Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La légitimité du président Abdelaziz Bouteflika n’est pas discutable selon le FLN

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • La légitimité du président Abdelaziz Bouteflika n’est pas discutable selon le FLN

    ENTRETIEN. Amar Saâdani : « La légitimité du président Abdelaziz Bouteflika n’est pas discutable »
    FFS-FLN


    TSA, Politique - le 21 octobre 2014 à 18 h 22 min - Propos recueillis par Hadjer Guenanfa.


    Le FLN a tenu aujourd’hui une rencontre avec le FFS.

    Le FFS est un parti historique. Ses idées sont nationalistes et ses militants le sont aussi. C’est un parti qui est bien dirigé et qui n’a pas du tout participé à la destruction du pays. Il veut que la situation sociale et économique s’améliore, que le changement se fasse de l’intérieur du pays. Le FFS veut la stabilité du pays, la protection de ses frontières. Donc, on se rapproche de lui, on l’écoute et on a espoir qu’on ira loin avec lui. Le FFS va tenir des rencontres (avec d’autres partis) et on le rencontrera une deuxième fois.

    Vous vous êtes mis d’accord pour vous revoir le 1er novembre prochain ?

    La rencontre prévue le 1er novembre sera amicale. C’est pour marquer une date historique.

    Quelles sont les conditions du FLN pour participer à la conférence sur le consensus que prépare le FFS ?

    Comme je l’ai dit cet après-midi, la légitimité du président Abdelaziz Bouteflika n’est pas discutable. Le FLN ne participera pas à une conférence qui aborderait la légitimité du Président ou les élections présidentielles.

    Pour les autres sujets, nous avons notre point de vue que nous allons leur présenter lors de la deuxième rencontre. Encore une fois, le FFS tiendra des rencontres et fera une synthèse et on se rencontrera par la suite. Aujourd’hui, il s’agit d’une première rencontre qui est sans engagements. Le FLN ne s’engage sur rien. Et la décision relative à la participation dépend de la direction du parti. Nous n’avons pas encore étudié cette question.

    Vous avez exprimé vos inquiétudes concernant des menaces étrangères sur l’Algérie…

    Des interventions internationales se préparent contre les pays arabes et nous ne sommes pas isolés. Il y a des manœuvres et c’est pour cela qu’on doit être vigilants pour y faire face. L’unité intérieure doit être solide. Et il faut que tout le monde soit rassemblé, surtout les partis politiques. Il faut qu’on travaille à consolider l’unité nationale et nous occuper de nos problèmes.

    Pourquoi Tamanrasset est particulièrement en danger comme vous l’aviez dit ?

    Parce que Tamanrasset est un point stratégique à proximité duquel il y a des manœuvres. Il n’y a pas un avion qui se dirige vers l’Afrique qui ne passe pas par cette ville. Tamanrasset a des ressources en uranium. Les Américains ont demandé d’y installer une base et nous avons refusé. Il faut préserver Tamanrasset. C’est pour cela qu’on a tiré la sonnette d’alarme. Aujourd’hui, on n’est pas dans une affaire de « donner ou pas un logement », mais dans la nécessité de préserver l’unité nationale.

    C’est pour cette raison que vous avez appelé tout le monde à l’unité ?

    Il faut qu’on travaille tous pour régler les problèmes sociaux et pour que la classe politique ait un seul mot autour de l’unité nationale et autour des questions sociales et politiques. Aujourd’hui, certains n’ont ni des programmes politiques, ni sociaux ni économiques. Ils n’ont que le « Président doit partir » comme slogans. La priorité est de préserver l’unité nationale et faire face aux manœuvres qui viennent de l’extérieur.

    Que pensez-vous de la manifestation des policiers ?

    Certains ont voulu la politiser. C’est extrêmement dangereux. Dans cette manifestation, il y a des choses qui sont politiques et d’autres qui ne le sont pas. C’est pour ça que je préviens les gens qui jouent avec la sécurité nationale. Encore une fois, c’est dangereux.

    Est-ce qu’il y a eu de la manipulation ? Et par qui ?

    Je n’accuse personne ! Mais oui, il y a manipulation politique de certains et c’est très dangereux. Ça touche l’unité nationale et la stabilité du pays et j’espère que c’est la dernière fois et que ça ne se répètera pas.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    François Hollande a dit, Amar Saïdani exécute.

    Qui vote pour le FFS en Algérie ?

    Commentaire


    • #3
      « La légitimité du président Abdelaziz Bouteflika n’est pas discutable » FFS-FLN
      le titre prete a la confusion. le ffs ne reconnait pas la legitimité de boutef depuis 1999. seulement la situation actuelle du pays le pousse a etre moins exigent sur certains revendications.

      Pour le FFS patriotisme et démocratie sont inséparables, durant ces cinquante années de lutte, le FFS a d’abord dû lutter pour empêcher qu’on piétine la démocratie au nom du patriotisme pour ensuite se battre pour empêcher qu’on piétine le patriotisme au nom de la démocratie.
      Ait Ahmed
      There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

      Commentaire


      • #4
        La qualité de l'entretiens révèle le niveau du politicien, des réponses simples, simplistes, expéditives sans aucune profondeur d'analyse ni de positionnement argumenté , bref il y a rien à dire.


        Comme je l’ai dit cet après-midi, la légitimité du président Abdelaziz Bouteflika n’est pas discutable. Le FLN ne participera pas à une conférence qui aborderait la légitimité du Président ou les élections présidentielles.
        Par légitimité de la présidence c'est toute la légitimité du pouvoir qui n'est pas négociable en un mot , la conférence n'a pas lieu d'être si elle veut rediscuter d'une refonte du pouvoir, le pouvoir ne viendra pas écouter d'égal à égal mais juste pour écouter les réclamation d'une opposition docile, cette conférence si elle a lieu elle sera récupéré par le pouvoir comme une participation à la réécriture de la constitution, que demander de mieux !
        شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

        Commentaire


        • #5
          Par légitimité de la présidence c'est toute la légitimité du pouvoir qui n'est pas négociable en un mot , la conférence n'a pas lieu d'être si elle veut rediscuter d'une refonte du pouvoir, le pouvoir ne viendra pas écouter d'égal à égal mais juste pour écouter les réclamation d'une opposition docile, cette conférence si elle a lieu elle sera récupéré par le pouvoir comme une participation à la réécriture de la constitution, que demander de mieux !
          tu brule les etapes histo. le but de la conference est de ne poser aucun prealable.

          le fln et d'autres formations politique vont bomber le torse avant la tenu de la conférence pour peser sur le deroulement des discussions. l'essentiel est que tout le monde soit present est exprime son point de vu liberement. peut etre qu'ils seront d'accord sur le minimum syndical, qui permettra d'enclencher un dialogue positif entre algeriens.
          There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

          Commentaire


          • #6
            Bonjour Born ,

            Permet moi de douter que même sans préalable le pouvoir n’accepteras de discuter ! accepter c'est avouer l’existence d'un problème or c'est pas du tout dans l'optique du pouvoir.

            je sais qu'il reste encore des questions au quel le FFS n'a pas répondu , la forme de participation n'est pas claire , la base de travail n'est pas claire et pour une conférence qui arrive dans 3 mois c'est limite c'est pour ça que je reste septique et sure d'une récupération.
            شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

            Commentaire


            • #7
              @histo

              Permet moi de douter que même sans préalable le pouvoir n’accepteras de discuter ! accepter c'est avouer l’existence d'un problème or c'est pas du tout dans l'optique du pouvoir.
              a defaut d'etre incorruptible, le pouvoir ne peut pas se permettre le luxe de voir le ffs radicaliser son discours.

              je sais qu'il reste encore des questions au quel le FFS n'a pas répondu , la forme de participation n'est pas claire , la base de travail n'est pas claire et pour une conférence qui arrive dans 3 mois c'est limite c'est pour ça que je reste septique et sure d'une récupération.
              le ffs a clairement défini la demarche...

              Le FFS entamera mardi 21 octobre des consultations bilatérales avec les partis et les personnalités politiques dans le cadre de la préparation de sa conférence nationale du consensus, a annoncé ce lundi 20 octobre un de ses responsables. « Mardi nous allons rencontrer le RND et le FLN. Mercredi nous allons rencontrer Ali Benflis et jeudi le MSP et Mouloud Hamrouche », a précisé Ali Laskri, membre de l’instance présidentielle du FFS, au cours d’une conférence de presse à Alger.

              La conférence se fera en deux phases. « Pendant la première phase, nous allons donner la parole aux participants pour donner leurs propositions. La deuxième phase aura lieu si le nombre de convergences est supérieur à celui des divergences. Sinon nous pouvons envisager de convenir d’une plateforme de consensus », a déclaré Mohand-Amokrane Cherifi, membre de l’instance présidentielle.

              Cherifi a indiqué que la conférence nationale du consensus est une « démarche non partisane » et que le FFS joue le rôle de « facilitateur ». Il ajoute que le FFS ne fixera pas seul le programme et la date de la conférence et que tous les partis y participeront.

              Le FFS appelle les citoyens et les syndicats à participer à la réunion car il ne s’agit pas d’« une conférence des appareils », a indiqué M. Cherifi. Cette conférence vise à construire un consensus pour faire face aux défis que confronte l’Algérie, selon M. Cherifi.
              There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

              Commentaire


              • #8
                « La légitimité du président Abdelaziz Bouteflika n’est pas discutable » FFS-FLN
                Eh ben dis donc !
                Aït Ahmed doit s'arracher les cheveux le pauvre

                Commentaire


                • #9
                  « La légitimité du président Abdelaziz Bouteflika n’est pas discutable » il a oublie de dire sadak allah al adim

                  Commentaire


                  • #10
                    bonjour

                    Se concentrer sur Bouteflika est une manière de ne pas penser.
                    Une manière d'occuper simplement (des raisonnements simplistes) une partie du peuple pour que les fauves qui excitent les foules se concentrent sur les vrais objectifs !

                    Se concentrer sur la légitimité de Bouteflika veut dire valider les processus de pouvoir en vigueur depuis des décennies. C'est en quelques sorte la légitimation (donner de la crédibilité) du pouvoir par les clans.
                    Rebbi yerrahmek ya djamel.
                    "Tu es, donc je suis"
                    Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

                    Commentaire


                    • #11
                      Le fln et d'autres formations politique vont bomber le torse avant la tenu de la conférence pour peser sur le deroulement des discussions. l'essentiel est que tout le monde soit present est exprime son point de vu liberement. peut etre qu'ils seront d'accord sur le minimum syndical, qui permettra d'enclencher un dialogue positif entre algeriens.
                      Il n' y aura rien, les gens du et autour du systeme ne vont pas lâcher le morceau ,ni tirer une balle dans leur pieds

                      Commentaire


                      • #12
                        on veut nous faire prendre une momie pour un pharaon

                        Commentaire


                        • #13
                          Envoyé par Gandhi
                          Se concentrer sur Bouteflika est une manière de ne pas penser.
                          Une manière d'occuper simplement (des raisonnements simplistes) une partie du peuple pour que les fauves qui excitent les foules se concentrent sur les vrais objectifs !
                          Tout à fait...!!!
                          Bouteflika, utilisé comme un un leurre pour perpétuer nos malheurs.
                          "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

                          Commentaire


                          • #14
                            La "légitimité" de bouteflika date de 1978, imaginez un seul instant s'il avait pris le pouvoir en 1978 juste après le décès de H. Boumedienne : il était plus "légitime" que Chadli.
                            Peut-être que le pays aurait eu un autre destin.

                            Commentaire


                            • #15
                              la seule différence, c'est que Chadli on se l'ai tapé 10 ans, alors que Bouteflika on l'aurai eu pour 35 ans. Je n'ose même pas me l'imaginer, un vrai cauchemars

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X