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La polyarthrite rhumatoïde menace la carrière professionnelle de 38 % des femmes en Algérie
Selon une récente étude scientifique menée dans 42 pays dont l’Algérie, la polyarthrite rhumatoïde serait à l’origine de la perte d’emploi dans 38% des cas. Les femmes atteintes de cette pathologie seraient incapables de préserver leur travail en raison des douleurs occasionnées par la maladie.
Pour les femmes atteintes de polyarthrite rhumatoïde, l’emploi n’est plus compatible avec l’état de santé, notamment quand la maladie est diagnostiquée à un stade avancé. Selon une étude scientifique portant sur l’incidence de la PR et ses répercussions sur le fonctionnement social, professionnel et familial des victimes, menée en 2013 dans 42 pays du monde, pour de nombreuses victimes il est impossible de maintenir une vie professionnelle satisfaisante tout en souffrant de cette pathologie.
L'étude relayée par le quotidien d’information arabophone El Khabar, a précisé que 38% des femmes atteintes de cette pathologie invalidante en Algérie voient leurs carrières professionnelles ruinées en raison de leur incapacité à travailler à cause des répercussions de cette pathologie malheureusement méconnue des femmes. Quelque 102 femmes algériennes atteintes de la PR ont déclaré souffrir des suites de la maladie et devoir souvent sacrifier leur vie professionnelle.
69% des femmes ignorent les effets secondaires de la PR
63% des victimes de la PR, interrogées dans le cadre de l’étude, ont avoué que leurs connaissances sur la maladie sont moyennes à bonnes, contre 69 % ayant déclaré méconnaître les effets secondaires de la pathologie sur la santé. En effet, la polyarthrite rhumatoïde est une pathologie invalidante qui, souvent diagnostiquée de façon tardive, entraîne plusieurs problèmes sociaux et financiers. Le licenciement dans le cas où l’arrêt-maladie de la malade se prolonge au-delà d’un an est un droit accordé à l’employeur si ce dernier estime que l’absence du salarié «nuit à la bonne marche de l’entreprise ».
Sur un autre plan, les résultats de l’étude ont démontré qu’il n’y a aucun rapport entre le niveau de connaissance de la maladie et le moyen d’y faire face. Ainsi, même si 93% des femmes interrogées connaissent la polyarthrite rhumatoïde, 71% d’entre elles croient que l’absence de douleur signifie que la maladie est sous contrôle, ce qui n’est pas vrai, soulignent les initiateurs de l’étude.
Par ailleurs, 38% des malades ont affirmé que la maladie avait des répercussions graves sur leur fonctionnement social, professionnel et familial, puisque pour 38% des femmes, âgées entre 30 et 50 ans, la maladie n’est pas compatible avec l’emploi. La polyarthrite demeure un véritable handicap qu’il est impératif de prendre au sérieux dès son diagnostic.
Focus Santé
Pour les femmes atteintes de polyarthrite rhumatoïde, l’emploi n’est plus compatible avec l’état de santé, notamment quand la maladie est diagnostiquée à un stade avancé. Selon une étude scientifique portant sur l’incidence de la PR et ses répercussions sur le fonctionnement social, professionnel et familial des victimes, menée en 2013 dans 42 pays du monde, pour de nombreuses victimes il est impossible de maintenir une vie professionnelle satisfaisante tout en souffrant de cette pathologie.
L'étude relayée par le quotidien d’information arabophone El Khabar, a précisé que 38% des femmes atteintes de cette pathologie invalidante en Algérie voient leurs carrières professionnelles ruinées en raison de leur incapacité à travailler à cause des répercussions de cette pathologie malheureusement méconnue des femmes. Quelque 102 femmes algériennes atteintes de la PR ont déclaré souffrir des suites de la maladie et devoir souvent sacrifier leur vie professionnelle.
69% des femmes ignorent les effets secondaires de la PR
63% des victimes de la PR, interrogées dans le cadre de l’étude, ont avoué que leurs connaissances sur la maladie sont moyennes à bonnes, contre 69 % ayant déclaré méconnaître les effets secondaires de la pathologie sur la santé. En effet, la polyarthrite rhumatoïde est une pathologie invalidante qui, souvent diagnostiquée de façon tardive, entraîne plusieurs problèmes sociaux et financiers. Le licenciement dans le cas où l’arrêt-maladie de la malade se prolonge au-delà d’un an est un droit accordé à l’employeur si ce dernier estime que l’absence du salarié «nuit à la bonne marche de l’entreprise ».
Sur un autre plan, les résultats de l’étude ont démontré qu’il n’y a aucun rapport entre le niveau de connaissance de la maladie et le moyen d’y faire face. Ainsi, même si 93% des femmes interrogées connaissent la polyarthrite rhumatoïde, 71% d’entre elles croient que l’absence de douleur signifie que la maladie est sous contrôle, ce qui n’est pas vrai, soulignent les initiateurs de l’étude.
Par ailleurs, 38% des malades ont affirmé que la maladie avait des répercussions graves sur leur fonctionnement social, professionnel et familial, puisque pour 38% des femmes, âgées entre 30 et 50 ans, la maladie n’est pas compatible avec l’emploi. La polyarthrite demeure un véritable handicap qu’il est impératif de prendre au sérieux dès son diagnostic.
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