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Pose de la première pierre de la Marina baie d'Alger

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  • Pose de la première pierre de la Marina baie d'Alger

    Le wali d’Alger, M. Abdelkader Zoukh, a eu à superviser, hier, la pose de la première pierre de la Marina Baie d'Alger, en présence d'Abdelouahab Rahim, président-directeur général du groupe Dahli Hôtellerie, loisirs et immobilier, responsable de l'Union nationale des investisseurs.

    "La Marina Baie d'Alger est l'une des pièces maîtresses qui couronnent la première phase d'Alger Medina. Cette marina apportera une ouverture et marquera la participation d'Alger à l'industrie florissante de la plaisance et du tourisme maritime en Méditerranée" explique M. Rahim.

    Selon les explications fournies sur place, le projet comporte un investissement de 7 milliards de dinars avec une capacité d'accueil de 711 anneaux. La jetée aménagée pourra recevoir plusieurs types de bateaux, dont la longueur va de 8 à 180 m. Le nombre d'emplois directs générés par ce projet est de 400 postes.

    Il ajoute que la Marina Baie d'Alger permettra, à terme, la création de plusieurs centaines d'emplois directs et indirects en favorisant l'émergence de nouveaux métiers et de nouvelles disciplines sportives et culturelles.

    Le projet de la marina est tout de même assez impressionnant et donnera une envergure à notre baie d’Alger puisqu’il est composé d'une gare maritime qui desservira Alger, la Grande mosquée d'Alger et la foire, ainsi qu'un atelier de maintenance, un bâtiment de service (magasins, restaurants...) de 3600 m2, et enfin, un yacht club.

    Ces projets font partie de la future et première cité des affaires de la capitale, baptisée Alger Medina, et qui sera bâtie sur un terrain de 75 ha aux Pins maritimes, dans la baie d’Alger, en face de la future grande mosquée. La cité s’étend sur un million de m2 de bureaux, un million de m2 d’appartements-hôtels, des tours d’appartements, un centre commercial de 70.000 m2, une marina, un parc aquatique et un palais des congrès de 4.000 places.

    Ce projet a donc la particularité d’être aussi bien économique que citoyen dans la mesure où jusqu’à présent la capitale n’a pas de grands centres de loisirs maritimes et ne possède pas de cité des affaires. La société en charge du projet ambitionne à ce titre, de faire d’Alger Médina, le plus grand ensemble immobilier du Maghreb et d’assurer une attraction pour plus de cinq millions d’algérois, et aussi pour les touristes qui visitent les pays de la Méditerranée. Notons que cette pose de première pierre était inscrite au programme de la visite du wali d’Alger qu’il a effectuée pour s’enquérir de l’état d’avancement des projets de la baie d’Alger.

    La visite a porté sur une tournée pour constater l’état d’avancement des projets inscrits pour embellir la côte et les berges de l’oued El Harrach. Le wali était accompagné de son exécutif chargé du suivi des travaux s’est rendu en plus de la côte des Sablettes, à l’embouchure de l’oued El Harrach.

    Le groupement algéro-coréen (Cosider-Daewoo Constructions), chargé des travaux de dépollution de l’oued El Harrach, devra livrer des infrastructures au fur et à mesure de l’exécution des travaux. Des pistes et des terrains de jeu seront ainsi progressivement ouverts à la population.

    le soir d'Algérie

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  • #2
    Salam,

    Abdelkader Zoukh, un vrai bulldozer.. c'est un des meilleurs wali d'Algérie.

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    • #3
      Depuis que Zoukh est comme wali d'Alger, la capitale est encore plus sale.

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      • #4
        salam





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        • #5
          c'est bien beau ces maquettes!
          Mais aura-t-on suffisamment d'argent pour aller au bout de ce projet sachant que les prix du pétrole sont en chute libre?
          "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

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          • #6
            kan ya ma ken fi kadim ezzamen
            «Alger Médina est un projet à réaliser par des Algériens pour les Algériens»
            Le P-DG de Dahli Spa, AbdelouahAb Rahim, dans un entretien exclusif à la Tribune :
            M R Publié dans La Tribune le 28 - 01 - 2009

            Entretien réalisé par notre correspondant à Annaba
            Mohamed Rahmani
            LA TRIBUNE : M. le P-DG, votre société est méconnue du grand public et vous-même sortez de l'ombre. Ici, à Annaba, on se demande qui vous êtes, voulez-vous nous brosser un tableau sur vos activités ?
            Abdelouahab Rahim : En fait, on nous connaît sans nous connaître. La compagnie d'assurances 2 AA, c'est nous, l'hôtel Hilton, c'est encore nous et nous avons un éventail d'activités qui vont de la promotion immobilière à la pharmacie en passant par les services, Internet, la grande distribution, la restauration, l'hôtellerie ; nous accompagnons nos projets de la conception à la réalisation. Vous savez, le service, c'est le savoir-faire. Quant à moi, il n'y avait pas grande importance à me connaître, il y a suffisamment d'intervenants dans le débat. Aujourd'hui, j'ai quelque chose à dire, à montrer et à démontrer : Alger Médina est un projet d'envergure internationale, un business district à différents étages répondant à l'ensemble des besoins exprimés par les citoyens et c'est au cœur de la capitale que ça se passe. L'entreprise algérienne a mûri et prétend maintenant aux standards économiques internationaux et l'Algérien d'aujourd'hui l'exige. Nous avons lancé cet emprunt obligataire à destination du grand public pour lever les capitaux nécessaires à sa réalisation ; nous avons mis 30% et les 70% restants seront complétés par des souscriptions et couvriront les trois modules : la Marina d'Alger, l'aquaparc et les appartements-hôtel. La première phase est déjà entamée, la seconde le sera l'année prochaine et la dernière dans deux ans.
            Ce mégaprojet nécessite pour sa réalisation des investissements colossaux ; vous avez lancé l'emprunt obligataire comme mode de financement, pourquoi ne vous êtes-vous pas adressé directement aux banques ?
            Pourquoi le public ? Tout simplement parce que cet investissement lui est destiné ; il aura participé à sa réalisation, à la création de son quartier d'affaires au cœur de la capitale. Nous voulons impliquer le grand public et l'intéresser économiquement ; l'obligation garantie et cotée en bourse rapporte 6,75% d'intérêt. Alger Médina est un modèle de construction sur des générations, le public est partie prenante de l'économie. Les banques, de nos jours, sont sous- capitalisées et il leur est difficile de répondre à notre demande ; l'emprunt obligataire est beaucoup mieux adapté puisque c'est un placement à long terme et reste ouvert à tous : grand public, personnes physiques ou morales, entreprises, sociétés. Cela permet d'arroser très large, l'obligation n'est bloquée nulle part et c'est là toute la souplesse du système. Cet emprunt est très sécurisé, ce n'est pas avec une loupe que la Cosob a contrôlé et vérifié notre société, c'est avec un microscope électronique qu'elle a procédé pour finalement nous accorder son visa.
            Vous n'êtes pas sans savoir que la crise financière mondiale a pour origine les subprimes… Ne craignez-vous pas qu'elle touche l'Algérie, particulièrement votre société, dont l'activité principale est justement l'immobilier ?
            Il est illusoire de comparer l'Algérie avec les USA ou les Etats de l'Union européenne ; les besoins dans ces pays sont couverts deux fois, notre pays est encore en pleine phase de développement et nos besoins sont loin d'être satisfaits. Il y a des retards dans presque tous les domaines et cette crise ne nous concerne pas du tout. Cela nous permettra de réduire nos excédents qu'on place ailleurs. Je vous assure qu'on en est encore au vital ; l'indispensable, l'utile, le confort et le futile, on en est encore loin. L'Algérie a une économie close et les perspectives futures sont immenses, la crise ne touchera pas notre pays. Le projet Alger Médina n'est pas futile, il est vital, c'est le cœur de la ville.
            Cet emprunt obligataire, avec son taux d'intérêt progressif, peut-il vraiment être remboursé dans les délais sachant que les retards dans la réalisation sont toujours à craindre et ce, en plus de la mévente possible des appartements et des locaux ?
            Nous sommes une entreprise à modèle économique privé; le temps c'est de l'argent, la qualité, c'est notre religion.
            Nous concevons, réalisons et gérons nous-mêmes et nous avons beaucoup d'expérience dans ce domaine. Et puis, ce n'est pas une fusée qu'on va construire ; on ne va pas réaliser ce projet pour la parade, il faut que ce soit rentable. L'aquaparc sera mis en service à la fin de l'année en cours, dans 36 mois la Marina sera opérationnelle, quant aux tours et les appartements-hôtel, ils le seront au plus tard dans 26 mois. Ce sera une ville exactement sur mesure pour l'Algérien, pour ce qu'il désire lui et sa famille.
            Pensez-vous que l'opération d'emprunt lancée avec l'accord de la Cosob aboutira aux résultats escomptés ?
            Y a-t-il aujourd'hui une forte souscription ?
            Nous avons confiance en notre économie et notre marché financier. En ce qui concerne les résultats, il est encore trop tôt pour se prononcer ou tirer une conclusion. Nous restons confiants quant au succès de cette opération qui est une voie complémentaire de
            financement pour les entreprises. Les emprunts - et je rassure tout le monde là-dessus - sont largement garantis. On est capitalisés à 23 milliards de dinars et nous comptons lever par cet emprunt obligataire 8,3 milliards, donc il n' y a pas de souci à se faire pour y souscrire et il faut se dépêcher parce que la clôture est prévue le 12 février ; il ne reste pas beaucoup de temps.
            Quelles seraient, selon vous, les retombées de ce projet sur les plans économique, social et culturel ?
            Elles sont éminemment importantes pour le futur. C'est une influence très positive sur la qualité de la vie des habitants d'Alger mais aussi pour tous ceux qui y viennent. Ce sera une plateforme de vie et d'activités idéales pour leur séjour.
            Cela créera une sorte d'émulation à travers le pays et l'on verra certainement plus tard d'autres investisseurs réaliser le même projet à Annaba, Oran, Béjaïa ou Tlemcen. C'est une action positive sur les gens, c'est un investissement qui rétablit la confiance, qui redonne espoir, l'espoir de rester dans son pays pour y réaliser quelque chose.
            C'est croire en son pays et c'est justement ce qui m'est arrivé. Lorsque l'Algérie avait fait appel à la diaspora algérienne établie à l'étranger, j'ai répondu présent et je suis rentré au pays. Aujourd'hui, rien que pour ce projet, il y a déjà 2 000 personnes qui y travaillent et on procédera au recrutement de 1000 autres, dans le but d'accélérer les travaux.
            Alger Médina, avec ses 100 000 mètres carrés de bureaux, ses appartements-hôtel, son aquaparc et sa marina emploieront des milliers de personnes, ce qui est déjà prometteur. Ce projet, si Dieu me prête vie, je le terminerais et là je me dirais que je ne suis pas revenu pour rien, cela a
            au moins servi à réaliser quelque chose.

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            • #7
              ...el moufid ???
              " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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