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« Le Conseil de sécurité de l'Onu devrait élargir le mandat de la Minurso afin d'y inclure l'observation et la publication de rapports sur la situation des droits humains, tant au Sahara occidental (occupé par le Maroc) que dans les camps gérés par le Polisario en Algérie »,
Ecouter l’entretien
http://www.radioalgerie.dz/news/fr/a...018/16913.html
Dans un rapport de 94 pages, intitulé « Off the Radar: Human Rights in the Tindouf Refugee Camps », publié aujourd’hui, Human Rights Watch , ropose à l'Onu d'établir un "mécanisme alternatif par lequel elle puisse fournir une surveillance et une communication de l'information régulières, indépendantes à partir du terrain".
M. Goldstein a indiqué que le rapport est le résultat d'une mission aux camps de réfugiés de Tindouf qui a duré deux semaines à partir de la fin de l'année 2013, affirmant que l'accès aux camps était "facile" et s'est déroulé "sans entraves ni contraintes".
Il a indiqué que les chercheurs de HRW ont été "libres de se déplacer et d'interroger les réfugiés de leur choix en privé", ajoutant qu'ils se sont entretenus avec au moins 40 réfugiés dans les camps et 12 autres à l'extérieur, ainsi qu'avec des responsables du Front Polisario et des étrangers travaillant pour les agences de l'Onu et des Ong.
M. Goldstein a reconnu que les chercheurs de HRW subissaient un "contrôle embêtant" de la part des autorités marocaines lors de l'accomplissement de leur mission dans les territoires sahraouis occupés en dépit du fait qu'ils soient autorisés
Radio Ch3
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Dans un rapport de 94 pages, intitulé « Off the Radar: Human Rights in the Tindouf Refugee Camps », publié aujourd’hui, Human Rights Watch , ropose à l'Onu d'établir un "mécanisme alternatif par lequel elle puisse fournir une surveillance et une communication de l'information régulières, indépendantes à partir du terrain".
M. Goldstein a indiqué que le rapport est le résultat d'une mission aux camps de réfugiés de Tindouf qui a duré deux semaines à partir de la fin de l'année 2013, affirmant que l'accès aux camps était "facile" et s'est déroulé "sans entraves ni contraintes".
Il a indiqué que les chercheurs de HRW ont été "libres de se déplacer et d'interroger les réfugiés de leur choix en privé", ajoutant qu'ils se sont entretenus avec au moins 40 réfugiés dans les camps et 12 autres à l'extérieur, ainsi qu'avec des responsables du Front Polisario et des étrangers travaillant pour les agences de l'Onu et des Ong.
M. Goldstein a reconnu que les chercheurs de HRW subissaient un "contrôle embêtant" de la part des autorités marocaines lors de l'accomplissement de leur mission dans les territoires sahraouis occupés en dépit du fait qu'ils soient autorisés
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