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Agroalimentaire : des Français en quête de partenariat en Algérie

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  • Agroalimentaire : des Français en quête de partenariat en Algérie

    Agroalimentaire : des Français en quête de partenariat en Algérie



    L’Agence française pour le développement international des entreprises, Ubifrance, regroupera les 20 et 21 octobre à Alger les grandes entreprises algériennes de l’agroalimentaire et les opérateurs économiques français activant dans ce secteur. Ces rencontres d’affaires algéro-françaises verront la participation d’une douzaine de dirigeants de firmes françaises intéressées par l’Algérie. Ces industriels français auront ainsi à présenter leurs sociétés, leurs produits et leur savoir-faire dans les plus importantes filières (céréales, lait, boissons, viande, froid…). Côté algérien, il y aura une quarantaine de sociétés publiques ou privées à la recherche de partenaires industriels ou commerciaux. Parmi elles, des groupes de renom, à l’image de Cevital au chiffre d’affaires dépassant les 4 milliards de dollars, SIM, Benamor, La Belle et bien d’autres entreprises activant dans l’industrie agroalimentaire en plein développement en Algérie. En effet, si les autres industries sont en difficultés, le secteur agroalimentaire est en plein essor. De nombreuses entreprises activant dans ce secteur sont en constante phase de diversification et de modernisation. Le secteur est, en effet, en très forte demande d’équipements et de savoir-faire modernes et performants : céréales (semoules, pâtes, farine, pain, biscuits…), lait et dérivés, eau et boissons, sucre et huile. Encourageant la production nationale, le gouvernement actuel s’est doté d’un plan d'action stratégique pour mieux utiliser les ressources nationales, accroître la production et mettre à niveau ses entreprises. Pour réussir cette mutation, l'Algérie a besoin de lignes de production complètes et reste ouverte aux partenariats avec des sociétés étrangères : sociétés d’ingénierie, fournisseurs d’équipements pour les IAA, sociétés de services : informatique, automatisation, maintenance, formation, certification… Et c’est dans le but de trouver de bons partenaires français que ces rencontres sont organisées par Ubifrance, qui veut également faire la promotion d’autres secteurs en développement tels que la transformation des fruits et légumes, la production d’huile d’olive, l’industrie de la viande et, progressivement, la fabrication des plats préparés (pizza, lasagne, moussaka, boureks, quiches...). Des créneaux qui peuvent intéresser des investisseurs français en quête de bonnes opportunités d’investissement en Algérie.


    A.P

  • #2
    Bonjour tout le monde!

    Le départ de Carrefour en 2009 avait créé une certaine méfiance chez les enseignes internationales de la grande distribution quant à venir investir en Algérie. Ceci n’a pas été sans conséquence. Entre 2009 et 2010, l’Algérie avait perdu dix places dans le classement des pays qui attirent les investissements dans le domaine de la grande distribution. Selon un classement du cabinet international de conseil en stratégie et management A. T. Kearney pour les grandes surfaces, le recul de l’Algérie a été profitable pour ses deux voisins, la Tunisie et le Maroc qui, eux, ont connu une forte progression.

    Ubifrance nous veut que du bien ...
    Cette fois a grande échelle svp c'est tout un pan de notre économie,le secteur le plus performant quoi...

    Encourageant la production nationale, le gouvernement actuel s’est doté d’un plan d'action stratégique pour mieux utiliser les ressources nationales, accroître la production et mettre à niveau ses entreprises. Pour réussir cette mutation, l'Algérie a besoin de lignes de production complètes et reste ouverte aux partenariats avec des sociétés étrangères : sociétés d’ingénierie, fournisseurs d’équipements pour les IAA, sociétés de services : informatique, automatisation, maintenance, formation, certification… Et c’est dans le but de trouver de bons partenaires français que ces rencontres sont organisées par Ubifrance
    A+.
    La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
    De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
    .
    Merci.
    " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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    • #3
      l'algerie a un énorme retard au niveau du conditionnement des produits agricoles ,du stockage etc

      l'algerie qui est un des gros producteurs de pommes de terre dans le monde ,surproduit 1 année sur 2 et fait chuter les prix. pourquoi ne pas transformer ces surplus en frittes,potetos congelés ? en purée également.

      le marché du congelé est quasi vierge .

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      • #4
        Agroalimentaire : des Français en quête de partenariat en Algérie

        je ne pense pas que cela vas fonctionner les Français sont trop gourmands

        Dans mon projet Agroalimentaire il était inclus une machine
        devis Français 22 000 euros ....
        devis Algérien hé oui cette machine se trouve aussi chez nous
        300 000 dinars c'est a dire au taux bancaire 3000 euros environs et pourtant
        tous le monde sais que les italiens sont les plus compétitifs dans la machinerie
        en agroalimentaire ...

        Quand aux Français je pense que c'est de la poudre au yeux car cela ne les intéresses pas tant que le dinar ne seras pas convertible en bourse ..que vas t'elle faire du dinar
        Oui il y a aussi la possibilité du versement des dividendes en euros mais la loi Algérienne donne le fameux 51 % Pour l'actionnaire Algérien

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        • #5
          pourquoi ne pas transformer ces surplus en frittes,potetos congelés ? en purée également.

          Attention , ce n'est pas toutes les pommes de terre sont destinées aux frites , purée etc , ça dépend de la variété , il y en a des milliers , il faut se renseigner sur la qualité cultivée en Algérie

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          • #6
            je savais pas haddou quoi que maintenant que tu l'as dit si en fait lol il suffit d'importer les bonnes variétés.

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            • #7
              haddou

              LOl le comique est la samarkand777, vive l humour

              Commentaire


              • #8
                haddou

                Tous a fait de bonnes frites s 'est de veilles pommes de terres chute ,samarkand777 connais tous derrières le tiroirs caisses dans sa jeunesses de mamans ....... a bon entendeurs

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                • #9
                  yanis je ne comprend rien a ce que tu dis mdr

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                  • #10
                    samarkand777

                    re , les frites lol s 'est une frites d une patates très bonnes a mangé lol va sur "patates frites " je te charie lol ne prend pas la mouche s 'est vrai que haddou connai la table ......... , samarkand777 s 'est mon péché mignon la tables avec de vrai pomme de terres en variété frites.........est toi temps connais une variété de pomme de terres en frite va vite sur le net est répond moi

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                    • #11
                      Ubifrance nous veut que du bien ...
                      Cette fois a grande échelle svp c'est tout un pan de notre économie,le secteur le plus performant quoi...
                      Actuellement les grandes surfaces ne peuvent se développer en Algérie pour plusieurs raisons:

                      _ Les salaires réels sont les plus bas du Maghreb,
                      _ La diversité de l'offre des produits locaux est faible,
                      _ Les produits d'importations sont trop chers,
                      _ Les fruits est légumes sont les plus chers du Maghreb,
                      _ Le poisson est les viandes rouges sont chers et ne peuvent pas concurrencer les viandes des boucheries traditionnelles,
                      _ Le départ de Carrefour a jeté un froid sur le marché local,
                      _ Même les acteurs locaux qui connaissent bien le pays n'arrivent pas à se développer,
                      _ Pour ce qui est de l'alimentation quotidienne des algériens les petites épiceries font largement l'affaire en vendant la farine, le pain, l'huile, le sucre et le lait à des prix inférieurs de ceux rencontrés dans les supermarchés qui restent encore aujourd'hui le domaine d'une classe aisée.
                      Dernière modification par iridium, 16 octobre 2014, 21h27.

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                      • #12
                        iridium bonsoir !

                        Les grandes surfaces ne peuvent se développer en Algérie
                        C'est toi qui le dis

                        Hypermarché UNO à Bouira


                        Hypermarché UNO à Mostaghanem


                        Hypermarché Ardis à Alger


                        A+
                        La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                        De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                        .
                        Merci.
                        " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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                        • #13
                          Incroyable 5 ou 6 supermarchés UNO pour 37 millions d'habitants c'est énorme !!!

                          Rouiba 500m2 c'est pas un hypermarché c'est une supérette
                          Garidi 2000 m2 c'est pas un hyper c'est un supermarché

                          Tu sais, tu n'as pas besoin d'en faire plus que ça n'y parait.

                          On à tout de suite compris quand on voit les prix à 2800 DZ le kilo de crevette il faut un salaire de ministre pour faire c'est course la bas... Poivron à 150 Dz/kilo, haricot vert à 198 Dz/kilo avec de tel pris je comprends que ça ne se développe pas...

                          Anchois à 850 dz/kilo il y a de quoi devenir allergique au poisson.
                          Lait entier 95 dz/Litre...
                          Lait en poudre à 390 DZ/500g c'est de la folie.

                          http://www.ardis.dz/prod_detailardis-21000080.html
                          http://www.ardis.dz/prod_detailardis-22000414.html
                          http://www.ardis.dz/prod_detailardis-22000223.html
                          http://www.ardis.dz/prod_detailardis-22000843.html
                          http://www.ardis.dz/prod_detailardis-14002189.html
                          http://www.ardis.dz/prod_detailardis-15001099.html
                          Dernière modification par iridium, 16 octobre 2014, 22h32.

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                          • #14
                            iridium re !

                            Incroyable 3 supermarchés UNO pour 37 millions d'habitants c'est énorme !!!
                            Ça se développe, ounzidek une petite rétrospective pour ton instruction perso, ne me remercie pas, c'est gratos ;

                            Supérettes à Alger : La fin des petits commerces de proximité ?

                            A l’heure où les Souk-El-Fellah et autres Monoprix mettaient, l’un après l’autre, la clef sous le paillasson, de nouveaux commerces ont pointé le bout du nez. Les supérettes. D’abord timide, leur apparition s’est généralisée dans tous les quartiers de la capitale : Hydra, Dély-Ibrahim, El-Biar, Husseïn-Dey, Bab-El-Oued... De nouvelles habitudes ont commencé à s’installer chez les consommateurs.

                            Finis les interminables aller-retour chez le boucher, le boulanger, l’épicier, le droguiste du coin. Les supéerettes, c’est du dix en un puisqu’elles offrent un large choix de produits. S’il est vrai que les clients y trouvent leur compte, les petits commerçants de proximité, eux, grincent des dents. Et pour cause, la plupart d’entre eux ont vu leur chiffre d’affaires chuter brutalement, comme nous le confie cet épicier du boulevard Mohamed V : «Avec l’ouverture de plusieurs supérettes dans le quartier, j’ai enregistré une perte sèche.»

                            Ouverts 7 jours sur 7, jusqu’à 22h, ces supermarkets regorgent de produits de large consommation. De la simple baguette de pain au fardeau d’eau minérale en passant par les surgelés, les légumes, les cosmétiques et les produits d’hygiène, la ménagère n’a que l’embarras du choix. Certains supérettes proposent même des plats déjà cuisinés à emporter. Le rayon surgelé a également la cote, système D pour de nombreuses femmes jonglant entre boulot et foyer. Et pour les accros des gâteaux traditionnels, pas de panique ! Makrout, cha’rek, sablés, ghribia disposés dans de jolies barquettes vous attendent. Idem pour la galette, beignet (kh’fef), m’hadjeb et autres gourmandises appréciées par bon nombre d’Algériens.

                            Superette Tabaân, boulevard Mohamed V. Un ex-parking transformé en supermarché. Couleur dominante de cette enseigne : l’orange. Même le personnel (caissiers, chefs de rayon ...) portent des uniformes dans ce ton. Talonnés par le responsable de cette grande surface, nous pénétrons dans cette antre de la consommation. Les clients portant déjà un sac de provisions sous le bras sont priés de le laisser à la consigne. Chariots et paniers attendent à l’entrée. Une dame s’empare d’un caddie. «Aujourd’hui, c’est jour de paye. Je fais le plein de produits alimentaires et d’entretien pour le mois», lance-t-elle. Les rayons et présentoirs bien achalandés défilent sous nos yeux : droguerie, cosmétique, viandes, charcuterie, surgelés, alimentation générale, lait et dérivés, fruits, légumes, olives, épices ... «C’est tellement pratique de faire toutes ses emplettes dans le même magasin, lâche un client. On gagne un temps fou !»

                            Côté prix, ils s’alignent sur ceux pratiqués dans les autres commerces, exception faite pour les fruits et légumes qui affichent une hausse sensible comparés à ceux du marché. Lors de notre passage, un client a du mal à ronger son frein : «Les légumes et fruits coûtent jusqu’à 3 fois plus chers qu’à l’extérieur. Rien ne justifie cette hausse», s’emporte-t-il. Mal à l’aise, probablement à cause de notre présence, le responsable lui indique qu’il existe un cahier de doléances où il peut consigner son coup de gueule. Passage ensuite par le rayon des surgelés. La gent féminine y joue des coudes. Pâte feuilletée, boureks déjà farçis, quiches, poissons panés, pizzas précuites, frites ... Tout un pannel de produits à mettre directement dans sa poêle à frire ou dans son micro-ondes. Plan de secours pour toutes ces femmes actives prises entre le marteau et l’enclume.

                            Témoignage de Houria (fonctionnaire) : «Entre les 8 heures passées au bureau, les enfants à récupérer de l’école et les courses à faire, plus le temps à passer derrière les fourneaux. Béni soit celui qui a inventé les aliments surgelés», lance-t-elle. Une autre cliente happe la conversation au vol et renchérit : «Moi, je ne suis pas d’accord, ces produits précuits ont déjà perdu la moitié de leurs vitamines, en plus ils grèvent sérieusement le budget.» Avant de quitter cette supérette, nous remarquons la présence de plusieurs caméras de surveillance. Par ailleurs, comme nous l’explique notre guide, certains produits coûtant cher, tels les cosmétiques made in sont, truffés d’anti-vols invisibles à l’œil nu : «Tous les jours, plusieurs pickpockets sont appréhendés la main dans le sac, nous révèle notre interlocuteur. Récemment, l’alarme du portique s’est déclenchée au passage d’une femme. Elle avait dissimulé dans ses poches l’équivalent de plus de 4 000 DA de produits de beauté.»

                            Le Méli-Mélo Market, une autre grande supérette (environ 500 m2) située en contrebas de la rue Claude-Debussy. De 9h à 19h30, cette enseigne accueille un flot incessant de clients, notamment les riverains. Régulièrement, à l’instar de la plupart des commerces de ce genre, des ventes promotionnelles de produits y sont organisées. «A l’approche des dates de péremption, nous cassons les prix, quitte à réduire la marge bénéficiaire», nous informe Mohamed, le responsable. Quant à l’agencement des produits dans les rayonnages, il obéit à des règles strictes, comme tient à le souligner notre vis-à-vis : «Chaque vendeur est responsable de son rayon. Il est tenu de le mettre en valeur, de gérer les stocks et d’organiser les rayons en disposant les produits de façon attractive. » Plusieurs caisses sont en service. Près de chacune d’entre elles, des barres chocolatées, des chewing gum et autres confiseries : «C’est une stratégie commerciale visant à inciter les clients à faire un achat de plus même si celui-ci n’était pas porté sur leur liste», indique notre guide.

                            Côté clients, même si la plupart se disent ravis par la disponibilité et la variété des produits, d’autres font la fine bouche. Un client nous dira : «Certains produits dont la date de péremption est proche sont carrément immangeables !» Un autre pointera du doigt l’absence de parking : «J’aime bien faire mes courses ici, mais impossible de trouver une place où me garer.» Un autre lièvre est soulevé par une dame : «Très souvent, la petite monnaie fait défaut, d’où la formation d’interminables queues au niveau des caisses». Réponse du gérant : «C’est la Banque centrale qui est responsable du manque de la petite monnaie et qui n’en fournit qu’aux petits copains. Alors, on se débrouille comme on peut !»

                            Devant la multiplication des supérettes, les gérants redoublent d’imagination pour satisfaire leur clientèle. La carte de fidélité ouvrant droit à un bonus au bout d’un certain nombre d’achats commence à se généraliser. Si certains clients se laissent séduire, ne manquant jamais de brandir leur carte au moment de payer, d’autres ont la dent dure contre cette stratégie commerciale. «Pour obtenir un bon d’achat gratuit de 200 DA, il faut totaliser 400 points, l’équivalent d’environ 15 000 DA d’achats, une goutte d’eau dans l’océan, ironise un client rencontré à la superette Khiar, rue Burdeau». Une chose est indéniable : après les années de pénuries (70’s et 80’s), ces magasins de vente en libre service ont apporté une véritable bouffée d’oxygène aux consommateurs effrénés que nous sommes devenus, même si des imperfections sont relevées, ici et là.
                            Rouiba 500m2 c'est pas un hypermarché c'est une supérette
                            Garidi 2000 m2 c'est pas un hyper c'est un supermarché
                            Qui a parlé de ces superettes..c'est toi

                            Tiens j'insiste, Hypermarché UNO Ain Defla







                            Pour les surfaces

                            UNO Bab Ezzouar à Alger 7200 m2
                            UNO à Bouira 7000 m2
                            UNO à Mostaghanem 6000 m2
                            UNO à Ain Defla 6000 m2

                            A+
                            Dernière modification par arayzon, 16 octobre 2014, 22h30.
                            La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                            De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                            .
                            Merci.
                            " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

                            Commentaire


                            • #15
                              Merci pour l'info C'est ça 5 ou 6 supermarché dont quelques supérettes mais les prix veulent tout dire

                              On à tout de suite compris quand on voit les prix à 2800 DZ le kilo de crevette il faut un salaire de ministre pour faire c'est course la bas... Poivron à 150 Dz/kilo, haricot vert à 198 Dz/kilo avec de tel pris je comprends que ça ne se développe pas...

                              Anchois à 850 dz/kilo il y a de quoi devenir allergique au poisson.
                              Lait entier 95 dz/Litre...
                              Lait en poudre à 390 DZ/500g c'est de la folie.

                              http://www.ardis.dz/prod_detailardis-21000080.html
                              http://www.ardis.dz/prod_detailardis-22000414.html
                              http://www.ardis.dz/prod_detailardis-22000223.html
                              http://www.ardis.dz/prod_detailardis-22000843.html
                              http://www.ardis.dz/prod_detailardis-14002189.html
                              http://www.ardis.dz/prod_detailardis-15001099.html

                              Fais des économies si tu veux acheter une ou deux choses...
                              Dernière modification par iridium, 16 octobre 2014, 22h36.

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