Tsahal se déroulent, remplit bien son rôle de propagande.
Seul lieu au monde où le tank Merkava (qui fait la fierté des criminels génocidaires) est exposé, il semble être un lieu incontournable pour l’histoire néo-talmudique. En effet, Latroun se situe au carrefour de la route Tel-Aviv – Lydda – Ramle – Jérusalem et de celle de Ramallah – Ashdod, à l’époque carrefour stratégique pour le ravitaillement de Jérusalem. Elle fut grandement disputée et finalement arrachée aux mains de la Ligue arabe jordanienne lors de la guerre des Six Jours en 1967, après 5 échecs cuisants ordonnés par David Ben Gourion. Les historiens estiment aujourd’hui que les attaques coûtèrent la vie à 168 soldats israéliens mais le nombre des victimes a enflé dans les récits pour atteindre le chiffre de 2 000 morts. Elle a pris également une valeur symbolique, du fait de la participation d’immigrants survivants de la Shoah.
Dans ce lieu à la gloire des martyrs israéliens, tout est conçu pour marquer les esprits. Une description de l’entrée du musée sur le site Terre d’Israël.com ne laisse aucun doute à ce sujet :
Nous nous retrouvons à l’intérieur d’un tank virtuel, c’est à dire une petite pièce carrée, toute noire, avec comme seul éclairage une petite ouverture carrée dans le haut, très haut plafond. On peut voir des traces de balles de part et d’autre des parois reconstituées avec les matières d’un véritable tank. Des larmes fictives sont accrochées un peu partout sur les parois de ce blindé, elles sont sensées tombées sur le sol qui est une plaque de verre transparente et qui laisse apparaître l’écoulement d’une source, l’eau qui est le symbole de la vie et de la continuité.
Oppressant !
La description continue : « Sur un écran, les noms et les photos des soldats tankistes qui sont morts pendant toutes les guerres d’Israël apparaissent un à un avec leur portrait et leurs coordonnées, ainsi que le jour anniversaire hébraïque de leur mort ».
Et pour peaufiner la déco : « À l’extérieur, la forteresse de police jordanienne a été conservée et restaurée, mais on y trouve encore les traces de balles des différentes batailles qui ont eu lieu sur place ».
Un lieu horrible mais parfait pour qui veut marquer le subconscient des visiteurs, même des plus petits
Croah
Seul lieu au monde où le tank Merkava (qui fait la fierté des criminels génocidaires) est exposé, il semble être un lieu incontournable pour l’histoire néo-talmudique. En effet, Latroun se situe au carrefour de la route Tel-Aviv – Lydda – Ramle – Jérusalem et de celle de Ramallah – Ashdod, à l’époque carrefour stratégique pour le ravitaillement de Jérusalem. Elle fut grandement disputée et finalement arrachée aux mains de la Ligue arabe jordanienne lors de la guerre des Six Jours en 1967, après 5 échecs cuisants ordonnés par David Ben Gourion. Les historiens estiment aujourd’hui que les attaques coûtèrent la vie à 168 soldats israéliens mais le nombre des victimes a enflé dans les récits pour atteindre le chiffre de 2 000 morts. Elle a pris également une valeur symbolique, du fait de la participation d’immigrants survivants de la Shoah.
Dans ce lieu à la gloire des martyrs israéliens, tout est conçu pour marquer les esprits. Une description de l’entrée du musée sur le site Terre d’Israël.com ne laisse aucun doute à ce sujet :
Nous nous retrouvons à l’intérieur d’un tank virtuel, c’est à dire une petite pièce carrée, toute noire, avec comme seul éclairage une petite ouverture carrée dans le haut, très haut plafond. On peut voir des traces de balles de part et d’autre des parois reconstituées avec les matières d’un véritable tank. Des larmes fictives sont accrochées un peu partout sur les parois de ce blindé, elles sont sensées tombées sur le sol qui est une plaque de verre transparente et qui laisse apparaître l’écoulement d’une source, l’eau qui est le symbole de la vie et de la continuité.
Oppressant !
La description continue : « Sur un écran, les noms et les photos des soldats tankistes qui sont morts pendant toutes les guerres d’Israël apparaissent un à un avec leur portrait et leurs coordonnées, ainsi que le jour anniversaire hébraïque de leur mort ».
Et pour peaufiner la déco : « À l’extérieur, la forteresse de police jordanienne a été conservée et restaurée, mais on y trouve encore les traces de balles des différentes batailles qui ont eu lieu sur place ».
Un lieu horrible mais parfait pour qui veut marquer le subconscient des visiteurs, même des plus petits
Croah
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